Israël en guerre - Jour 537

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L’armée a frappé au drone le centre de Gaza après que des suspects ont emprunté un itinéraire non autorisé

Tsahal dit avoir détruit un tunnel appartenant à une unité d'élite du Hezbollah près de la frontière israélo-libanaise * Netanyahu redit que ni le Hamas ni l'Autorité palestinienne ne gouverneront Gaza après la guerre

  • Un affichage géant près de la mission diplomatique américaine à Tel Aviv marquant le 500e jour de captivité de 73 otages à Gaza, le 17 février 2025. (Aviv Atlas / Mouvement de protestation pro-démocratie)
    Un affichage géant près de la mission diplomatique américaine à Tel Aviv marquant le 500e jour de captivité de 73 otages à Gaza, le 17 février 2025. (Aviv Atlas / Mouvement de protestation pro-démocratie)
  • Des soldats israéliens sur la clôture de la frontière israélienne avec le Liban, au nord d'Israël, le 2 février 2025. (Crédit : Ayal Margolin/Flash90)
    Des soldats israéliens sur la clôture de la frontière israélienne avec le Liban, au nord d'Israël, le 2 février 2025. (Crédit : Ayal Margolin/Flash90)
  • Des familles d'otages détenus dans la bande de Gaza marchent vers la Knesset à Jérusalem, marquant les 500 jours depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas, le 17 février 2025. (Chaim Goldberg / Flash90)
    Des familles d'otages détenus dans la bande de Gaza marchent vers la Knesset à Jérusalem, marquant les 500 jours depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas, le 17 février 2025. (Chaim Goldberg / Flash90)
  • Une exposition d'otages à l'angle des rues Ibn Gabirol et Jabotinsky à Tel Aviv, marquant 500 jours de captivité à Gaza, le 17 février 2025. (Lior Segev / Mouvement de protestation pro-démocratie)
    Une exposition d'otages à l'angle des rues Ibn Gabirol et Jabotinsky à Tel Aviv, marquant 500 jours de captivité à Gaza, le 17 février 2025. (Lior Segev / Mouvement de protestation pro-démocratie)
  • Des militants, dont des proches d'otages détenus dans la bande de Gaza, se rassemblent pour exiger leur retour, devant la Knesset à Jérusalem, au 500e jour depuis le début de la guerre à Gaza, le 17 février  2025. (Yonatan Sindel/Flash90)
    Des militants, dont des proches d'otages détenus dans la bande de Gaza, se rassemblent pour exiger leur retour, devant la Knesset à Jérusalem, au 500e jour depuis le début de la guerre à Gaza, le 17 février 2025. (Yonatan Sindel/Flash90)
  • L'armée libanaise, les forces de sécurité et les premiers secours de la défense civile inspectent les restes d'un véhicule détruit qui aurait été touché par une frappe israélienne dans la ville de Sidon, au sud du Liban, le 17 février 2025. (Photo par AFP)
    L'armée libanaise, les forces de sécurité et les premiers secours de la défense civile inspectent les restes d'un véhicule détruit qui aurait été touché par une frappe israélienne dans la ville de Sidon, au sud du Liban, le 17 février 2025. (Photo par AFP)
  • Des Israéliens bloquent une route principale à Tel Aviv pour demander la libération des otages détenus par le Hamas dans la bande de Gaza, le 17 février 2025. (Erik Marmor/Flash90)
    Des Israéliens bloquent une route principale à Tel Aviv pour demander la libération des otages détenus par le Hamas dans la bande de Gaza, le 17 février 2025. (Erik Marmor/Flash90)
  • Le Premier ministre Benjamin Netanyahu, à droite, et son avocat Amit Hadad arrivent dans la salle d'audience du tribunal du district de Tel Aviv pour le dixième jour de témoignage du Premier ministre dans son procès pour corruption, le 17 février 2025. (Gideon Markowicz/POOL)
    Le Premier ministre Benjamin Netanyahu, à droite, et son avocat Amit Hadad arrivent dans la salle d'audience du tribunal du district de Tel Aviv pour le dixième jour de témoignage du Premier ministre dans son procès pour corruption, le 17 février 2025. (Gideon Markowicz/POOL)

L’armée a frappé au drone le centre de Gaza après que des suspects ont emprunté un itinéraire non autorisé

L’armée a affirmé avoir effectué une frappe de drone d’avertissement dans le centre de Gaza dans la journée, après que des suspects en voiture ont tenté de se rendre dans le nord de la bande par un itinéraire non autorisé, en violation du cessez-le-feu.

