Israël en guerre - Jour 569

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Un soldat de l’armée israélienne grièvement blessé dans le sud de la bande de Gaza, selon l’armée

Des soldats ont autorisé un rabbin à rencontrer des soldats en Syrie avant Pessah sans permis préalable * Une première : L'armée libanaise pénètre dans les bases du Hezbollah au nord du Litani

  • Les troupes israéliennes en opération de dans la bande de Gaza, dans une photo diffusée le 11 avril 2025. (Crédit : Tsahal)
    Les troupes israéliennes en opération de dans la bande de Gaza, dans une photo diffusée le 11 avril 2025. (Crédit : Tsahal)
  • Des soldats de la brigade Golani interviennent dans le sud de Gaza, à Rafah, sur une photo distribuée le 11 avril 2025. (Armée israélienne)
    Des soldats de la brigade Golani interviennent dans le sud de Gaza, à Rafah, sur une photo distribuée le 11 avril 2025. (Armée israélienne)
  • Des Palestiniens déplacés font la queue pour remplir leurs conteneurs d'eau au camp de réfugiés de Bureij, dans le centre de la bande de Gaza, le 10 avril 2025. (Crédit : Eyad BABA / AFP)
    Des Palestiniens déplacés font la queue pour remplir leurs conteneurs d'eau au camp de réfugiés de Bureij, dans le centre de la bande de Gaza, le 10 avril 2025. (Crédit : Eyad BABA / AFP)
  • Des soldats israéliens en observation sur une colline après que des bulldozers de l'armée ont démoli des maisons appartenant à la famille Al-Hirsh, dans le village d'Al-Rihaya, au sud de la ville d'Hébron en Cisjordanie, le 10 avril 2025. (Crédit : HAZEM BADER / AFP)
    Des soldats israéliens en observation sur une colline après que des bulldozers de l'armée ont démoli des maisons appartenant à la famille Al-Hirsh, dans le village d'Al-Rihaya, au sud de la ville d'Hébron en Cisjordanie, le 10 avril 2025. (Crédit : HAZEM BADER / AFP)
  • Un avion espion Gulfstream G550 de l'armée de l'air israélienne est aperçu en Grèce lors de l'exercice Iniochos, sur une photo publiée le 11 avril 2025. (Crédit : Armée israélienne)
    Un avion espion Gulfstream G550 de l'armée de l'air israélienne est aperçu en Grèce lors de l'exercice Iniochos, sur une photo publiée le 11 avril 2025. (Crédit : Armée israélienne)

Un soldat de l’armée israélienne grièvement blessé dans le sud de la bande de Gaza, selon l’armée

Un soldat du 12e bataillon de la brigade Golani a été grièvement blessé dans la journée de vendredi alors qu’il menait des opérations dans le sud de la bande de Gaza, selon l’armée.

Le soldat aurait été blessé par un tir accidentel.

Il s’agit du premier soldat grièvement blessé à Gaza depuis que l’armée a repris son offensive dans la bande de Gaza, le mois dernier.

Des soldats ont autorisé un rabbin à rencontrer des soldats en Syrie avant Pessah sans permis préalable

Des officiers de l’armée israélienne ont autorisé le rabbin Shlomo Aviner, 82 ans, et l’un de ses assistants à entrer en Syrie au début du mois pour rencontrer des soldats avant Pessah.

Tsahal a affirmé que leur entrée en Syrie n’avait pas été approuvée par les voies officielles. Aucune sanction ne devrait toutefois être prononcée.

Selon les militaires, Aviner et son assistant sont des réservistes actifs et ils sont entrés en Syrie dans le cadre de leur rôle dans la réserve.

« Leur entrée en territoire syrien a été approuvée sans autorité compétente », a noté Tsahal, qui a ajouté qu’elle avait ouvert une enquête sur le processus d’approbation de leur entrée dans le pays et que « les procédures ont été renforcées ».

