Israël en guerre - Jour 496

Rechercher

Le chef de l’AIEA en Syrie pour la première fois depuis 2011

Les discussions visent à renforcer la confiance dans l'utilisation pacifique de l'énergie atomique par la Syrie

Rafael Grossi, directeur-général de l'Agence internationale de l'énergie atomique, s'exprimant lors de la réunion du Conseil des gouverneurs de l'AIEA, au siège de l'agence à Vienne, le 11 septembre 2023. (Crédit : Alex Halada/AFP)
Rafael Grossi, directeur-général de l'Agence internationale de l'énergie atomique, s'exprimant lors de la réunion du Conseil des gouverneurs de l'AIEA, au siège de l'agence à Vienne, le 11 septembre 2023. (Crédit : Alex Halada/AFP)

Rafael Grossi, chef de l’organe de surveillance nucléaire des Nations unies, a déclaré qu’il s’était rendu à Damas mardi pour relancer les discussions visant à renforcer la confiance dans l’utilisation pacifique de l’énergie atomique par la Syrie.

Grossi, directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique, a rencontré le président Bashar el-Assad, qui avait lancé l’invitation, et le ministre des Affaires étrangères Faisal Mekdad.

« Nous sommes prêts à commencer à travailler pour relancer le dialogue à haut niveau entre l’AIEA et la Syrie, en nous concentrant sur le renforcement de la confiance dans l’utilisation pacifique de l’énergie nucléaire en Syrie », a écrit Grossi dans un message sur X.

L’agence de presse nationale syrienne a également fait état de la visite de Grossi.

Les inspecteurs de l’AIEA se sont rendus en Syrie pour la dernière fois en 2011, l’année où la guerre civile a commencé après la violente répression par le gouvernement des manifestations de rue contre le régime d’Assad.

L’AIEA, dont le siège est à Vienne, a également cherché à obtenir des informations sur d’autres sites susceptibles d’être liés à l’installation de Deir Ezzor.

Le site du réacteur nucléaire syrien avant sa destruction par Tsahal en 2007, vu par satellite. (Crédit : Google Earth)

Les autorités syriennes ont déclaré qu’il s’agissait d’un site militaire non nucléaire, mais l’AIEA a conclu en 2011 qu’il s’agissait « très probablement » d’un réacteur qui aurait dû être déclaré aux inspecteurs de la non-prolifération nucléaire.

Ce n’est qu’en 2018 qu’Israël a officiellement confirmé être à l’origine du bombardement des installations de Deir Ezzor en 2007.

Immédiatement après la frappe, connue dans le monde entier sous le nom d’opération Orchard, l’opinion qui prévalait en Israël à l’époque était que le fait de garder le silence sur ce qui avait été fait aiderait le dictateur syrien Bashar el-Assad à sauver la face et à éviter qu’il ne se sente obligé de riposter, ce qui aurait pu conduire à une guerre totale.

En savoir plus sur :
S'inscrire ou se connecter
Veuillez utiliser le format suivant : example@domain.com
Se connecter avec
En vous inscrivant, vous acceptez les conditions d'utilisation
S'inscrire pour continuer
Se connecter avec
Se connecter pour continuer
S'inscrire ou se connecter
Se connecter avec
check your email
Consultez vos mails
Nous vous avons envoyé un email à gal@rgbmedia.org.
Il contient un lien qui vous permettra de vous connecter.
image
Inscrivez-vous gratuitement
et continuez votre lecture
L'inscription vous permet également de commenter les articles et nous aide à améliorer votre expérience. Cela ne prend que quelques secondes.
Déjà inscrit ? Entrez votre email pour vous connecter.
Veuillez utiliser le format suivant : example@domain.com
SE CONNECTER AVEC
En vous inscrivant, vous acceptez les conditions d'utilisation. Une fois inscrit, vous recevrez gratuitement notre Une du Jour.
Register to continue
SE CONNECTER AVEC
Log in to continue
Connectez-vous ou inscrivez-vous
SE CONNECTER AVEC
check your email
Consultez vos mails
Nous vous avons envoyé un e-mail à .
Il contient un lien qui vous permettra de vous connecter.