Israël en guerre - Jour 500

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Un haut responsable affirme que Netanyahu retarde l’accord de trêve sur les otages avec de nouvelles exigences

Tsahal dit avoir découvert une salle de contrôle, un drone et des armes du Hamas au QG de l'UNRWA

  • Des troupes de la Brigade Commando opèrent au siège de l'UNRWA dans la ville de Gaza, dans une photo distribuée le 12 juillet 2024. (Crédit : Armée israélienne)
    Des troupes de la Brigade Commando opèrent au siège de l'UNRWA dans la ville de Gaza, dans une photo distribuée le 12 juillet 2024. (Crédit : Armée israélienne)
  • Un drone du Hamas trouvé par les troupes de l’armée israélienne au siège de l'UNRWA, à de Gaza City, sur une photo publiée le 12 juillet 2024. (Crédit : Crédit : Armée israélienne)
    Un drone du Hamas trouvé par les troupes de l’armée israélienne au siège de l'UNRWA, à de Gaza City, sur une photo publiée le 12 juillet 2024. (Crédit : Crédit : Armée israélienne)
  • Des militants pour les otages de Gaza participant à une marche vers Jérusalem avec des fumigènes jaunes pour attirer l'attention sur le sort des personnes enlevées par le Hamas, à proximité de Shoresh, le 12 juillet 2024. (Crédit : sha_b_p@/ Mouvement de protestation pour la démocratie)
    Des militants pour les otages de Gaza participant à une marche vers Jérusalem avec des fumigènes jaunes pour attirer l'attention sur le sort des personnes enlevées par le Hamas, à proximité de Shoresh, le 12 juillet 2024. (Crédit : sha_b_p@/ Mouvement de protestation pour la démocratie)
  • Une voiture bombardée, à Kiryat Shmona, le 11 juillet 2024. (Crédit : Lazar Berman/The Times of Israel)
    Une voiture bombardée, à Kiryat Shmona, le 11 juillet 2024. (Crédit : Lazar Berman/The Times of Israel)

Les familles d’otages critiquent les nouvelles conditions de Netanyahu pour un accord

Le Forum des familles des otages et des disparus a réagi avec colère aux informations parues dans les médias israéliens selon lesquelles le Premier ministre Benjamin Netanyahu retarderait un accord pour la libération des otages avec de nouvelles exigences.

« Nous sommes horrifiés et choqués par ce comportement irresponsable qui risque de nous faire rater une opportunité qui ne se représentera peut-être pas », a déclaré le forum dans un communiqué.

« Au moment où tout le monde reprendra ses esprits et travaillera ensemble, il n’y aura peut-être plus personne à ramener. Cela fait 284 jours et nuits que nous attendons nos proches. Chaque minute est une éternité pour nous et chaque seconde est un enfer pour eux. Nous faisons appel au Premier ministre : nous soutenons l’accord Netanyahu. C’est maintenant à votre tour de soutenir l’accord que vous avez vous-même proposé. »

Un haut responsable affirme que Netanyahu retarde l’accord de trêve sur les otages avec de nouvelles exigences

Le Premier ministre Benjamin Netanyahu assiste à un débat au plénum de la Knesset à Jérusalem, le 24 juin 2024. (Crédit : Chaim Goldberg/Flash90)
Le Premier ministre Benjamin Netanyahu assiste à un débat au plénum de la Knesset à Jérusalem, le 24 juin 2024. (Crédit : Chaim Goldberg/Flash90)

Un haut responsable israélien impliqué dans les négociations pour un accord de cessez-le-feu avec le Hamas a déclaré que le Premier ministre Benjamin Netanyahu retardait le nouvel accord actuellement en débat avec de nouvelles exigences.

S’adressant aux médias israéliens, le responsable a déclaré que le Premier ministre insistait désormais sur la mise en place d’un mécanisme de contrôle qui empêcherait les terroristes armés du Hamas de retourner dans le nord de Gaza.

« C’est le moment de vérité pour les otages », a déclaré le responsable à la Douzième chaîne. Nous pouvons parvenir à un accord d’ici deux semaines et ramener les otages chez eux.

« L’insistance du Premier ministre à mettre en place un mécanisme pour empêcher le mouvement des agents armés va bloquer les négociations pendant des semaines et il se peut qu’il n’y ait plus personne à ramener », a déclaré le responsable.

Selon le site d’information Walla, Netanyahu a soulevé la question lors d’une réunion avec l’équipe de négociation jeudi soir. L’équipe a déclaré à Netanyahu qu’elle était opposée à la nouvelle condition et que celle-ci n’était pas réalisable. Netanyahu a déclaré au groupe qu’il insistait sur ce point.

