Israël en guerre - Jour 538

Rechercher

Hamas : Les otages « ne reviendront pas vivants » si Israël n’accepte pas nos conditions

Osama Hamdan, membre du bureau politique du groupe terroriste palestinien, a également appelé la CIJ à ne pas céder aux pressions de l'administration américaine

Une femme marchant devant des photographies des personnes prises en otage par les terroristes du Hamas le 7 octobre, à Jérusalem, le 3 janvier 2023. (Crédit : Chaïm Goldberg/Flash90)
Une femme marchant devant des photographies des personnes prises en otage par les terroristes du Hamas le 7 octobre, à Jérusalem, le 3 janvier 2023. (Crédit : Chaïm Goldberg/Flash90)

Le Hamas a fait savoir mercredi, lors d’une conférence de presse, que les personnes qu’il retenait en otage « ne seront pas rendues vivantes à leurs familles à moins que Netanyahu et ses commandants militaires n’acceptent les conditions » fixées par le groupe terroriste palestinien, dont la première est une cessation complète des hostilités dans la bande de Gaza.

132 otages enlevés par le Hamas le 7 octobre dernier se trouveraient encore à Gaza – mais plusieurs ne seraient plus en vie – après la remise en liberté de 105 civils au cours d’une trêve d’une semaine à la fin du mois de novembre.

Osama Hamdan, membre du bureau politique du Hamas, s’en est pris au secrétaire d’État américain Antony Blinken – qui venait de quitter Israël au cours d’une visite éclair dans la région – pour avoir déclaré que de nombreux pays de la région étaient prêts à investir dans l’avenir de la bande de Gaza.

« Nous réaffirmons que le peuple palestinien est maître de ses décisions », a affirmé Hamdan.

« Nous appelons une fois de plus l’administration américaine à mettre fin à ses politiques qui entravent les efforts visant à mettre fin à la guerre », a poursuivi Hamdan, faisant référence aux vetos américains visant à bloquer les résolutions anti-Israël au sein du Conseil de sécurité des Nations unies.

Hamdan s’est également exprimé au sujet du procès contre Israël à la Cour internationale de justice (CIJ) basée à La Haye, qui doit s’ouvrir jeudi.

« Nous appelons la Cour internationale de justice à ne pas céder aux pressions de l’administration américaine, qui est un partenaire dans la poursuite de la guerre contre le peuple palestinien dans la bande de Gaza. »

En savoir plus sur :
S'inscrire ou se connecter
Veuillez utiliser le format suivant : example@domain.com
Se connecter avec
En vous inscrivant, vous acceptez les conditions d'utilisation
S'inscrire pour continuer
Se connecter avec
Se connecter pour continuer
S'inscrire ou se connecter
Se connecter avec
check your email
Consultez vos mails
Nous vous avons envoyé un email à gal@rgbmedia.org.
Il contient un lien qui vous permettra de vous connecter.
image
Inscrivez-vous gratuitement
et continuez votre lecture
L'inscription vous permet également de commenter les articles et nous aide à améliorer votre expérience. Cela ne prend que quelques secondes.
Déjà inscrit ? Entrez votre email pour vous connecter.
Veuillez utiliser le format suivant : example@domain.com
SE CONNECTER AVEC
En vous inscrivant, vous acceptez les conditions d'utilisation. Une fois inscrit, vous recevrez gratuitement notre Une du Jour.
Register to continue
SE CONNECTER AVEC
Log in to continue
Connectez-vous ou inscrivez-vous
SE CONNECTER AVEC
check your email
Consultez vos mails
Nous vous avons envoyé un e-mail à .
Il contient un lien qui vous permettra de vous connecter.