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Obama appelle Ankara et Moscou à se concentrer sur « l’ennemi commun »: l’EI

La destruction la semaine dernière d'un bombardier russe a provoqué une grave crise dans les relations entre les deux pays

Le président américain Barack Obama à l'Assemblée générale des Nations unies à New York, le 28 septembre 2015 (Crédit : Capture d'écran YouTube)
Le président américain Barack Obama à l'Assemblée générale des Nations unies à New York, le 28 septembre 2015 (Crédit : Capture d'écran YouTube)

Le président américain Barack Obama a appelé mardi à Paris la Turquie et la Russie à se concentrer sur « l’ennemi commun », l’organisation Etat islamique (EI), à l’issue d’une rencontre avec le président turc Recep Tayyip Erdogan.

« Nous avons parlé de la manière dont la Turquie et la Russie pourraient travailler à réduire les tensions » entre elles, a dit Obama.

« Comme je l’ai dit à M. Erdogan, nous avons tous un ennemi commun et c’est l’EI, et je veux être certain que nous nous concentrons sur cette menace, et je veux m’assurer que nous restons concentrés sur la nécessité de trouver une forme de solution politique en Syrie », a-t-il ajouté. « Il nous reste encore du travail ».

La destruction la semaine dernière d’un bombardier russe, abattu par l’aviation turque près de la frontière syrienne, a provoqué une grave crise dans les relations entre les deux pays, autrefois partenaires privilégiés.

Depuis, la tension est maximum entre les deux pays. Moscou, qui a annoncé des sanctions économiques contre la Turquie, a accusé lundi Ankara de couvrir le trafic de pétrole auquel se livre l’EI en Syrie, ce qu’a fermement démenti Erdogan.

Mardi, Obama a réitéré ses précédentes déclarations sur le droit de la Turquie, alliée des Etats-Unis au sein de l’OTAN, à se défendre.

« Je veux être très clair : la Turquie est un allié de l’OTAN. Les Etats-Unis soutiennent les droits de la Turquie à se défendre, à défendre son espace aérien et son territoire », a-t-il dit, après avoir reçu son homologue turc à la résidence de l’ambassadeur américain à Paris.

Erdogan, installé face à Obama lors de cette rencontre, a pour sa part assuré que son pays restait « désireux de recourir au langage diplomatique: Nous voulons éviter les tensions », a-t-il dit.

Vladimir Poutine a refusé de rencontrer lundi, en marge de la conférence climat de Paris, Erdogan, qui en avait fait la demande.

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