« C’est une exigence qui ne faisait pas partie de la proposition israélienne du 27 mai. On ne sait pas pourquoi Netanyahu soulève cette exigence maintenant. Les services de sécurité savent comment gérer le retour des terroristes armés dans le nord de Gaza », a déclaré le responsable.

La Douzième chaîne a cité des responsables affirmant qu’ils pensaient que Netanyahu essayait de retarder un nouvel accord parce qu’il risquait de perdre sa coalition si l’accord entrait en vigueur, les partis d’extrême droite s’étant engagés à se retirer si l’accord était conclu.

Des avions frappent des sites du Hezbollah après des tirs de roquettes sur le nord

Des avions de combat israéliens ont frappé plus tôt dans la journée des sites du Hezbollah à Ramyeh, Jebbayn, Tayr Harfa et Kafr Kila, au sud du Liban, a indiqué l’armée israélienne.

Par ailleurs, les troupes ont repéré un membre du Hezbollah dans la région de Rashaya al-Foukhar, à partir de laquelle des roquettes ont été lancées sur le plateau du Golan ces derniers jours. Peu après, l’agent aurait été frappé par un drone, selon l’armée.

Plusieurs roquettes ont été tirées aujourd’hui par le Hezbollah sur les régions du Mont Dov, Margaliot et Metula.

Aucun blessé n’a été signalé lors de ces attaques.

Le Hamas veut des garanties écrites qu’Israël ne reprendra pas la guerre après une libération d’otages

Ahmed Abdul-Hadi, chef du bureau politique du Hamas au Liban, s'exprime lors d'un entretien avec l’Associated Press, à Beyrouth, le 12 juillet 2024. (Crédit : AP Photo/Hussein Malla)
Ahmed Abdul-Hadi, chef du bureau politique du Hamas au Liban, s'exprime lors d'un entretien avec l’Associated Press, à Beyrouth, le 12 juillet 2024. (Crédit : AP Photo/Hussein Malla)

Un responsable du Hamas a déclaré que le groupe terroriste palestinien insistait toujours sur des garanties écrites de la part des médiateurs dans les négociations de cessez-le-feu en cours pour qu’Israël ne reprenne pas la guerre après la libération du premier groupe d’otages israéliens détenus à Gaza.

Même si les deux parties se sont mises d’accord sur un cadre général pour un accord, le principal point de friction reste que le Hamas souhaite que cet accord aboutisse à un cessez-le-feu permanent, tandis que le Premier ministre Benjamin Netanyahu a déclaré que tout accord « doit permettre à Israël de reprendre les combats jusqu’à ce que tous les objectifs de la guerre soient atteints ».

Ahmed Abdul-Hadi, chef du bureau politique du Hamas au Liban, a déclaré vendredi que le Hamas s’était montré « flexible » sur certains points, mais continuait d’insister sur le fait que « les négociations devraient se poursuivre pour un cessez-le-feu permanent, jusqu’à ce que ce cessez-le-feu permanent soit atteint », contrairement à la formulation de la proposition actuelle, selon laquelle le cessez-le-feu temporaire devrait se poursuivre aussi longtemps que les négociations se poursuivent.

« Netanyahu peut arrêter les négociations et ainsi reprendre l’agression » à tout moment, dit-il. « Nous voulons quelque chose par écrit pour garantir la poursuite des négociations… afin de parvenir à un cessez-le-feu permanent. »

Il a démenti les informations selon lesquelles les dirigeants du groupe à Gaza auraient fait pression sur les dirigeants politiques extérieurs pour qu’ils acceptent l’accord proposé en raison de la pression militaire à laquelle ils sont confrontés, affirmant que « la situation militaire est très solide pour la résistance (Hamas) et est meilleure qu’aux premiers jours de la guerre ».

Abdul-Hadi a ajouté que le Hamas ne s’attendait pas à reprendre son rôle de parti au pouvoir à Gaza après la guerre mais souhaitait voir un gouvernement palestinien formé de technocrates. Cependant, il affirme que la forme que devrait prendre la future gouvernance à Gaza est « une question palestinienne [qui doit] être acceptée par le peuple palestinien » et que la question n’était pas sur la table dans les négociations actuelles.

« Nous ne voulons pas diriger Gaza à nouveau seuls dans la prochaine phase », a-t-il dit. « Nous voulons des partenariats et un consensus national. »

Abdul-Hadi a déclaré qu’une réunion entre le Hamas et son principal rival, le Fatah, devrait avoir lieu en Chine plus tard ce mois-ci et que « nous espérons que cette réunion aboutira à un consensus national ».

