Israël en guerre - Jour 338

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Herzog déclare que le Hamas est responsable de l’échec de l’accord

Le secrétaire d'État américain Blinken, à gauche, rencontre le président Isaac Herzog, à Tel Aviv, le 19 août 2024. (Kevin Mohatt/Pool/Pool Photo via AP)
Le secrétaire d'État américain Blinken, à gauche, rencontre le président Isaac Herzog, à Tel Aviv, le 19 août 2024. (Kevin Mohatt/Pool/Pool Photo via AP)

Au début de son entretien avec le secrétaire d’État américain Antony Blinken, le président israélien Isaac Herzog accuse le Hamas d’être responsable de l’échec de la négociation sur un accord de libération des otages.

« Les gens doivent comprendre que tout commence par un refus du Hamas d’aller de l’avant », a déclaré M. Herzog.

« Nous gardons l’espoir de pouvoir avancer dans les négociations menées par les médiateurs », ajoute-t-il en remerciant les États-Unis, l’Égypte et le Qatar pour leurs efforts.

« Il n’y a pas d’objectif humanitaire plus grand, et il n’y a pas de cause humanitaire plus grande que de ramener nos otages à la maison, comme ils auraient dû le faire depuis longtemps », poursuit M. Herzog.

M. Herzog remercie également le président américain Joe Biden d’avoir « montré et projeté sa puissance dans cette région » face aux menaces iraniennes.

« Vous avez réuni une coalition d’armées très puissante et impressionnante, de marines et de puissances qui sont là pour protéger les intérêts de la coalition des nations qui veulent aller vers la paix et un avenir meilleur au Moyen-Orient, contre l’empire du mal, qui émane de Téhéran », a déclaré M. Herzog.

Emboîtant le pas à Herzog, Blinken parle d’un « moment décisif, probablement la meilleure, voire la dernière occasion de ramener les otages chez eux, d’obtenir un cessez-le-feu et de mettre tout le monde sur la voie d’une paix et d’une sécurité durables ».

« Il est temps d’agir. Il est également temps de veiller à ce que personne ne prenne de mesures susceptibles de faire dérailler ce processus. Nous veillons donc à ce qu’il n’y ait pas d’escalade, pas de provocations, pas d’actions qui pourraient nous éloigner de la conclusion de cet accord ou, par ailleurs, entraîner une extension du conflit dans d’autres régions et avec une plus grande intensité ».

« Il est temps pour tout le monde de dire oui et de ne pas chercher d’excuses pour dire non », souligne M. Blinken.

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