La circulation des véhicules en direction du nord n’est autorisée que sur la route Salah a-Din, où une entreprise privée inspecte les voitures se dirigeant vers le nord de Gaza.

Un officiel israélien rencontre des diplomates étrangers pour discuter des raids en Cisjordanie

Le brigadier général Hisham Ibrahim, chef de l'administration civile, rencontre des représentants de plusieurs pays et organisations étrangères opérant en Cisjordanie le 17 février 2025. (Administration civile)
Le brigadier général Hisham Ibrahim, chef de l'administration civile, rencontre des représentants de plusieurs pays et organisations étrangères opérant en Cisjordanie le 17 février 2025. (Administration civile)

Le brigadier général Hisham Ibrahim, chef de l’administration civile, un organisme du ministère de la Défense faisant partie du COGAT, qui réglemente la vie quotidienne en Cisjordanie, a rencontré aujourd’hui des représentants de plusieurs pays et organisations internationales qui mènent des opérations sur le territoire, a indiqué son bureau.

Une réunion qui intervient dans le cadre d’une importante opération antiterroriste israélienne qui est actuellement en cours en Cisjordanie et à l’approche du mois sacré du ramadan pour les musulmans.

La rencontre a également lieu peu après l’entrée en vigueur de la législation israélienne limitant sévèrement les opérations de l’UNRWA, l’une des principales agences travaillant en Cisjordanie.

Parmi les participants à la réunion figuraient des représentants des États-Unis, du Royaume-Uni, de la France, de l’Allemagne, du Japon, de l’Union européenne et d’autres nations.

Ibrahim a informé les représentants de la situation en Cisjordanie, y compris de l’opération militaire en cours contre les groupes terroristes dans le nord du territoire ainsi que des efforts visant à maintenir la routine quotidienne des civils palestiniens, selon le communiqué.

Gantz : Israël a devant lui sa dernière opportunité de libérer les otages de Gaza

Le chef du parti HaMahane HaMamlahti, Benny Gantz, s'exprimant pendant une réunion de faction à la Knesset, le 16 décembre 2024. (Crédit : Chaim Goldberg/ Flash90)
Le chef du parti HaMahane HaMamlahti, Benny Gantz, s'exprimant pendant une réunion de faction à la Knesset, le 16 décembre 2024. (Crédit : Chaim Goldberg/ Flash90)

Israël doit assurer le retour d’autant d’otages que possible, a déclaré à la presse le président de HaMahane HaMamlahti, Benny Gantz, estimant qu’Israël a devant lui « la dernière opportunité » de ramener les otages de Gaza.

« Je vous demande de rester silencieux pendant une minute. Pensez que cette minute se transforme en une heure, puis en un jour, et essayez maintenant de penser à 500 jours, et en 500 jours, nous avons perdu plus de 30 otages vivants », a déclaré Gantz lors d’une réunion de son parti à la Knesset.

« Leur sort sera scellé, vivant ou mort, dans les décisions qui seront prises dans les semaines à venir. Nous ne pouvons pas attendre le millième jour. Nous devons exploiter tous les leviers de pression, tous les moyens, mais aussi nous préparer à des concessions douloureuses et nous devons les ramener à la maison – jusqu’au dernier otage. »

Après les premiers mois de la guerre en cours, Israël n’a pas su « profiter des opportunités créées par la pression militaire pour remplacer le régime du Hamas et ramener nos otages comme nous l’avions demandé », poursuit-il.