Les soldats israéliens se sont déployés sur neuf postes à l’intérieur du sud de la Syrie depuis la chute du régime d’Assad au mois de décembre – principalement dans une zone tampon à la frontière entre les deux pays. Depuis lors, il n’y a eu que deux incidents mineurs de coups de feu en direction des troupes – des incidents survenus lors d’incursions menées plus profondément en Syrie et non aux postes situés près de la frontière.

Au mois de novembre, le chercheur Zeev Erlich, un civil âgé de 71 ans, qui ne faisait pas partie des réservistes, avait été autorisé à pénétrer dans une zone du sud du Liban où des combats avaient alors lieu. Il était entré dans le pays sans l’autorisation requise et il avait été tué aux côtés du soldat qui l’escortait.

L’armée réfute qu’elle laisse les civils se promener dans le territoire syrien

Carte montrant les sentiers de randonnée qui ont été rouverts dans le nord d'Israël avant la fête de Pessah, le 11 avril 2025. (Crédit : Armée israélienne)
Carte montrant les sentiers de randonnée qui ont été rouverts dans le nord d'Israël avant la fête de Pessah, le 11 avril 2025. (Crédit : Armée israélienne)

Malgré ce qu’affirme The Guardian, l’armée israélienne n’a pas autorisé les civils à se rendre sur le territoire syrien récemment saisi pour qu’ils puissent y faire des randonnées pendant Pessah.

Le 3 avril, à la suite d’un article trompeur d’Ynet, l’armée israélienne a répondu à une question en disant que « les sentiers du plateau du Golan se trouvent en territoire israélien, et non en Syrie. Les sentiers qui sont ouverts sur le plateau du Golan l’étaient déjà par le passé, à l’exception d’un seul, celui de la rivière Ruqqad, qui est situé près de la voie ferrée du Hedjaz – un itinéraire qui était ouvert il y a des années. En préparation de Pessah, le Commandement du Nord, en collaboration avec l’Autorité israélienne de la nature et des parcs, le ministère de la Défense et les autorités locales, rouvrent ou ouvrent pour la première fois des sentiers de randonnée dans le nord d’Israël. L’ouverture de ces itinéraires est rendue possible grâce à la création d’une réalité sécuritaire dans le nord qui permet d’ouvrir les itinéraires au grand public ».

Le 6 avril, l’armée a indiqué dans un communiqué de presse que, lors d’une évaluation, son chef d’état-major, le lieutenant-général Eyal Zamir, « a réitéré ses instructions, qui sont que Tsahal n’autorisera pas les civils à faire des randonnées au-delà de la frontière internationale, mais uniquement en territoire israélien et dans les lieux où des randonnées ont eu lieu dans le passé, en fonction de la situation sécuritaire ».

Aujourd’hui, les militaires ont publié, dans un communiqué de presse, une carte montrant les nouveaux sentiers de randonnée ouverts, déclarant que « conformément à une évaluation de la situation opérationnelle, l’armée autorisera la réouverture des sentiers de randonnée dans le nord du pays qui, pendant la guerre, ont été définis comme des zones militaires fermées au grand public. L’accès aux sentiers qui traversent la barrière frontalière, en territoire israélien, est interdit ».

Six compagnies supplémentaires ajoutées à la division de Cisjordanie pour Pessah ; 85 Palestiniens ont été arrêtés cette semaine

Des soldats israéliens en observation sur une colline après que des bulldozers de l'armée ont démoli des maisons appartenant à la famille Al-Hirsh, dans le village d'Al-Rihaya, au sud de la ville d'Hébron en Cisjordanie, le 10 avril 2025. (Crédit : HAZEM BADER / AFP)
Des soldats israéliens en observation sur une colline après que des bulldozers de l'armée ont démoli des maisons appartenant à la famille Al-Hirsh, dans le village d'Al-Rihaya, au sud de la ville d'Hébron en Cisjordanie, le 10 avril 2025. (Crédit : HAZEM BADER / AFP)

L’armée a fait savoir qu’elle avait renforcé la division de Cisjordanie avec six compagnies supplémentaires. Les troupes pourront mener des opérations pendant les vacances de Pessah.

