Israël en guerre - Jour 423

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Elie Chouraqui explore le secret d’une famille au camp de Buchenwald

'L'origine de la violence' plonge le spectateur dans une intrigue aux multiples facettes prenant sa source dans la Seconde Guerre mondiale

L’origine de la violence est un film réalisé par Elie Chouraqui avec Stanley Weber, Richard Berry, César Chouraqui et Michel Bouquet. Il est inspiré d’une histoire vraie.

En voyage en Allemagne, Nathan Fabre, qui est un jeune professeur, découvre dans le camp de concentration de Buchenwald, une photographie d’un prisonnier dont la ressemblance avec son père est plus que frappante.

Revenu en France, ce souvenir ne cesse de le hanter, il décide alors d’interroger son père qui ignore ses interrogations. Persuader d’avoir découvert un secret sur l’histoire de sa propre famille, Nathan Fabre commence une enquête.

Selon les propos du réalisateur, il ne s’agit pas d’un nouveau film sur la Shoah. « C’est un film sur le secret de famille, dans ce secret de famille, il y a des événements qui arrivent dont la déportation d’un jeune homme, » explique Elie Chouraqui à l’antenne de RTL.

« C’est un film qui montre à quel point, pendant une période de notre histoire, le nazisme avait permis, y compris à des Français, de faire les pires folies, » continue le réalisateur.

Durant tout le film, de nouvelles interrogations prennent forme et plongent le spectateur dans une intrigue aux multiples facettes.

« C’est le secret, c’est ce qu’on connaît tous, on a tous dans nos familles, quelque chose que nos parents nous ont caché, des choses que nous cachons à nos enfants. »

L'origine de la violence (Crédit : Facebook/L'Origine de la Violence - Le Film)
L’origine de la violence (Crédit : Facebook/L’Origine de la Violence – Le Film)

Le film a été tourné dans le camp de Buchenwald, alors qu’il est, normalement, interdit de réaliser des films dans les camps. C’est à l’issue d’un grand oral devant les représentants du camp devenu musée, qu’Elie Chouraqui a eu l’autorisation de pouvoir tourner son film.

« J’étais entouré pendant ce tournage d’une équipe à 80 % allemande. C’est-à-dire moi juif, au milieu du camp de Buchenwald, j’avais des jeunes gens allemands autour de moi. (…) C’était un moment absolument exceptionnel ».

Le réalisateur confesse avoir beaucoup travaillé sur ce film et s’être battu parce « qu’il faut savoir que ça peut recommencer ».

Elie Chouraqui a récemment pris la nationalité israélienne et explique partager la destinée du peuple juif. « Je voulais que cette partie soit officielle ».

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