« Aujourd’hui, il est clair que lorsque nous avons dit, il y a plus d’un an, qu’il était possible d’interrompre les combats afin de recouvrir les personnes enlevées et d’éliminer ensuite le régime du Hamas, nous avions raison. »

En ce qui concerne le Liban, Gantz affirme que Beyrouth « ne respecte pas l’accord et que le Hezbollah s’arme et revient opérer dans la zone frontalière ».

Par conséquent, Israël « ne peut pas retirer ses forces du Liban », car cela reviendrait à laisser les habitants du nord sans protection.

L’armée confirme qu’elle restera déployée en cinq points stratégiques après son retrait du Sud-Liban demain

Des troupes de Tsahal avec la 769e brigade régionale « Hiram » opérant dans le sud du Liban, dans une photo publiée le 31 décembre 2024. (Crédit : Armée israélienne)
Des troupes de Tsahal avec la 769e brigade régionale « Hiram » opérant dans le sud du Liban, dans une photo publiée le 31 décembre 2024. (Crédit : Armée israélienne)

L’armée israélienne confirme que des troupes resteront déployées sur cinq positions stratégiques au Sud-Liban après la date limite de retrait fixée à demain dans le cadre d’un accord de cessez-le-feu, et en indiquent les emplacements.

Les États-Unis ont autorisé l’armée israélienne à rester sur ces cinq positions, mais on ne sait pas encore combien de temps les troupes y resteront.

Sur les cinq positions, Tsahal a construit des postes militaires qui seront occupés par des troupes.

Les postes sont situés sur une colline près de Labbouneh, en face de la ville frontalière israélienne de Shlomi ; sur le pic Jabal Blat, en face de Zar’it ; sur une colline en face d’Avivim et de Malkia ; sur une colline en face de Margaliot ; et sur une colline en face de Metula.

Aucun de ces postes n’est situé dans des zones construites du Liban. L’armée se retirera demain de tous les villages et villes frontaliers du Liban.

Tsahal a également renforcé ses défenses du côté israélien de la frontière, avec plusieurs nouveaux postes de l’armée, un devant chaque communauté frontalière israélienne, de meilleures capacités de surveillance, y compris davantage de caméras, de radars et de capteurs, et des troupes trois fois plus nombreuses qu’avant la guerre.

L’armée s’attend à ce que les partisans du Hezbollah organisent des manifestations lorsque les habitants des villages frontaliers du Sud-Liban rentreront chez eux. D’ici là, les troupes ne se trouveront dans aucune de ces villes et il ne devrait donc pas y avoir d’accrochages directs, selon l’armée israélienne.

L’armée empêchera toutefois tout suspect de s’approcher de la frontière israélienne et des postes de l’armée nouvellement établis sur les cinq positions stratégiques.

Au cours des derniers jours, l’armée israélienne a mené une « activité intensive » dans le sud du Liban, éliminant toutes les dernières menaces qu’elle pouvait trouver, des caches d’armes du Hezbollah à son système de tunnels. Les troupes ont opéré dans des zones allant jusqu’à 8 kilomètres à l’intérieur du Liban.

Tsahal affirme que la zone proche de la frontière israélienne est pratiquement entièrement débarrassée des infrastructures et des armes du Hezbollah, après que les troupes ont, au cours des derniers mois, passé presque toutes les maisons, les arbres et les vallées au peigne fin.

Parallèlement, l’armée affirme qu’elle continuera à faire respecter l’accord de cessez-le-feu après son retrait, en frappant les menaces immédiates du Hezbollah et en notifiant toute violation à un comité dirigé par les États-Unis.

L’armée israélienne espère voir les forces armées libanaises agir davantage contre le Hezbollah, car jusqu’à présent, leurs opérations contre le groupe terroriste ont été plus lentes que prévu. Toutefois, ces derniers jours, l’armée israélienne dit avoir constaté une amélioration des actions de l’armée libanaise contre le Hezbollah.

