Israël en guerre - Jour 478

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Un officier suspendu en raison d’une présumée liaison avec un subordonné

Un colonel de l'armée de l'air a été relevé de ses fonctions pour 2 semaines pendant l'enquête de la police militaire

Amir Eshel, à Jérusalem, le 18 novembre 2015. (Crédit : Miriam Alster/Flash90)
Amir Eshel, à Jérusalem, le 18 novembre 2015. (Crédit : Miriam Alster/Flash90)

Un colonel de l’armée de l’air israélienne a été suspendu mardi car il est soupçonné d’avoir eu une liaison avec un sous-officier sous son commandement.

Le commandant de l’armée de l’air, le général Amir Eshel a ordonné que l’officier, dont l’identité n’a pas été révélée par les militaires, soit relevé de ses fonctions pendant deux semaines pendant la durée de l’enquête.

L’officier et le sous-officier, dont l’identité n’a pas non plus été révélée, doivent encore donner leur version complète aux enquêteurs, mais ils sont censés le faire dans les deux prochaines semaines, a précisé un porte-parole de l’armée.

La liaison était apparemment consensuelle mais elle était interdite en vertu des règlements de l’armée de l’air qui interdisent aux commandants d’avoir des liaisons avec leurs subordonnés.

« Une enquête de la police militaire a été ouverte pour clarifier les circonstances de l’affaire. L’officier semble avoir agi d’une manière qui ne correspond pas aux normes et aux valeurs attendues des hauts commandants et des officiers de l’armée israélienne », a déclaré l’armée en réponse à cette affaire, qui a été révélée par la radio israélienne.

Récemment, l’armée de l’air israélienne a lancé une campagne contre le harcèlement sexuel et a fait circuler un code d’éthique qui doit être signé par tous les soldats en service.

Une récente conférence, à laquelle ont assisté des officiers au de l’armée de l’air qui avait un grade supérieur à celui de lieutenant, a inclus des présentations et un jeu de rôle pour renforcer les règles. Les officiers ont été chargés de transmettre l’information à tout le personnel sous leur commandement.

En février, le chef du commandement du Sud, le général, Eyal Zamir, a suspendu un commandant de bataillon et une femme officier qui lui était subordonnée pour conduite inconvenante et l’abus de pouvoir, à la lumière des conclusions de l’enquête de la police militaire.

La nouvelle campagne contre les comportements sexuels abusifs a coïncidé avec un scandale impliquant Ofek Bouchris, un général accusé de viol et d’autres crimes sexuels contre deux subordonnées.

Bouchris a officiellement démissionné de l’armée israélienne cette semaine afin de gérer sa défense juridique en tant que civil et non en tant qu’un officier de Tsahal. Il a été inculpé il y a près de deux semaines pour des chefs d’inculpation de viol, de sodomie, d’actes indécents et de conduite indigne d’un officier.

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