La réunion devait avoir lieu le mois dernier mais a été reportée, les deux parties se rejetant la responsabilité de ce report.

La Cour mondiale rendra son avis sur « l’occupation » israélienne le 19 juillet

Le juge-président Nawaf Salam lit un arrêt de la Cour internationale de Justice, à La Haye (Pays-Bas), le 24 mai 2024. (Crédit : AP Photo/Peter Dejong)
Le juge-président Nawaf Salam lit un arrêt de la Cour internationale de Justice, à La Haye (Pays-Bas), le 24 mai 2024. (Crédit : AP Photo/Peter Dejong)

La Cour internationale de Justice rendra son avis sur les conséquences juridiques de « l’occupation des territoires palestiniens » par Israël le 19 juillet, a indiqué la CIJ.

En février, un nombre record de 52 pays ont présenté des arguments devant la Cour au sujet des ramifications juridiques des actions d’Israël en Cisjordanie et dans la bande de Gaza, après que l’Assemblée générale des Nations unies a demandé à la CIJ en 2023 un avis consultatif et non contraignant.

À l’époque, le Premier ministre Benjamin Netanyahu avait critiqué l’Assemblée générale des Nations unies à propos de la résolution, accusant l’organisme mondial de « déformer les faits historiques » et déclarant que le peuple juif ne pouvait pas être « un occupant » sur son propre territoire.

Alors qu’Israël a ignoré de telles opinions par le passé, la décision de la CIJ la semaine prochaine pourrait ajouter une pression politique à sa guerre dévastatrice de neuf mois contre le groupe terroriste palestinien du Hamas dans la bande de Gaza.

La CIJ, affiliée à l’ONU, est le seul tribunal international qui tranche les différends généraux entre nations et donne des avis consultatifs sur les questions juridiques internationales.

Tsahal affirme avoir tué le commandant adjoint du bataillon Shejaiya du Hamas

Une image de Tsahal annonçant l’élimination du commandant adjoint du bataillon Shejaiya du Hamas, Ayman Shweidah, le 12 juillet 2024. (Crédit : Armée israélienne)
Une image de Tsahal annonçant l’élimination du commandant adjoint du bataillon Shejaiya du Hamas, Ayman Shweidah, le 12 juillet 2024. (Crédit : Armée israélienne)

Le commandant adjoint du bataillon Shejaiya du Hamas a été tué lors d’une récente frappe aérienne dans la ville de Gaza, selon l’armée.

Selon l’armée israélienne, Ayman Shweidah a été impliqué dans l’attaque du 7 octobre et a mené de nombreuses attaques contre les troupes à Gaza pendant la guerre.

Ubadah Abu Hain, l’un des commandants de compagnie du bataillon Shejaiya, a également été tué dans l’attaque, aux côtés de Shweidah, selon l’armée israélienne.

L’armée israélienne a affirmé qu’Abu Hain était un vétéran et un commandant éminent du bataillon Shejaiya, prenant une part significative dans les combats.

La 98e Division a récemment terminé un raid de deux semaines à Shejaiya, au cours duquel les soldats ont tué plus de 150 terroristes et démoli huit tunnels, a indiqué l’armée israélienne.

Gaza: la Défense civile annonce avoir retrouvé environ 60 corps dans deux quartiers

Des personnes marchent sur les décombres du bâtiment endommagé de l'Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA) dans le quartier Al-Sinaa à Gaza-City, le 12 juillet 2024, après le retrait des troupes israéliennes de la zone.(Crédit : Omar AL-QATTAA / AFP)
Des personnes marchent sur les décombres du bâtiment endommagé de l'Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA) dans le quartier Al-Sinaa à Gaza-City, le 12 juillet 2024, après le retrait des troupes israéliennes de la zone.(Crédit : Omar AL-QATTAA / AFP)

Environ 60 corps ont été retrouvés vendredi dans deux quartiers de Gaza-City, a indiqué la Défense civile palestinienne, affirmant que l’armée israélienne s’est retirée de ces zones.

« Jusqu’à présent, environ 60 martyrs ont été retrouvés dans les quartiers de Tal al-Hawa et d’al-Sinaa », dans le sud-ouest de Gaza-City, a affirmé le porte-parole de la Défense civile de la bande de Gaza, Mahmoud Basal.

Selon lui, des dizaines d’autres corps jonchent également « les routes et les décombres » dans ces quartiers sinistrés après les combats, où les recherches se poursuivent.

Les chiffres du Hamas ne peuvent être confirmés et ne font pas de distinction entre les civils et les terroristes.

L’armée israélienne n’a pas confirmé s’être retirée de quartiers de Gaza-Coty.

