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L’Iran va mener samedi des exercices militaires en mer d’Oman

Depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, Téhéran multiplie les démonstrations de force, notamment par des exercices militaires d'envergure

L'amiral Habibollah Sayyari, coordinateur adjoint de l'armée iranienne. (Crédit : Capture d'écran/YouTube)
L'amiral Habibollah Sayyari, coordinateur adjoint de l'armée iranienne. (Crédit : Capture d'écran/YouTube)

L’armée iranienne va mener samedi des exercices militaires dans les eaux de la mer d’Oman et du nord de l’océan Indien, a annoncé le commandant en charge de ces manœuvres, cité par la télévision d’État.

« L’exercice militaire conjoint Zolfaghar 1403 débutera demain [samedi] sur la côte du Makran, en mer d’Oman et dans le nord de l’océan Indien », a précisé vendredi le coordinateur adjoint de l’armée iranienne, l’amiral Habibollah Sayyari.

Depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, Téhéran multiplie les démonstrations de force, notamment par des exercices militaires d’envergure et la présentation de nouveaux équipements ainsi que de bases militaires souterraines, réputées imprenables.

Parallèlement, Téhéran envoie des signaux aux pays occidentaux, notamment aux Etats-Unis, afin d’entamer des négociations sur son programme nucléaire, sujet de tensions depuis des décennies.

Les exercices de samedi visent à « renforcer les capacités de défense et de dissuasion face à toute menace terrestre, aérienne et maritime », a affirmé l’amiral Sayyari.

« Toute atteinte aux intérêts de l’Iran entraînera une réponse sévère », a-t-il averti.

Ces dernières semaines, l’Iran a mené des exercices militaires à travers le pays, notamment à proximité d’installations nucléaires.

Le président américain a déclaré le 5 février qu’il était favorable à un « accord de paix » avec l’Iran, ennemi des Etats-Unis depuis la Révolution islamique de 1979. Mais il a insisté sur le fait que l’Iran ne pouvait « pas avoir l’arme nucléaire ».

Jeudi soir, le président Massoud Pezeshkian a indiqué que son gouvernement « négocierait [avec les Etats-Unis], mais pas à n’importe quel prix ».

« Ils ne peuvent pas nous sanctionner et nous dire de ne pas avoir de missiles ou d’armes, et en même temps parler de négociations », a-t-il déclaré, cité par l’agence officielle Irna.

La semaine dernière, le secrétaire d’État américain Marco Rubio a qualifié la République islamique de « plus grande source d’instabilité » au Moyen-Orient.

Le guide suprême iranien, l’ayatollah Ali Khamenei, principal décideur sur les dossiers stratégiques, a exhorté début février le gouvernement à « ne pas négocier » avec Washington, estimant qu’une telle démarche serait « imprudente ».

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