Israël en guerre - Jour 347

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Vers la fin de l’implication américaine dans les négociations ?

La Maison Blanche voudrait que Kerry « réduise le volume » sur les pourparlers de paix israélo-palestiniens et se concentre sur d’autres sujets

Affiche de Kerry : persona non grata (Crédit : Yonatan Sindel/Flash 90)
Affiche de Kerry : persona non grata (Crédit : Yonatan Sindel/Flash 90)

Alors qu’un coup fatal semble avoir été porté aux pourparlers de paix cette semaine, des responsables américains ont indiqué que Washington pourrait se désengager du processus et demander au secrétaire d’État américain John Kerry, qui a travaillé sans relâche pour maintenir le processus à flot, de « réduire le volume. »

Des sources à la Maison Blanche et des responsables diplomatiques américains, cités vendredi par le Washington Post, expliquent que les Etats-Unis sont inquiets que Kerry investisse trop d’efforts dans des négociations stériles, au détriment d’autres sujets internationaux de premier plan.

« Le moment viendra où il devra s’exprimer publiquement et accepter l’échec », aurait confié un responsable, ajoutant que Kerry devrait « réduire le volume et voir comment les choses se déroulent » pour l’instant.

Ces déclarations sont les premières indiquant que Washington est sur le point d’admettre la fin des pourparlers de paix, malgré des tentatives ces derniers jours pour tempérer les mesures prises par les deux camps, qui semblent conduire les négociations à un point de non-retour.

Jeudi soir, la porte-parole du Département d’État américain Marie Harf a précisé que les deux parties étaient toujours d’accord pour poursuivre les discussions.

« Aucune des parties n’a indiqué vouloir quitter les négociations. Les deux camps ont indiqué vouloir trouver un chemin pour aller de l’avant », a-t-elle affirmé devant des journalistes.

Alors que les négociations semblaient sur le point d’être dans l’impasse la semaine dernière, Kerry se serait entretenu plusieurs fois avec la conseillère à la sécurité nationale des Etats-Unis Susan Rice.

Si la Maison Blanche a donné une marge de manœuvre à Kerry pour la gestion du processus, le président Barack Obama estimerait désormais que les Etats-Unis sont allés aussi loin que possible, révèle le Washington Post.

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