Israël en guerre - Jour 473

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Selon une mère d’un otage, près de 60 familles ont vu des images de leurs proches

Einav Zaugauker indique que la diffusion des images des otages à Gaza fait partie de la lutte publique pour un accord de libération, et que les citoyens israéliens sont en droit de savoir si les otages sont en vie

Einav Zangauker, mère de Matan Zangauker qui est retenu en otage par le Hamas à Gaza, assise dans la rue Begin, devant  le siège du ministère de la Défense, à Tel Aviv, le 1er juin 2024. (Crédit : Paulina Patimer/Mouvement de protestation pour la démocratie)
Einav Zangauker, mère de Matan Zangauker qui est retenu en otage par le Hamas à Gaza, assise dans la rue Begin, devant le siège du ministère de la Défense, à Tel Aviv, le 1er juin 2024. (Crédit : Paulina Patimer/Mouvement de protestation pour la démocratie)

Einav Zangauker, qui a rendu publiques mardi soir de brèves images de son fils Matan à Gaza, apparemment filmées peu après son enlèvement le 7 octobre, affirme que « près de 60 familles » ont vu des images de leurs proches au moment de leur enlèvement ou au début de leur captivité et qu’elles devraient toutes être autorisées à rendre publiques ces images si elles le souhaitent, dans le cadre de la lutte pour leur libération.

Elle a expliqué à la radio militaire qu’elle a dû mener une longue bataille avec les autorités pour obtenir l’autorisation de montrer le bref extrait de Matan – elle a même passé la nuit dans les bureaux du responsable gouvernemental pour les otages, Gal Hirsch, pour insister.

Elle affirme que Nitzan Alon, le général chargé de superviser les négociations avec les otages pour le compte de l’armée israélienne, l’a aidée à obtenir l’autorisation de montrer les images et a répondu aux préoccupations soulevées par d’autres responsables concernant les implications de la diffusion de ces images en termes de sécurité.

Zangauker affirme que la diffusion des images des otages à Gaza fait partie de la lutte publique pour un accord de libération des otages, et que les citoyens israéliens sont en droit de savoir si les otages sont en vie, s’ils ont été tués par erreur par les forces israéliennes à Gaza, s’ils ont été tués par leurs ravisseurs ou s’ils sont morts en raison des conditions de leur captivité.

Selon Zangauker, il est évident que le Hamas veut un accord. Sinon, le groupe terroriste aurait exécuté les otages. Elle affirme qu’Israël a également fait un grand pas vers un accord. Mais elle accuse le Premier ministre Benjamin Netanyahu de le bloquer. Seul Netanyahu, dit-elle, « n’utilisera pas l’encre pour signer ».

Elle espère que Netanyahu, qui doit s’adresser au Congrès américain cet après-midi, dira aux otages de « ne pas perdre espoir » et promettra de les ramener chez eux. « Il n’y a aucune raison sécuritaire de ne pas conclure un accord », dit-elle.

 

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