Israël en guerre - Jour 502

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Des familles d’otages tenues au courant après l’envoi par le Hamas d’une liste d’otages vivants

Des photographies des otages sont affichées sur la place des otages de Tel Aviv, le 26 janvier 2025. (Miriam Alster/Flash90)
Des photographies des otages sont affichées sur la place des otages de Tel Aviv, le 26 janvier 2025. (Miriam Alster/Flash90)

Certaines des familles des otages qui doivent être libérés dans le cadre de la première phase de l’accord ont été informées que des inquiétudes subsistaient quant au bien-être de leurs proches, rapportent les médias en hébreu, après que le Hamas a fourni à Israël des informations sur le statut des otages restants tard dans la nuit.

La liste ne donnait pas de précisions sur le statut de chaque individu et se contentait d’indiquer le nombre total de captifs encore en vie.

Bien que le manque d’informations signifie que les responsables ne peuvent pas confirmer définitivement la mort de l’un ou l’autre des otages, des responsables anonymes ont déclaré que les chiffres correspondaient aux renseignements dont Israël disposait déjà et qu’ils renforçaient donc les évaluations antérieures concernant le statut de certains otages.

Des rapports ont précédemment indiqué qu’Israël pensait que 25 des 33 otages devant être libérés au cours de la première phase étaient en vie. Sept captifs ayant déjà été libérées vivantes au cours de la semaine écoulée, cela signifierait que 18 des 26 otages restants sont en vie, tandis que huit sont morts.

Parmi ceux dont le sort est inconnu se trouvent Shiri Bibas, son mari Yarden Bibas et leurs deux jeunes fils Ariel et Kfir.

Le porte-parole de Tsahal, Daniel Hagari, a déclaré samedi qu’il y avait de « graves inquiétudes » pour leur vie.

S’adressant à la chaîne publique Kan, alors que les familles ont été informées du statut présumé de leurs proches, Ofri Bibas, la sœur de Yarden, déclare que la famille attend toujours de recevoir des informations concrètes et « qu’il n’y a pas de différence entre ce que nous savions hier et ce que nous savons aujourd’hui ».

« Nous savons que leur vie est gravement menacée depuis l’annonce faite par le Hamas à la fin de l’accord précédent », dit-elle en faisant référence à l’affirmation du groupe terroriste, en novembre 2023, selon laquelle Shiri, Ariel et Kfir avaient été tués.

Elle appelle le public à s’abstenir de diffuser des « informations fausses et non vérifiées » et déclare que sa famille « a besoin que les informations nous parviennent de sources officielles, et non des médias et des groupes WhatsApp ».

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