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Affaire Khashoggi: l’Arabie Saoudite renforcera la surveillance du renseignement

Le roi Salmane a demandé une restructuration de l'agence de renseignement sous la supervision de son fils, qui a fait face à une vague de critiques propos du meurtre du journaliste

Le prince héritier d'Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, arrive à la conférence Future Investment Initiative à Riyad, la capitale saoudienne, le 24 octobre 2018. (Giuseppe Cacace/AFP)
Le prince héritier d'Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, arrive à la conférence Future Investment Initiative à Riyad, la capitale saoudienne, le 24 octobre 2018. (Giuseppe Cacace/AFP)

L’Arabie Saoudite a annoncé jeudi la création d’instances gouvernementales pour améliorer la surveillance de ses opérations de renseignement suite à l’indignation internationale suscitée par le meurtre du journaliste critique du gouvernement saoudien Jamal Khashoggi.

Un comité sous la responsabilité du prince héritier saoudien, Mohammed ben Salmane, a approuvé la création de trois départements pour s’assurer que les opérations de renseignement soient alignées avec la politique de sécurité nationale, les lois internationales sur les droits de l’Homme et les « procédures approuvées », a indiqué jeudi l’agence de presse officielle saoudienne. Le communiqué ne fait aucune mention de Jamal. Khashoggi.

L’Arabie Saoudite soutient que le journaliste a été tué à l’intérieur de son consulat d’Istanbul le 2 octobre dans une « opération hors de contrôle » de l’Etat saoudien, menée par le chef adjoint de l’agence saoudienne de renseignement Ahmad al-Assiri et par le conseiller à la cour royale Saoud al-Qahtani, qui ont tous deux été destitués.

Le roi Salmane a ensuite demandé une restructuration de la principale agence de renseignement sous la supervision de son fils, qui a fait face à une vague de critiques à l’international à propos du meurtre de Jamal. Khashoggi, bien que le gouvernement nie toute implication du prince héritier.

Un manifestant déguisé en prince saoudien Mohammed bin Salman (C), le visage ensanglanté, manifestait devant les locaux de l’ambassade saoudienne à Washington, le 8 octobre 2018, pour demander que justice soit rendue pour le journaliste égaré Jamal Khashoggi. (Crédit : Jim Watson / AFP)

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