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Les Emirats critiquent l’attaque du Hezbollah contre Israël

Anwar Gargash a accusé notamment l'Etat libanais de passivité face aux agissements du groupe terroriste chiite.

De la fumée s'échappe d'un incendie causé par une roquette tirée depuis le Liban près du Moshav Avivim, à la frontière avec le Liban, au nord d'Israël, le 1er septembre 2019. (David Cohen/Flash90)
De la fumée s'échappe d'un incendie causé par une roquette tirée depuis le Liban près du Moshav Avivim, à la frontière avec le Liban, au nord d'Israël, le 1er septembre 2019. (David Cohen/Flash90)

Les Emirats arabes unis ont critiqué dimanche soir l’attaque menée quelques heures plus tôt par le Hezbollah dans le nord d’Israël, accusant notamment l’Etat libanais de passivité face aux agissements du groupe terroriste chiite.

Formation terroriste et acteur politique majeur au Liban, le Hezbollah est un allié de l’Iran, dont plusieurs pays du Golfe dénoncent l’influence grandissante dans la région.

Le ministre d’Etat émirati aux Affaires étrangères, Anwar Gargash a réagi  à propos de l’escalade à la frontière libano-israélienne déclenchée dimanche par une opération du Hezbollah.

Anwar Gargash, ministre des Affaires étrangères des Emirats arabes unis, à Dubaï, le 7 juin 2017. (Crédit : Giuseppe Cacace/AFP)

« La décision de faire la guerre, la paix ou la stabilité doit être une décision de l’Etat », a-t-il affirmé sur Twitter.

Le Hezbollah libanais avait affirmé en milieu d’après-midi avoir « détruit » un « véhicule militaire » de l’armée israélienne à proximité de la frontière dans le nord d’Israël.

L’Iran accusé

D’après une source proche du Hezbollah, il s’agit d’une « riposte » à une frappe israélienne ayant tué le 24 août deux membres de la formation chiite libanaise en Syrie.

Elle a entraîné des bombardements israéliens contre le sud du Liban, avant un retour au calme.

Ces échanges de tirs interviennent sur fond de tensions croissantes entre Israël et le Hezbollah, qui a aussi accusé la semaine dernière l’Etat hébreu d’avoir mené des frappes de drones sur son bastion de la banlieue sud de Beyrouth.

Il avait alors qualifié les attaques contre les milices pro-iraniennes en Irak d’ « acte d’autodéfense » dont « il ne faut pas blâmer les auteurs ».

Cette prise de position était intervenue au lendemain d’une attaque de drones ayant tué un combattant du Hachd al-Chaabi en Irak, la force paramilitaire accusant Israël d’en être l’auteur.

En juillet, une série d’explosions non revendiquées s’étaient produites sur des bases du Hachd al-Chaabi.

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