Matan Rosenberg, 17 ans, lycéen passionné de musique, tué avec ses deux oncles
Assassinés par des terroristes du Hamas à la rave Psyduck le 7 octobre
Matan Rosenberg, 17 ans, a été assassiné par des terroristes du Hamas à la rave Psyduck le 7 octobre près du kibboutz Nirim.
Rosenberg, un lycéen de Dimona, était très impliqué dans son groupe local de scouts. Il s’est rendu à la trance avec trois de ses oncles, dont deux ont également été tués : Noi Maudi et Moti Elkabetz.
Il laisse derrière lui ses parents, Shani et Yitzhak, ainsi que deux jeunes frères.
Sa tante Lital Rosenberg, qui vit en Californie, a déclaré à un site d’information local qu’il adorait jouer au football, qu’il avait de nombreux amis et qu’il était passionné de musique : « Il est allé à ce festival de musique, qui était dédié à la paix, à l’amour, au bonheur et à la solidarité ».
Sur sa pierre tombale, sa famille a gravé des touches de piano, témoignant de son amour pour la musique, et un acrostiche avec son nom en hébreu, le commémorant comme « un cadeau envoyé par Dieu, avec des boucles d’or uniques et une âme qui touchait tout le monde ».
« Matan, le beau rouquin, mort avant l’heure à 17 ans et demi, aimait jouer de la musique, chanter, célébrer la vie », lit-on encore sur sa pierre tombale. « Tu resteras toujours dans nos cœurs, notre enfant chéri ».
Son amie, Talya Shukrun, l’a décrit sur Instagram comme « un ange, une personne aimée de tous et qui aimait tout le monde. Matan était un scout très engagé et donnait tout pour sa tribu et ses jeunes protégés […]. En plus d’être une bonne personne, c’était un très bon ami, qui vous encourageait et vous appréciait, toujours à l’écoute et capable de répondre à toutes questions. »
Yarin Ben Mergi, qui a connu Matan chez les scouts, lui a rendu hommage dans une publication sur Facebook.
« Je veux que tout le monde se souvienne de ton véritable sourire, de ton cœur immense, de la pureté et de la bonté d’âme qui te caractérisaient », a-t-elle écrit. « Tu étais et tu seras toujours ma force, ma raison d’être heureuse – le beau rouquin au sourire envoûtant. Je suis une de tes fans, j’apprécie qui tu étais et ce que tu étais – un jeune homme exceptionnel, qui n’aurait jamais fait de mal à une mouche ».
Sa mère, Shani, a écrit sur Facebook : « Matan, mon fils aîné, notre enfant chéri, tu nous manqueras à tout jamais. Tout le monde t’aimait ».
Elle a ensuite rappelé qu’il était « notre talentueux Matan, chaque fois que tu voyais un piano, tu ne pouvais t’empêcher d’en jouer, impressionnant ceux qui t’entendaient… La musique était dans ton âme et elle y restera toujours. »