L’armée a affirmé qu’au cours de la semaine dernière, 85 Palestiniens recherchés ont été arrêtés en Cisjordanie.

L’Arabie saoudite appelle à une « pression maximale » sur Israël pour autoriser l’aide humanitaire à Gaza

L’Arabie saoudite a demandé vendredi que des pressions soient exercées pour assurer un flux régulier d’aide dans la bande de Gaza ravagée par la guerre, après un blocus imposé par Israël sur l’entrée de fournitures humanitaires cruciales.

« Je demande qu’une pression maximale soit exercée pour assurer un flux continu et suffisant d’aide dans la bande de Gaza », a déclaré le ministre saoudien des Affaires étrangères, Fayçal ben Farhane, à l’issue d’une réunion avec ses homologues de la région dans le sud de la Turquie.

Tsahal confirme avoir pris part avec le Qatar à des exercices aériens organisés par la Grèce

Un avion espion Gulfstream G550 de l'armée de l'air israélienne est aperçu en Grèce lors de l'exercice Iniochos, sur une photo publiée le 11 avril 2025. (Crédit : Armée israélienne)
Un avion espion Gulfstream G550 de l'armée de l'air israélienne est aperçu en Grèce lors de l'exercice Iniochos, sur une photo publiée le 11 avril 2025. (Crédit : Armée israélienne)

L’armée israélienne a enfin commenté sa participation à un exercice aérien annuel organisé par la Grèce, auquel le Qatar a également pris part cette année.

Onze autres pays se sont joints à la Grèce pour l’exercice Iniochos de cette année : les États-Unis, la France, l’Inde, Israël, l’Italie, le Monténégro, la Pologne, le Qatar, la Slovénie, l’Espagne et les Émirats arabes unis.

Chypre y a également pris part avec du personnel de soutien, et la Slovaquie et Bahreïn ont envoyé des observateurs.

L’armée de l’air israélienne n’a envoyé qu’un avion espion Gulfstream G550, du 122e escadron, dans le cadre de cet exercice, a confirmé Tsahal. Les années précédentes, l’armée de l’air avait envoyé plusieurs escadrons d’avions de chasse et de ravitailleurs, en plus des avions espions.

L’exercice a commencé le 24 mars et il s’est achevé aujourd’hui. Les militaires avaient refusé de commenter l’exercice avant qu’il ne soit terminé.

Dans un communiqué, Tsahal a déclaré que sa participation à l’exercice visait à « renforcer la coopération stratégique avec les armées étrangères, à améliorer les compétences des forces participantes et à offrir aux équipages un défi professionnel dans des conditions de vol caractérisées par un environnement inconnu et avec des menaces variables ».

L’armée israélienne n’a pas mentionné les pays qui ont participé à l’exercice.

L’armée de l’air grecque avait expliqué, le mois dernier, que l’exercice visait à simuler divers scénarios, notamment l’évitement d’attaques, les frappes et les opérations de recherche et de sauvetage.

Les actions d’Israël menacent la « capacité future des Palestiniens à vivre à Gaza » selon l’ONU

Des Palestiniens déplacés font la queue pour remplir leurs conteneurs d'eau au camp de réfugiés de Bureij, dans le centre de la bande de Gaza, le 10 avril 2025. (Crédit : Eyad BABA / AFP)
Des Palestiniens déplacés font la queue pour remplir leurs conteneurs d'eau au camp de réfugiés de Bureij, dans le centre de la bande de Gaza, le 10 avril 2025. (Crédit : Eyad BABA / AFP)

Les actions d’Israël dans la bande de Gaza menacent la « capacité future des Palestiniens à vivre » dans ce territoire, a affirmé vendredi une porte-parole du Haut-Commissariat de l’ONU aux droits de l’homme.

