« Le mal à l’état pur » : un élu du Likud dénonce la « parade de cercueils comme des trophées devant une foule en liesse » à Gaza

Suite à la restitution par le Hamas de ce qu’il affirme être les corps de quatre otages assassinés, le ministre de la Diaspora, Amichaï Chikli (Likud), déclare « qu’une société qui cultive une culture du meurtre et de la mort n’a pas le droit d’exister ».
« L’un des plus grands échecs de l’Occident est son refus de reconnaître l’existence du mal pur. Nous avons élevé des générations à croire que les monstres n’existent que dans les contes de fées, qu’il n’y a pas de vrai bien ou de vrai mal, et que toutes les cultures sont égales », a écrit le ministre sur le réseau social X.
« Et puis vient ce jour maudit, un jour d’horreur et de honte, où un vieil homme, une mère et ses deux enfants : Oded Lipshitz, Shiri, Ariel et Kfir Bibas, qui ont été massacrés par des terroristes du Hamas, ont été exhibés comme des trophées devant une foule acclamant et agitant des drapeaux à Gaza. Le mal à l’état pur. Et contre un tel mal, il ne peut y avoir d’excuses, de rationalisations ou de compromis », a-t-il écrit en anglais.
« Une société qui cultive une culture du meurtre et de la mort n’a pas le droit d’exister. Une société qui tolère en son sein des sympathisants du [groupe terroriste palestinien du] Hamas condamne ses propres personnes âgées, ses propres mères et enfants, au même sort. Le mal prospère dans l’ombre de la lâcheté. L’histoire ne pardonnera pas à ceux qui ont détourné le regard. »