Israël en guerre - Jour 343

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Après Sciences Po, des étudiants scandent « Israël assassin, Sorbonne complice » à la Sorbonne

"Il n'y a plus d'entrée possible" dans les bâtiments depuis midi environ, a indiqué la communication de l'université Paris 1-Panthéon Sorbonne

Une banderole "Sionistes hors de nos facs" à la Sorbonne, à Paris, le 4 avril 2024. (Crédit : UEJF/X.com)
Une banderole "Sionistes hors de nos facs" à la Sorbonne, à Paris, le 4 avril 2024. (Crédit : UEJF/X.com)

Plusieurs dizaines d’étudiants anti-Israël sont rassemblés lundi à la mi-journée à la Sorbonne pour une mobilisation devant le bâtiment et à l’intérieur de l’université, où ils ont installé des tentes, après une action similaire à Sciences Po vendredi, a constaté l’AFP.

« Il n’y a plus d’entrée possible » dans les bâtiments depuis midi environ, a indiqué la communication de l’université Paris 1-Panthéon Sorbonne à l’AFP, précisant que « la Sorbonne sera fermée cet après-midi sur décision du rectorat ».

Selon le rectorat de Paris, une trentaine de militants sont rassemblés à l’intérieur de la Sorbonne, où neuf tentes ont été installées dans la cour et trois dans le hall, et un drapeau palestinien posé au sol. « Les amphithéâtres on été évacués vers midi et des examens ont été annulés », a-t-on ajouté.

« Israël assassin, Sorbonne complice » ou « Ne nous regardez pas, rejoignez-nous » chantaient des étudiants devant la Sorbonne, où environ 150 personnes étaient rassemblées, en présence notamment du député Louis Boyard du mouvement d’extrême gauche radicale, La France Insoumise (LFI), largement accusé de flirter avec l’antisémitisme, a constaté l’AFP.

Plusieurs figures politiques françaises, dont Mathilde Panot, qui dirige le groupe de députés d’extrême gauche LFI à l’Assemblée nationale, avaient appelé leurs partisans à se joindre aux manifestations de la Sorbonne sur les réseaux sociaux.

Louis Boyard, député La France Insoumise (LFI), à l’Assemblée nationale, à Paris, le 7 décembre 2023. (Crédit : Ludovic Marin/AFP)

« On est là suite à l’appel des étudiants de Harvard, Columbia », a indiqué à l’AFP Lorélia Fréjo, étudiante à Paris-1 et activiste de l’organisation étudiante Le Poing Levé. « Après les actions à Sciences Po, on est là pour que ça continue. »

Vendredi, une journée de blocage et de mobilisation, émaillée de tensions, s’est tenue à Sciences Po Paris, en présence de plusieurs députés LFI.

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