« La mort, la destruction, les déplacements, le déni d’accès aux besoins fondamentaux à Gaza et l’idée répétée que les Gazaouis devraient quitter complètement le territoire soulèvent de réelles inquiétudes quant à la capacité future des Palestiniens à vivre en tant que groupe à Gaza », a déclaré la porte-parole, Ravina Shamdasani, lors d’un point de presse à Genève.

Tsahal annonce la découverte d’un tunnel du Hamas sous une maternelle de Rafah

Des soldats de la brigade Golani interviennent dans le sud de Gaza, à Rafah, sur une photo distribuée le 11 avril 2025. (Armée israélienne)
Des soldats de la brigade Golani interviennent dans le sud de Gaza, à Rafah, sur une photo distribuée le 11 avril 2025. (Armée israélienne)

L’armée israélienne a annoncé la découverte par les soldats de la brigade Golani, dans le sud de la bande de Gaza, à Rafah, d’un tunnel du Hamas construit sous une école maternelle.

Selon les images diffusées par les militaires, l’une des entrées du tunnel se trouvait dans la cour d’une garderie, à une centaine de mètres de l’école.

Les troupes de l’unité d’ingénierie de combat d’élite Yahalom ont étudié le tunnel, long de plusieurs dizaines de mètres, qui s’est avéré piégé. Selon l’armée, ce tunnel mène à un passage souterrain « clé » pour le Hamas.

Le tunnel a été démoli.

Tsahal élimine le commandant des forces de tireurs d’élite du Hamas à Rafah

Des troupes de Tsahal  dans la bande de Gaza, sur une photo diffusée le 11 avril 2025. (Crédit : Armée israélienne)
Des troupes de Tsahal dans la bande de Gaza, sur une photo diffusée le 11 avril 2025. (Crédit : Armée israélienne)

Le commandant des tireurs d’élite du bataillon Tel Sultan du groupe terroriste palestinien du Hamas dans le sud de la bande de Gaza à Rafah, a été tué lors d’une récente frappe, a indiqué l’armée vendredi.

Selon Tsahal, Ahmad Iyad Muhammad Farhat était responsable de la planification et de l’exécution de nombreuses attaques contre des soldats israéliens à Gaza et contre Israël.

La division de Tsahal opérant dans la bande de Gaza est engagée depuis un mois dans les quartiers de Tel Sultan et de Shaboura, à Rafah. Au cours des dernières 24 heures, l’armée affirme que ses troupes ont éliminés plusieurs terroristes et détruit des bâtiments piégés.

Non loin de là, entre Rafah et Khan Younès, Tsahal indique que la 36e division a progressé dans le corridor dit de Morag. Les troupes y ont tué plusieurs membres du groupe terroriste et ils ont détruit des infrastructures souterraines et en surface utilisées par le Hamas.

Dans le nord de la bande de Gaza, la 252e division a localisé et détruit d’autres infrastructures du Hamas. Un char a ouvert le feu sur un groupe de terroristes armés, les éliminant, selon l’armée.

Au cours de la dernière journée, des avions de chasse, des drones et des hélicoptères de l’armée de l’air israélienne ont frappé environ 40 cibles dans la bande de Gaza.

Tsahal précise que ces cibles comprenaient des cellules terroristes, des bâtiments utilisés par des groupes terroristes, des caches d’armes et d’autres infrastructures.

Tsahal émet un avis d’évacuation pour certaines parties de l’est de Gaza-city

Tsahal a diffusé vendredi un avis d’évacuation à l’attention des Palestiniens résidant dans plusieurs zones de l’est de Gaza-city.

Dans un message publié sur X, le porte-parole de l’armée en arabe, le colonel Avichay Adraee, a partagé une carte des quartiers concernés, incluant Shejaiya, Zeitoun et Tuffah.

Il y annonce que l’armée israélienne y interviendra prochainement « avec une grande force » afin de « détruire l’infrastructure terroriste ».

