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Israël appelle les envoyés de l’ONU à s’opposer à la résolution “partiale” de l’UNESCO

Un document jordano-palestinien demande le retour au “statu quo historique” sur le mont du Temple, et nie les liens juifs au lieu saint

Dore Gold, directeur général du ministère des Affaires étrangères, arrive à la réunion de cabinet hebdomadaire dans les bureaux du Premier ministre, à Jérusalem, le 26 juin 2016. (Crédit : Miriam Alster/Flash90)
Dore Gold, directeur général du ministère des Affaires étrangères, arrive à la réunion de cabinet hebdomadaire dans les bureaux du Premier ministre, à Jérusalem, le 26 juin 2016. (Crédit : Miriam Alster/Flash90)

Dore Gold, directeur général du ministère des Affaires étrangères, a écrit une lettre ouverte aux envoyés des Nations unies de différents pays critiquant le comité du patrimoine mondial de l’institution culturelle de l’ONU.

Ce comité devrait se prononcer sur un projet de résolution jordano-palestinienne controversée qui remet en cause les relations juives historiques avec la Vieille Ville de Jérusalem et le mont du temple, et appelle au retour du « statu quo historique » sur le lieu saint.

Une résolution similaire a été adoptée en avril par le conseil exécutif de l’organisation, un acte qui avait exaspéré Israël.

« A nouveau, l’UNESCO envisage d’adopter une résolution complètement partiale sur la Vieille Ville de Jérusalem, qui ignore délibérément la connexion historique entre le peuple juif et son ancienne capitale, écrit Gold dans sa lettre. La résolution ne reconnaît pas non plus les liens du christianisme à Jérusalem. Elle ne se réfère à la zone du mont du Temple que comme un ‘lieu de prière musulman saint’. »

Le mont du temple et le mur Occidental à Jérusalem, depuis le survol annuel de l'armée de l'air israélienne pour Yom HaAtsmaout, le 12 mai 2016. (Crédit : Judah Ari Gross/Times of Israel)
Le mont du temple et le mur Occidental à Jérusalem, depuis le survol annuel de l’armée de l’air israélienne pour Yom HaAtsmaout, le 12 mai 2016. (Crédit : Judah Ari Gross/Times of Israel)

La lettre continue en détaillant le lien historique du peuple juif à la ville et affirme qu’Israël « défend la liberté de culte pour toutes les grandes religions, judaïsme, christianisme, et islam, contre la vague d’intolérance qui balaie le Moyen Orient. »

Elle ajoute que « l’adoption par l’UNESCO d’accusations complètement fausses sur les pratiques archéologiques d’Israël est déplacée et hypocrite, au mieux », et exhorte les envoyés de l’ONU à « s’opposer à cet effort de distorsion de l’Histoire. »

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