Israël en guerre - Jour 533

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Lors de la 2e journée de deuil pour le 7 octobre, le chef d’état-major rend hommage à ceux qui ont donné leur vie

Le chef d'état-major de Tsahal, le lieutenant-général Herzi Halevi,  sur la tombe d'un militaire dans une photo non datée qui a été diffusée par l'armée le 27 octobre 2024 (Crédit : Tsahal).
Le chef d'état-major de Tsahal, le lieutenant-général Herzi Halevi, sur la tombe d'un militaire dans une photo non datée qui a été diffusée par l'armée le 27 octobre 2024 (Crédit : Tsahal).

Le chef d’état-major de Tsahal, le lieutenant-général Herzi Halevi, a déclaré qu’Israël devait son existence à ceux qui ont été tués et blessés en défendant le pays.

Il a tenu ces propos au commencement d’une journée nationale de deuil en hommage à tous ceux qui ont été tués lors du pogrom du 7 octobre 2023 et dans la guerre qui a suivi dans la bande de Gaza. Des cérémonies ont été organisées pour le triste anniversaire du massacre commis par le groupe terroriste du Hamas.

« Le prix de la guerre est lourd pour une nation qui cherche la liberté sur sa terre », a-t-il indiqué dans un communiqué, paraphrasant l’hymne national. « Ce sont les actes d’héroïsme de tous ceux qui sont tombés au combat et de tous ceux qui ont été blessés, dans leur corps et dans leur âme, qui assurent la pérennité de notre existence. Nous avons le devoir d’achever cette tâche pour eux ».

La journée de deuil officielle a commencé à 6 heures 29 – l’heure à laquelle le Hamas avait lancé son assaut dans le sud d’Israël au mois d’octobre 2023. Les hommes armés avaient tué plus de 1 200 personnes et ils avaient kidnappé 251 personnes qui avaient été prises en otage dans la bande de Gaza.

À 11 heures, la première des deux cérémonies commémoratives qui ont été organisées par l’État se tiendra, rendant hommage aux soldats et aux membres des forces de sécurité israéliennes tombés au champ d’honneur. À 14 heures, la seconde cérémonie aura lieu à la mémoire des victimes civiles de l’attaque du Hamas.

La plupart des proches des victimes ont refusé de s’inscrire pour assister à la cérémonie de commémoration des victimes civiles. Au moins deux des communautés dévastées le 7 octobre ont fait savoir qu’elles ne marqueraient pas ce deuxième jour de deuil.

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