Israël en guerre - Jour 435

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Un résident de Jérusalem-Est arrêté, soupçonné de complicité un attentat terroriste en Cisjordanie

Huit personnes avaient été blessées, dont trois grièvement, lorsqu'un terroriste du Hamas avait ouvert le feu sur un bus qui transportait des civils à proximité d'Ariel

In bus criblé de balles après une attaque terroriste à une intersection près de l'implantation d'Ariel, près de Naplouse en Cisjordanie, le 29 novembre 2024. (Capture d'écran/ Twitter)
In bus criblé de balles après une attaque terroriste à une intersection près de l'implantation d'Ariel, près de Naplouse en Cisjordanie, le 29 novembre 2024. (Capture d'écran/ Twitter)

Un Arabe israélien résidant à Jérusalem-Est a été arrêté, soupçonné d’avoir apporté son aide et encouragé un attentat terroriste qui a été commis vendredi aux abords de l’implantation d’Ariel, en Cisjordanie, a déclaré samedi la police israélienne.

Huit personnes avaient été blessées, dont trois grièvement, lorsqu’un terroriste du Hamas avait ouvert le feu sur un bus qui transportait des civils à proximité d’Ariel. L’homme armé avait été abattu par les forces de sécurité sur place.

Le Hamas a depuis revendiqué l’attentat, disant que le terroriste appartenait aux Brigades al-Qassam.

Les premières images de la scène semblaient montrer que le terroriste était armé d’un fusil d’assaut.

Quatre personnes avaient été touchées par des tirs – dont trois étant dans un état grave et une dans un état modéré, avaient fait savoir les services de secours du Magen David Adom.

Quatre autres personnes avaient été légèrement blessées par des éclats de verre, avaient ajouté le MDA.

Selon une première enquête de Tsahal, le terroriste était parti d’un village de la région de Naplouse.

Parti du secteur où se trouve le carrefour Tapuah, il s’était rendu au carrefour Gitai Avisar – une route sans postes de contrôle. Il avait arrêté sa voiture sur le bas-côté de la route, à environ 150 mètres d’un arrêt d’autobus. De là, il avait ouvert le feu sur le bus tout en s’en approchant à pied.

Tsahal avait fait savoir que les militaires pensaient que le terroriste n’avait pas agi seul et qu’il avait dû avoir des complices qui lui avaient fourni le fusil d’assaut M-16 et le véhicule pour mener à bien son attentat.

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