Des policiers français conduisent Klaus Barbie, au centre, menotté, hors de la salle d'audience de Lyon, après avoir été condamné le 4 juillet 1987 pour crimes contre l'humanité alors qu'il était chef de la Gestapo dans cette ville. (Crédit : AP)
Près de soixante ans après la fin des procès de Nuremberg, qui ont reconnu coupables un certain nombre de responsables nazis de crimes contre l’humanité alors que l’Allemagne venait de perpétrer le génocide de six millions de Juifs en Europe, la chaîne Public Sénat a souhaité rendre hommage aux « chasseurs de nazis » à travers un documentaire en deux parties.
Ces hommes et ces femmes, à l’instar de Simon Wiesenthal et de Serge et Beate Klarsfeld, ont consacré une grande partie de leur vie à remonter la piste d’anciens nazis qui, à la fin de la Seconde Guerre mondiale, ont changé d’identité et se sont cachés, souvent en Amérique du Sud, pour ne jamais avoir à répondre de leurs crimes.
Composé de documents d’archives, ce film d’Isabelle Clarke et de Daniel Costelle salue le travail de longue haleine des « chasseurs de nazis » pour traduire en justice les anciens génocidaires, mais retrace aussi dans le détail la fuite des anciens nazis à partir de la défaite allemande et jusqu’en l’an 2000, grâce au soutien de filières internationales.
Des images d’archives inédites, et commentées par Serge Klarsfeld, historien et avocat de la cause des déportés en France.
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