Les forces israéliennes ont à nouveau pénétré dans Tal al-Hawa cette semaine, après avoir ordonné aux civils d’évacuer les lieux lundi.

Mahmoud Basal a également indiqué vendredi matin que de nombreuses maisons avaient été détruites dans ces quartiers, d’autres incendiées.

Israël a averti la quasi-totalité de Gaza-City qu’elle était désormais une zone de combat « dangereuse ».

Tsahal découvre une salle de contrôle, un drone et des armes du Hamas au QG de l’UNRWA

Des armes trouvées par les troupes de Tsahal au siège de l'UNRWA dans la ville de Gaza, dans une photo distribuée le 12 juillet 2024. (Crédit : Armée israélienne)
Des armes trouvées par les troupes de Tsahal au siège de l'UNRWA dans la ville de Gaza, dans une photo distribuée le 12 juillet 2024. (Crédit : Armée israélienne)

Les troupes de la Brigade Commando de Tsahal ont découvert des armes et une salle de contrôle utilisée par le groupe terroriste palestinien du Hamas au siège de l’UNRWA à Gaza City, a annoncé l’armée.

Les troupes ont perquisitionné le complexe en début de semaine dans le cadre d’une nouvelle opération menée par la 99e division dans les quartiers ouest et sud de la ville de Gaza.

Des troupes de la Brigade Commando opèrent au siège de l’UNRWA dans la ville de Gaza, dans une photo distribuée le 12 juillet 2024. (Crédit : Armée israélienne)

Le QG de l’UNRWA est inutilisé depuis plusieurs mois. Tsahal avait déjà effectué un raid sur le complexe au début de l’année, et y avait découvert un important réseau de tunnels du Hamas qui passaient en dessous.

Lors de la dernière opération, Tsahal a indiqué que les commandos avaient capturé des terroristes du Hamas qui tentaient de fuir les installations de l’UNRWA, et qu’ils avaient combattu des cellules terroristes retranchées à l’intérieur du bâtiment.

Un drone du Hamas trouvé par les troupes de Tsahal au siège de l’UNRWA dans la ville de Gaza, sur une photo diffusée le 12 juillet 2024. (Crédit : Armée israélienne)

Les troupes de la brigade Commando ont également trouvé des parties d’un drone du Hamas, une salle de commandement utilisée pour observer les forces israéliennes et des dizaines d’armes, y compris des roquettes, des mitrailleuses, des mortiers, des engins explosifs, des grenades et des drones lanceurs de bombes, selon l’armée.

Dans un bâtiment universitaire voisin, Tsahal a déclaré que les commandos avaient localisé un laboratoire souterrain servant à la fabrication de bombes et d’autres armes.

Après-guerre à Gaza: le Hamas propose un gouvernement palestinien indépendant

Hussam Badran, responsable du groupe terroriste palestinien du Hamas, s'exprimant lors de funérailles dans le camp de réfugiés palestiniens de Burj al-Shamali, près de la ville côtière de Tyr, dans le sud du Liban, le 12 décembre 2021. (Crédit : Mahmoud Zayyat/AFP)
Hussam Badran, responsable du groupe terroriste palestinien du Hamas, s'exprimant lors de funérailles dans le camp de réfugiés palestiniens de Burj al-Shamali, près de la ville côtière de Tyr, dans le sud du Liban, le 12 décembre 2021. (Crédit : Mahmoud Zayyat/AFP)

Le Hamas a proposé qu’un gouvernement indépendant formé de personnalités n’appartenant à aucun parti dirige la bande de Gaza et la Cisjordanie après la guerre, a indiqué vendredi un membre du bureau politique du groupe terroriste islamiste palestinien.

« Nous avons proposé qu’un gouvernement non-partisan et doté de compétences nationales dirige Gaza et la Cisjordanie après la guerre », déclare Hossam Badran dans un communiqué à propos des négociations indirectes en cours entre Israël et le Hamas sous l’égide du Qatar, de l’Egypte et des Etats-Unis en vue d’un arrêt des combats à Gaza et de la libération des otages qui y sont retenus.

« L’administration de Gaza après la guerre est une affaire palestinienne interne ne devant souffrir aucune ingérence extérieure, et nous ne discuterons pas (de l’après-guerre) à Gaza avec une quelconque partie étrangère », ajoute M. Badran.

Un dirigeant du Hamas a néanmoins déclaré à l’AFP sous couvert d’anonymat que la proposition de ce gouvernement non-partisan avait été présentée « avec les médiateurs ».

