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« No Man’s Land », une mini-série franco-belgo-israélienne dans la Syrie dévastée

La série, écrite par des scénaristes israéliens, se démarque par sa narration captivante, sa réalisation quasi-documentaire et les jeunes talents qu’elle présente

Production franco-belgo-israélienne, la mini-série « No Man’s Land », sortie en cette rentrée sur Arte et disponible jusqu’à fin mai 2021 sur Arte.tv, se plonge dans la violence du conflit syrien.

Alors que la guerre fait rage, Antoine (Félix Moati) part au péril de sa vie sur les traces de sa sœur Anna (Mélanie Thierry), présumée morte. Après être tombé par hasard sur un reportage, le jeune ingénieur est persuadé que sa sœur se trouve dans les territoires kurdes, qui luttent contre l’État islamique, et qu’elle n’a pas été tuée dans un mystérieux attentat deux ans auparavant au Caire, alors qu’elle y exerçait en tant qu’archéologue.

Là-bas, Antoine rencontrera les forces kurdes et notamment la soldate Sarya (Souheila Yacoub).

En parallèle, on y suit le parcours de trois Anglais radicalisés et désabusés, qui voient dans le « califat » de l’État islamique un idéal.

Félix Moati et Mélanie Thierry dans « No Man’s Land ». (Crédit : Arte)

La série, qui se déroule en 2014 alors que le conflit faisait rage, mêle guerre, terrorisme, géopolitique et espionnage, autant qu’amour, engagement et idée du sacrifice. L’intrigue, qui démarre d’un drame familial, tient le spectateur en haleine et, bien qu’incroyable, captive car vraisemblable et toujours d’actualité.

Sans tomber dans les clichés les plus faciles, l’œuvre, en huit épisodes de cinquante minutes, se démarque par sa narration captivante, sa réalisation quasi-documentaire et les jeunes talents qu’elle présente à son casting.

« No Man’s Land » est réalisé par Oded Ruskin, cinéaste russo-israélien diplômé de l’université de Tel Aviv, qui avait déjà travaillé sur les séries « Kfulim » (« False Flag ») et « Absentia ».

La série a été écrite par les talentueux scénaristes israéliens Amit Cohen, Ron Leshem, Maria Feldman et Eitan Mansuri.

Souheila Yacoub dans « No Man’s Land ». (Crédit : Arte)

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