Israël en guerre - Jour 341

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L’ex-otage Maya Regev fait ses premiers pas

Elle avait été enlevée avec son frère Itay, 19 ans, et leurs amis Omer-Shem Tov et Ori Danino lors du festival Supernova, le 7 octobre

L'ancienne otage du Hamas Maya Regev lors d'une interview avec la Douzième chaîne, diffusée le 27 juillet 2024. (Credit : Capture d'écran de la Douzième chaîne ; utilisée conformément à l'article 27a de la loi sur le droit d'auteur)
L'ancienne otage du Hamas Maya Regev lors d'une interview avec la Douzième chaîne, diffusée le 27 juillet 2024. (Credit : Capture d'écran de la Douzième chaîne ; utilisée conformément à l'article 27a de la loi sur le droit d'auteur)

Maya Regev, une otage qui a été libérée de captivité, est parvenue à marcher en s’aidant de béquilles alors qu’elle se rétablit lentement des blessures qu’elle avait contractées lors du pogrom du 7 octobre – des blessures aggravées par la négligence de son état de la part de ses ravisseurs lorsqu’elle se trouvait dans les geôles du Hamas.

Elle a subi plusieurs interventions chirurgicales qui ont été pratiquées à son retour en Israël.

Regev, 21 ans, avait été enlevée avec son frère Itay, 19 ans, et leurs amis Omer Shem Tov et Ori Danino alors qu’ils se trouvaient au festival de musique électronique Supernova, le 7 octobre, quand des milliers de terroristes placés sous l’autorité du Hamas avaient franchi la frontière séparant la bande de l’État juif. Les hommes armés avaient massacré près de 1 200 personnes et ils avaient kidnappé 251 personnes qui avaient été prises en otage au sein de l’enclave côtière – se livrant à des atrocités et commettant des violences sexuelles à grande échelle.

A la rave-party, les terroristes avaient tué 364 personnes et ils avaient enlevé des dizaines de personnes – notamment le frère et la sœur qui avaient été tous les deux blessés par une balle à la jambe alors qu’ils tentaient de fuir le carnage.

Ils avaient figuré parmi les 105 civils qui avaient été remis en liberté par le groupe terroriste lors d’une trêve qui avait duré une semaine, à la fin du mois de novembre, après des semaines de captivité.

Regev a indiqué qu’elle était revenue de Gaza avec de nombreuses infections – avec notamment un champignon qui s’était attaqué à ses os – et d’autres signes de négligence de son état de santé. Huit mois après avoir été relâchée, son chemin vers un rétablissement complet reste long.

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