Ce gouvernement devra gérer « les affaires de la bande de Gaza et de la Cisjordanie dans la première phase de l’après-guerre » et « tracer la voie vers des élections générales », a-t-il précisé.

L’alerte à la roquette dans la zone frontalière de Gaza était une fausse alerte

Les sirènes d’alerte à la roquette qui ont retenti dans la communauté de Kerem Shalom, au sud de la bande de Gaza, se sont avérées être de fausses alertes, selon l’armée.

Une roquette lancée depuis le Liban a touché une zone ouverte

Une roquette lancée il y a peu depuis le Liban a touché une zone ouverte près de la communauté d’Adamit, dans le nord du pays, a déclaré Tsahal.

Les sirènes ont retenti dans la communauté au moment de l’incident. Il n’y a pas de blessés.

Une autre sirène qui a retenti à Avivim peu de temps auparavant s’est avérée être une fausse alerte, ajoute Tsahal.

Tsahal trouve des tours de fabrication d’armes à Gaza-City et élimine des terroristes

Un soldat israélien opérant dans la bande de Gaza, sur une photo diffusée le 12 juillet 2024. (Crédit : Armée israélienne)
Un soldat israélien opérant dans la bande de Gaza, sur une photo diffusée le 12 juillet 2024. (Crédit : Armée israélienne)

Au cours d’opérations dans la ville de Gaza, les troupes de la 99e division ont localisé des tours utilisés pour fabriquer des armes, ainsi que de l’argent appartenant à des groupes terroristes, déclare l’armée israélienne.

Plusieurs terroristes armés ont également été tués au cours des combats à Gaza City, indique Tsahal.

Dans le sud de Gaza, à Rafah, l’armée déclare que les troupes de la 162e division ont tué de nombreux autres terroristes armés lors d’affrontements et en faisant appel à des frappes aériennes.

Par ailleurs, plusieurs roquettes ont été tirées depuis Beit Hanoun, au nord de Gaza, sur la zone du Conseil régional de Lachish, au sud d’Israël, déclenchant des sirènes d’alerte dans la ville de Nir Israël, à proximité d’Ashkelon.

Tsahal affirme que les roquettes ont frappé des zones ouvertes et qu’en réponse, des frappes aériennes ont été menées contre des sites appartenant à des groupes terroristes dans la zone de lancement.

Sous une chaleur torride, des militants poursuivent leur marche pour la libération des otages vers Jérusalem

Des militants pour les otages de Gaza participant à une marche vers Jérusalem avec des fumigènes jaunes pour attirer l'attention sur le sort des personnes enlevées par le Hamas, à proximité de Shoresh, le 12 juillet 2024. (Crédit : sha_b_p@/ Mouvement de protestation pour la démocratie)
Des militants pour les otages de Gaza participant à une marche vers Jérusalem avec des fumigènes jaunes pour attirer l'attention sur le sort des personnes enlevées par le Hamas, à proximité de Shoresh, le 12 juillet 2024. (Crédit : sha_b_p@/ Mouvement de protestation pour la démocratie)

Des militants pour les otages, dont des proches de captifs, entament le troisième jour d’une marche de protestation vers Jérusalem, quittant Shoresh et marchant sous une chaleur écrasante avec des pancartes appelant à un accord pour libérer les otages encore détenus dans les geôles du groupe terroriste palestinien du Hamas.

Un canon à eau utilisé pour refroidir les militants en faveur des otages de Gaza participant à une marche vers Jérusalem sous une chaleur torride, à proximité de Shoresh, le 12 juillet 2024. (Crédit : Oded Engel/Mouvement de protestation pour la démocratie)

Les manifestants se sont aspergés d’eau pour se désaltérer, alors qu’ils brandissent des pancartes demandant au gouvernement de « sceller l’accord », avec de la fumée jaune en arrière-plan.

Des militants pour les otages de Gaza participant à une marche vers Jérusalem avec de la fumée jaune pour attirer l’attention sur le sort des personnes enlevées, à proximité de Shoresh, le 12 juillet 2024. (Crédit : Oded Engel/Mouvement de protestation pour la démocratie)

Des dizaines de militants religieux de gauche se sont joints à la marche, arborant des tee-shirts soulignant le commandement juif intimant la rédemption des captifs.

La marche devrait atteindre la capitale demain soir.

Tsahal frappe un poste de l’armée syrienne en représailles à une attaque à la roquette

L’armée israélienne déclare avoir frappé un poste militaire syrien dans le sud de la Syrie, à Tasil, cette nuit, en riposte à une attaque à la roquette.

La roquette tirée tard dans la nuit a frappé une zone ouverte dans le sud du plateau du Golan, sans faire de blessés.

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