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Marine Le Pen juge « décevant » que L’Oréal suive des « revendications racialistes »

Le géant français des cosmétiques a décidé de retirer les mots 'blanc/blanchissant' et 'clair' de tous ses produits destinés à uniformiser la peau

La dirigeante du Front national (aujourd'hui Rassemblement National) Marine Le Pen assistant au congrès annuel du parti d'extrême droite dans la ville française de Lille, le 10 mars 2018. (Crédit : Philippe Huguen/AFP)
La dirigeante du Front national (aujourd'hui Rassemblement National) Marine Le Pen assistant au congrès annuel du parti d'extrême droite dans la ville française de Lille, le 10 mars 2018. (Crédit : Philippe Huguen/AFP)

Marine Le Pen a jugé dimanche « très décevant » que le groupe français L’Oréal suive « des revendications racialistes » en effaçant certains mots comme « blanc », « blanchissant », ou « clair », de ses emballages de produits cosmétiques.

« C’est évidemment très décevant de voir qu’un grand groupe français rentre ainsi dans la roue des revendications racialistes qui visent à diviser les hommes en fonction de la couleur de leur peau », a déclaré la présidente du Rassemblement national au siège du parti à Nanterre, lors d’un point presse sur les élections municipales.

« C’est malheureux et je comprends la colère que saisit beaucoup de Français qui se disent aujourd’hui qu’ils ne peuvent pas cautionner ce type de dérives qui, si on n’y prend pas garde, peuvent aller extrêmement loin et, encore une fois, aller plutôt vers la division et la violence que l’apaisement », a ajouté la dirigeante d’extrême droite.

Dans un communiqué publié en anglais samedi, le géant français des cosmétiques avait écrit avoir « décidé de retirer les mots blanc/blanchissant (white/whitening), clair (fair/fairness, light/lightening) de tous ses produits destinés à uniformiser la peau ».

Aux Etats-Unis surtout, mais aussi en France, en Inde ou en Australie, les marques sont sous pression devant la colère exprimée depuis la mort fin mai de George Floyd, un homme noir asphyxié sous les genoux d’un policier blanc à Minneapolis.

Dans cette capture d’écran d’une vidéo du 25 mai 2020, l’officier de police de Minneapolis Derek Chauvin s’agenouille sur le cou de George Floyd, qui était menotté et implorait qu’il ne pouvait pas respirer, à Minneapolis. (Crédit : Darnella Frazier via AP)

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