Les civils sont invités à se diriger vers des abris situés à l’ouest de Gaza-city.

Israël et l’Égypte échangent des projets d’accord sur les otages — rapport

Steve Witkoff, envoyé spécial des États-Unis au Moyen-Orient, sur Fox News, 23 mars 2025. (Crédit : Capture d'écran/Fox News)
Steve Witkoff, envoyé spécial des États-Unis au Moyen-Orient, sur Fox News, 23 mars 2025. (Crédit : Capture d'écran/Fox News)

Israël et l’Egypte ont échangé des projets d’accord de cessez-le-feu et de libération des otages, a indiqué Kan radio.

Selon Kan, ces projets ont vocation à trouver un compromis entre la proposition égyptienne et celle de l’envoyé spécial américain Steve Witkoff.

De hauts fonctionnaires israéliens ont fait savoir à Kan que l’accord était à portée de main.

La proposition égyptienne annoncée en début de semaine prévoit la libération de huit otages vivants ainsi que huit corps en échange d’une trêve de 40 à 70 jours et de la libération d’un grand nombre de terroristes et autres prisonniers de sécurité palestiniens.

Le mois dernier, Witkoff avait proposé un texte prévoyant la libération de cinq otages en échange d’un grand nombre de prisonniers de sécuritè palestiniens et d’un cessez-le-feu de deux mois.

Une première : L’armée libanaise pénètre dans les bases du Hezbollah au nord du Litani

Un officier de l’armée libanaise montre au Premier ministre Nawaf Salam une position militaire israélienne à l’horizon, depuis le village de Khiam, au sud du Liban, le 28 février 2025. (Crédit : Rabih DAHER / AFP)
Un officier de l’armée libanaise montre au Premier ministre Nawaf Salam une position militaire israélienne à l’horizon, depuis le village de Khiam, au sud du Liban, le 28 février 2025. (Crédit : Rabih DAHER / AFP)

L’armée libanaise a pénétré pour la première fois dans des bases du Hezbollah situées au nord du fleuve Litani, et aurait presque achevé le démantèlement des infrastructures du groupe terroriste chiite libanais, soutenu par l’Iran, dans le sud du pays, rapporte le média libanais Al Jadeed.

Selon la chaîne, le Hezbollah n’avait jusqu’à présent jamais cédé le contrôle de ses bases situées au nord du Litani à l’armée régulière.

L’article ajoute que le gouvernement libanais envisage de conclure un accord avec le Hezbollah pour un transfert progressif de ses armes.

Plus tôt dans la journée, Hassan Fadlallah, député du Hezbollah, a déclaré que le groupe était prêt à entamer un dialogue avec le gouvernement libanais sur une stratégie de défense nationale, insistant sur la nécessité de garantir le retrait complet des troupes israéliennes du territoire libanais.

Les affrontements entre Israël et le Hezbollah ont pris fin avec un cessez-le-feu en novembre 2024, entraînant le retrait des forces israéliennes de la majeure partie du sud du Liban, à l’exception de cinq positions stratégiques proches de la frontière.

Israël affirme qu’il transférera ces dernières à l’armée libanaise une fois que les conditions de sécurité seront jugées suffisantes.

Reuters a contribué à cet article.

Netanyahu réunit négociateurs et chefs de la sécurité pour discuter des otages et rencontre des familles de captifs

Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a terminé une réunion d’évaluation de la situation des otages détenus à Gaza avec ses négociateurs et ses chefs de la sécurité, selon des sources du Times of Israel.

Il a également rencontré à Jérusalem les familles des otages Elkana Bohbot et Rom Braslavski, a précisé son bureau.

Selon le bureau du Premier ministre, Netanyahu a informé les familles de l’état des discussions en cours concernant la libération des otages.

Netanyahu a « réaffirmé son engagement à atteindre tous les objectifs de la guerre, à savoir, ramener tous nos otages, anéantir le Hamas et garantir que Gaza ne représente plus une menace pour Israël », a précisé son bureau.

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