Israël en guerre - Jour 345

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Netanyahu à Fox : L’accord pour les otages « n’est pas proche » ; il accuse le Hamas de s’y opposer

Lazar Berman est le correspondant diplomatique du Times of Israël

Un manifestant allumant une fusée rose tandis que d'autres déploient une banderole et brandissent des photos d'otages lors d'une manifestation anti-gouvernement appelant à une action pour obtenir la libération des otages israéliens retenus en captivité depuis le pogrom du 7 octobre par le Hamas, devant le ministère de la Défense, à Tel Aviv le 4 septembre 2024. (Crédit : Jack Guez/AFP)
Un manifestant allumant une fusée rose tandis que d'autres déploient une banderole et brandissent des photos d'otages lors d'une manifestation anti-gouvernement appelant à une action pour obtenir la libération des otages israéliens retenus en captivité depuis le pogrom du 7 octobre par le Hamas, devant le ministère de la Défense, à Tel Aviv le 4 septembre 2024. (Crédit : Jack Guez/AFP)

Lors de l’émission matinale « Fox and Friends », le Premier ministre Benjamin Netanyahu a déclaré qu’un accord pour la libération des otages n’était pas sur le point d’être conclu.

« Il n’y a, malheureusement, pas d’accord en préparation. »

« Il n’est pas près de l’être », a-t-il ajouté, blâmant le rejet du groupe terroriste palestinien du Hamas et soulignant qu’il existe des questions non résolues au-delà de l’avenir du couloir stratégique dit de « Philadelphi », qui sépare l’Égypte de la bande de Gaza.

Netanyahu a indiqué que ses lignes rouges « sont devenues plus rouges » et que la majorité du peuple soutient la décision du cabinet de rester à la frontière entre Gaza et l’Égypte dans un avenir prévisible.

La plupart des arguments du Premier ministre concernant le corridor Philadelphi reflètent les propos qu’il a tenus lors de deux conférences de presse cette semaine.

Interrogé par NBC sur l’information selon laquelle les familles des otages américains auraient poussé l’administration Biden à conclure un accord unilatéral avec le Hamas si nécessaire, Netanyahu a répondu qu’il ne savait pas ce qui s’était dit lors de la réunion, mais qu’il ne jugeait pas les familles.

« Elles ont tellement souffert. »

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