Si l’armée libanaise n’agit pas, Tsahal s’engage à intervenir, comme elle l’a fait pendant le cessez-le-feu, tout en coordonnant son action avec les États-Unis.

Si le cessez-le-feu se maintient après le retrait de Tsahal, les résidents israéliens déplacés du nord d’Israël devraient commencer à rentrer chez eux le 2 mars prochain.

Tsahal restera déployé en cinq points stratégiques au Liban après le retrait prévu demain — responsable israélien

Israël restera au Liban en « cinq points stratégiques qui contrôlent les communautés du Sud-Liban et nos communautés à la frontière », a déclaré un responsable israélien, confirmant des informations antérieures concernant le retrait israélien prévu demain.

« Parallèlement, Israël continuera à faire respecter avec force le cessez-le-feu au Liban, comme cela a été clairement démontré jusqu’à présent, y compris aujourd’hui. »

Une frappe de Tsahal au Liban a tué un commandant du Hamas plus tôt dans la journée.

Tsahal dit avoir détruit un tunnel appartenant à une unité d’élite du Hezbollah près de la frontière israélo-libanaise

Tsahal déclare avoir récemment démoli un tunnel du Hezbollah du côté libanais de la zone frontalière du Mont Dov.

Selon l’armée, le tunnel, qui appartenait à la force d’élite Radwan du Hezbollah, mesurait des dizaines de mètres de long. Il comprenait plusieurs pièces et des caches d’armes.

Le tunnel a été localisé il y a plusieurs semaines par la 810e brigade régionale « Montagnes », et il a été démoli hier par des ingénieurs de combat.

Netanyahu redit que ni le Hamas ni l’Autorité palestinienne ne gouverneront Gaza après la guerre

Le Premier ministre Benjamin Netanyahu arrive au tribunal du district de Tel Aviv District Court pour le dixième jour de son témoignage dans son procès pour corruption, le 17 février 2025. (Gideon Markowicz/POOL)
Le Premier ministre Benjamin Netanyahu arrive au tribunal du district de Tel Aviv District Court pour le dixième jour de son témoignage dans son procès pour corruption, le 17 février 2025. (Gideon Markowicz/POOL)

Le Premier ministre Benjamin Netanyahu réaffirme que « comme je l’ai promis, au lendemain de la guerre à Gaza, ni le Hamas ni l’Autorité palestinienne ne seront présents » pour gouverner l’enclave, selon un communiqué de son cabinet.

Le Premier ministre ajoute qu’il est « engagé dans le plan du président [américain] [Donald] Trump qui vise à créer une Gaza différente » — faisant référence au plan de Trump qui prévoit de déplacer les habitants de la bande de Gaza pendant que les États-Unis prennent possession du territoire et le reconstruisent pour en faire une « Côte d’azur du Moyen-Orient ».

C’est la deuxième fois aujourd’hui que sont démenties des informations non confirmées par des médias arabes selon lesquelles le Hamas aurait accepté de céder le contrôle de la bande de Gaza à l’Autorité palestinienne dans le cadre de négociations visant à mettre un terme définitif à la guerre.

Tsahal confirme avoir frappé le chef des opérations du Hamas au Liban qui planifiait des attaques contre des civils israéliens

Tsahal confirme avoir effectué une frappe aérienne dans la ville côtière libanaise de Sidon ce matin, tuant un haut commandant du Hamas.

La cible de la frappe, Mohammed Shaheen, était le chef des opérations du Hamas au Liban, selon l’armée et le Shin Bet.

L’armée israélienne affirme que Mohammed Shaheen était impliqué dans l’organisation d’attentats terroristes contre des civils israéliens, avec l’aide et le financement de l’Iran.

« Shaheen était une source importante de connaissances au sein de l’organisation et il a été impliqué tout au long de la guerre dans la mise en œuvre de différentes attaques terroristes, y compris avec des tirs de roquettes sur le front intérieur israélien », ajoute Tsahal.

