L’ex-otage Ofer Calderon : Les otages pensent qu’ils vont mourir lorsqu’il n’y a pas de pourparlers

L'ex-otage Ofer Calderon s'entretient avec la chaîne publique Kan lors d'une interview diffusée le 6 mars 2025. (Capture d'écran Kan ; utilisée conformément à l'article 27a de la loi sur les droits d'auteur)
L’ex-otage Ofer Calderon est revenu sur les difficultés de la captivité à Gaza en parlant du sentiment de désespoir lorsqu’il n’y avait pas de négociations pour libérer les Israéliens détenus par le Hamas.
« Je tiens énormément à ce que l’accord aille à son terme, car je sais mieux que quiconque ce qu’ils ressentent là-bas, en ce moment-même », a-t-il déclaré à la chaîne publique Kan lors d’une remise de médailles pour des cyclistes israéliens.
« Quand il n’y a pas de pourparlers, c’est le désespoir », a ajouté Calderon. « Les gens là-bas ont l’impression qu’ils vont mourir, que la lumière au bout du tunnel s’est éteinte. »