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Aharon Barak se retire de son rôle de juge ad hoc à la CIJ pour motif personnels
Le président de la Cour suprême à la retraite était membre du panel de 15 juges de la Cour internationale de justice, qui examinait le recours de Pretoria déposé contre Israël
Le président de la Cour suprême à la retraite, Aharon Barak, prêtant serment en tant que représentant d'Israël à la Cour internationale de justice de La Haye, le 11 janvier 2024. (Crédit : Cour internationale de justice)
Le président de la Cour suprême à la retraite Aharon Barak a démissionné ce mercredi de son rôle de juge ad hoc au nom d’Israël à la Cour internationale de justice (CIJ), invoquant des raisons personnelles.
Barak était membre du panel de quinze juges de la plus haute juridiction de l’ONU, qui examinait l’affaire de l’Afrique du Sud accusant Israël d’avoir commis un « génocide » dans la bande de Gaza.
Dans une lettre adressée au Premier ministre Benjamin Netanyahu, Barak a indiqué que sa démission était motivée par des « raisons familiales personnelles ».
« Je vous remercie pour la confiance que vous m’avez accordée », a-t-il écrit.
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