Israël a prévu de se retirer du Liban demain, selon un responsable israélien

Des soldats israéliens sur la clôture de la frontière israélienne avec le Liban, au nord d'Israël, le 2 février 2025. (Crédit : Ayal Margolin/Flash90)
Des soldats israéliens sur la clôture de la frontière israélienne avec le Liban, au nord d'Israël, le 2 février 2025. (Crédit : Ayal Margolin/Flash90)

Israël prévoit de retirer ses troupes du Liban demain, a déclaré un responsable israélien au Times of Israel sous couvert d’anonymat.

Toutefois, le ministre des Affaires stratégiques, Ron Dermer, a déclaré précédemment que l’armée israélienne resterait présente dans cinq positions stratégiques du Sud-Liban.

Le cessez-le-feu en cours avec le Hezbollah stipule que le retrait doit être achevé avant la date limite retardée du 18 février. Le Hezbollah est également censé quitter le sud du Liban, l’armée libanaise devant être la seule force militaire présente dans cette région.

« Nous avons l’intention de partir et de respecter l’accord », déclare le responsable, « et bien sûr, nous continuerons à le faire respecter ».

« Comme vous le voyez, nous venons de tuer un haut responsable du Hamas au Liban — à Sidon, pas au Sud-Liban. Nous continuerons donc à le faire respecter et ce qui s’est passé avant le 7 octobre ne se reproduira pas. »

« Nous nous attaquerons à toutes les menaces que nous verrons et nous veillerons à ce que le Hezbollah ne se dérobe pas et ne reçoive pas de financement de l’Iran… Cela n’arrivera tout simplement pas. »

Les survivants du 7 octobre à Beeri se rassemblent au 500e jour de captivité des otages dans un kibboutz ravagé

Le survivante du kibboutz Beeri Nira Sharabi s'adresse à la communauté au 500e jour de captivité des otages du Hamas à Gaza, le 17 février 2025. (Autorisation)
Le survivante du kibboutz Beeri Nira Sharabi s'adresse à la communauté au 500e jour de captivité des otages du Hamas à Gaza, le 17 février 2025. (Autorisation)

Au kibboutz Beeri, les survivants se rassemblent sur le site de la communauté dévastée pour marquer les 500 jours de l’attaque terroriste perpétrée par le Hamas le 7 octobre 2023, appelant au retour des 73 otages encore détenus à Gaza.

Nira Sharabi, dont le mari Yossi Sharabi a été tué en captivité à Gaza et dont le beau-frère Eli Sharabi a été récemment libéré et a appris que sa femme et ses deux filles avaient été tuées dans leur maison de Beeri ce jour-là, est l’une des intervenantes.

Sharabi affirme qu’après le retour de tous les otages vivants, il faudra s’atteler à une autre tâche extrêmement difficile : ramener les corps de tous ceux qui ont été tués et emmenés à Gaza – ou qui sont morts en captivité – pour les enterrer en Israël. Le Hamas détiendrait les corps d’au moins 36 personnes.

« Notre bien-aimé Yossi, tant qu’il ne sera pas enterré ici, nous ne pourrons pas lui dire adieu et nous ne pourrons pas aller de l’avant », dit-elle.

D’autres habitants de Beeri prennent la parole, notamment l’ancienne otage Raya Rotem, qui dit savoir ce que signifie que d’être otage à Gaza, même si elle n’y est restée « que » 54 jours.

« Qu’arrive-t-il à une personne retenue pendant 500 jours ? S’il n’y avait pas eu de libérations supplémentaires dans l’accord précédent [novembre 2023], je n’aurais pas quitté la maison où j’étais détenue et où je me suis séparée d’Itay Svirsky, qui était censé fêter son 40e anniversaire », déclare Raya Rotem, en faisant référence à un otage qui a ensuite été tué en captivité.

Des membres du kibboutz Beeri se rassemblent au kibboutz pour marquer les 500 jours depuis le massacre du 7 octobre 2023, perpétré par le Hamas, le 17 février 2025. (Autorisation)

 

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