Israël en guerre - Jour 432

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La gazelle de montagne revient en force au plateau du Golan

La population d'une espèce régionale d'antilope, considérée comme un symbole d'Israël, s'accroît pour la 3e année consécutive

Une gazelle de montagne (Gazella gazella) au Zoo biblique de Jérusalem, 2006. (Crédit : CC BY SuperJew/Wikimedia Commons)
Une gazelle de montagne (Gazella gazella) au Zoo biblique de Jérusalem, 2006. (Crédit : CC BY SuperJew/Wikimedia Commons)

La gazelle de montagne, un symbole d’Israël depuis longtemps sur la liste des espèces menacées, a fait un impressionnant retour en force sur le plateau du Golan, et pour la troisième année consécutive, sa population s’est accrue.

Après un laborieux processus impliquant des dizaines de volontaires armés de jumelles et de cartes, errant les sols rocheux du Golan à la recherche de gazelles, l’Autorité israélienne des Parcs et de la Nature a déclaré officiellement que 328 spécimens vivent maintenant sur le plateau – soit une augmentation de 25 %.

« L’augmentation complète un cycle de trois ans d’amélioration modérée du nombre de gazelles, » a indiqué Sharon Levy, un des inspecteurs au quotidien Maariv. « Nous pouvons maintenant parler d’un rétablissement modéré, plus particulièrement au sud du Plateau du Golan. »

Le destin de la gazelle de montagne, une rapide antilope élancée, trouvée à travers l’Arabie et le Levant, était particulièrement incertain sur le Plateau du Golan.

Lorsque l’armée israélienne avait confisqué le plateau du Golan à la Syrie en 1967, seulement 300 gazelles restaient. Dans l’espoir de sauver la population en difficulté, l’Autorité des Parcs et de la Nature avait transféré le restant des gazelles à Ramat Issachar, au sud de la Galilée.

En 17 ans, la population s’est extrêmement bien remise, avec un nombre atteignant les 5 000.

Mais la tragédie frappe à nouveau, lorsqu’une épidémie de fièvre aphteuse s’est répandue, forçant le gouvernement à réduire la croissance des gazelles afin de protéger le bétail domestiqué menacé.

Tuée en masse par des chasseurs engagés par le gouvernement, la population de gazelles ne s’en était jamais remise.

« À l’état sauvage un seul faon sur trois a des chances de survivre, » explique Levy, « mais dans cette situation, seulement 3 à 5 % des nouveau-nés survivent. Les prédateurs en sont les principaux coupables, et plus particulièrement les loups et les renards. Nous essayons maintenant de remonter la courbe. »

Les amis de la gazelle de montagne espèrent un renouveau et un meilleur futur pour la créature menacée.

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