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Un suspect de l’incendie criminel de Duma assigné à résidence

Le résident de Cisjordanie aurait été le complice de l'attaque terroriste qui a tué le bébé palestinien et ses parents

Une étoile de David et  le mot "Revanche" en hébreu sont peints à la bombe sur les murs d'une maison palestinienne qui a été incendiée  dans le village palestinien de Douma, près de Naplouse, le 31 juillet 2015 (Crédit : Zacharia Sadeh / Rabbis for Human Rights)
Une étoile de David et le mot "Revanche" en hébreu sont peints à la bombe sur les murs d'une maison palestinienne qui a été incendiée dans le village palestinien de Douma, près de Naplouse, le 31 juillet 2015 (Crédit : Zacharia Sadeh / Rabbis for Human Rights)

L’un des suspects dans l’attaque à la bombe incendiaire de Duma, qui a tué un bébé palestinien et ses parents, a été libéré mais assigné à résidence vendredi.

Le suspect, qui n’a pas été identifié en raison de l’embargo imposé par le tribunal sur l’enquête, ne fait pas partie des mineurs détenus dans le cadre de l’enquête. C’est un résident d’une implantation en Cisjordanie, qui est décrit comme un père marié, et a été placé en détention il y a 12 jours par les services de sécurité du Shin Bet.

Le tribunal de Petah Tikva a prolongé la détention provisoire du suspect jusqu’à dimanche, mais ce matin, les enquêteurs ont annoncé qu’il serait libéré et assigné à résidence pendant cinq jours.

Le suspect ne serait directement pas responsable de l’attentat terroriste du mois de juillet mené par de présumés extrémistes juifs dans le nord du village cisjordanien de Duma, mais serait un complice indirect de l’acte.

Les avocats du suspect de l’organisation Honenu, qui propose une aide juridique aux extrémistes juifs de droite, a indiqué que le communiqué souligne l’absence de preuves dans l’affaire.

« Nous avons plaidé dès le premier jour pour son innocence », a déclaré l’avocat Adi Kedar.

« Et que les tribunaux, les procureurs et le Shin Bet ont effectué une fausse arrestation, même quand ils savent qu’il n’y a aucun lien, aucune connaissance et que rien ne le relie à cet événement. C’est triste que la police soit contrainte, après n’avoir trouvé aucune preuve ou motif de suspicion, de le libérer, après que les tribunaux, sur la base de certaines affirmations, ont ordonné son arrestation ».

Selon Kedar, « le dernier mot n’a pas encore été dit au sujet de cet incident ».

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