Le Times of Israël en français suit pour vous les événements liés au coronavirus en Israël :
Les ministres se réuniront pour discuter de l’extension des restrictions
Le comité ministériel spécial chargé de la réponse immédiate à la crise de coronavirus doit se réunir ce jeudi matin pour discuter de l’assouplissement des restrictions imposées à Jérusalem et à Bnei Brak.
Les ministres du Cabinet discuteront de la révocation de la définition de Bnei Brak comme « zone réglementée » – déclaré ainsi le 2 avril alors que la ville, en grande partie ultra-orthodoxe, a connu une forte augmentation des infections.
Ils discuteront également du confinement similaire imposé depuis dimanche dans plusieurs quartiers ultra-orthodoxes de Jérusalem, où des taux d’infection élevés ont été signalés. Ils devraient étendre la durée des restrictions dans la capitale.
Ce matin, Israël a levé le confinement national total imposé pour la fin de Pessah et la fête de la Mimouna. Les responsables ont indiqué qu’ils pourraient ainsi commencer à assouplir peu à peu les restrictions de confinement imposées pour lutter contre la propagation du coronavirus.
Depuis 5 heures ce matin, les Israéliens peuvent à nouveau quitter leur ville de résidence s’ils respectent les restrictions générales toujours en cours. Les transports publics ont également repris de façon limitée. Le confinement total était en place depuis mardi soir.
– Raoul Wootliff
Coronavirus : 140 morts et 12 591 infections en Israël
Le nombre de cas confirmés d’infections au coronavirus en Israël s’élève à 12 591, a annoncé le ministère de la Santé ce jeudi matin.
Le ministère a également indiqué que neuf personnes étaient mortes depuis la nuit dernière, ce qui porte le nombre total de morts à 140.
Selon les chiffres du ministère, 174 personnes se trouvent dans un état grave, dont 140 sous respirateur.
Jusqu’à présent, 2 624 Israéliens se sont remis du COVID-19.
Une ville bédouine organise de grandes funérailles en violation des restrictions
Hier, des dizaines de personnes ont assisté à des funérailles à Isfiya, ville arabe du nord d’Israël, violant les ordonnances de santé publique visant à enrayer l’épidémie de coronavirus dans le pays, a rapporté la Douzième chaine.
En vertu des ordonnances actuelles d’interdiction concernant les rassemblements publics, Israël autorise la tenue de funérailles jusqu’à 20 personnes, à condition qu’elles maintiennent une distance d’au moins 2 mètres entre elles. Le rassemblement à Isfiya, ville à majorité bédouine, survient alors que l’épidémie gagne du terrain dans certaines communautés arabes israéliennes.

Dans la vidéo de l’événement, des dizaines de personnes peuvent être vues se joignant à la procession pour l’enterrement d’une femme. Bien que presque tous les participants portent des masques, ils ne respectent pas les restrictions de distanciation sociale.
La chaine a rapporté que la police n’était pas intervenue afin de faire appliquer les directives.
La police retire les barrages routiers à Bnei Brak alors que l’ordre de confinement officiel s’achève
Mercredi soir, la police a retiré la plupart des barrages routiers déployés à travers la ville de Bnei Brak ces dernières semaines.
La décision intervient alors que les ministres du cabinet discutent de la possibilité de retirer la ville de la liste des « zones fermées ». Bnei Brak avait été placée sous confinement le 2 avril à cause du très grand nombre de cas de COVID-19.
L’ordre officiel de fermeture de la ville s’est terminé à 12h30.
La police semblait anticiper le fait que le confinement de la ville imposé par le gouvernement ne serait pas prolongé.
Ces deux dernières semaines, les résidents de la ville n’ont été autorisés à quitter Bnei Brak (même si les restrictions ont été quelque peu assouplies vendredi dernier pour permettre aux résidents de sortir de la ville afin de travailler et d’effectuer des activités essentielles).
El Al prévient qu’elle fera faillite si le gouvernement ne l’aide pas
La compagnie aérienne El Al a indiqué qu’elle risquait de fermer définitivement si le gouvernement ne l’aidait pas avec un prêt de 350 millions de dollars pour surmonter la crise du COVID-19.
Le fleuron de l’aviation israélienne risque maintenant d’être ruiné alors que l’épidémie de COVID-19, et les mesures de confinement du gouvernement, ont quasiment mis à l’arrêt le trafic aérien international. Les voyages internationaux à destination d’Israël sont interrompus.
95 % des 6 500 employés de la compagnie aérienne ne travaillent pas actuellement. Environ un millier a été licencié et les autres sont en congé sans solde.
Plus tôt ce mois, le ministère des Finances avait rejeté la demande d’El Al pour un prêt de l’Etat à hauteur de 350 millions de dollars. L’entreprise est maintenant en négociations avec l’Etat pour couvrir la plus grande partie de la somme, alors que les banques se chargeront du reste.
2 « Jeunes de collines » arrêtés pour avoir volé des tentes d’un site de quarantaine
Des officiers de police ont arrêté deux membres d’un groupe d’habitants israéliens radicaux d’implantations. Ils sont suspectés d’avoir volé des tentes et des équipements d’un avant-poste de quarantaine mis en place pour eux par l’armée dans le nord de la Cisjordanie, a déclaré la police.
Plus tôt cette semaine, les jeunes d’extrême-droite – surnommés les « jeunes des collines » – ont été accusés d’avoir attaqué un groupe de Palestiniens et d’avoir jeté des cocktails Molotov dans leurs voitures.
La police a indiqué que les officiers ont arrêté les deux suspects alors qu’ils roulaient sur la route 90 dans le sud de la Cisjordanie. La police a découvert dans leur véhicule ce qu’elle pense être du matériel militaire volé. On ne sait pas encore combien de suspects restent en liberté.
— Judah Ari Gross
Israël a fait fermer un site illégal de test du COVID-19 à Jérusalem est
La police israélienne a fermé une clinique improvisée proposant des tests du COVID-19 à Jérusalem est parce qu’elle était gérée par l’Autorité palestinienne, a rapporté le journal Haaretz.
La clinique a été installée à proximité d’une mosquée dans le quartier de Silwan de la capitale pendant la journée et a ensuite été fermée en début de soirée. Plus tard, la police s’est rendue sur place et a arrêté quatre personnes qui s’occupaient de la clinique.
Des sources présentes sur place ont indiqué à Haaretz que la police leur avait expliqué que la clinique avait été fermée à cause de ses liens avec l’AP. Celle-ci n’est pas autorisée à mener des activités en territoire israélien sans autorisation préalable.
Covid-19 : l’Union africaine s’apprête à distribuer un million de tests
Le Centre de contrôle et de prévention des maladies (CDC) de l’Union africaine prévoit de distribuer à partir de la semaine prochaine un million de tests pour dépister le Covid-19, a annoncé jeudi son directeur, le Dr John Nkengasong.
« Il y a un fossé important sur le continent en ce qui concerne les tests », a déclaré le responsable lors de son point-presse hebdomadaire depuis le siège de l’UA à Addis Abeba. « Il faut faire quelque chose », a-t-il martelé.
Le coronavirus est arrivé tardivement en Afrique. Mais il s’enracine progressivement, avec désormais plus de 17 000 cas et 911 morts recensés sur le continent.
Le Nigeria a jusqu’à présent mené 6 000 tests pour une population de quelque 200 millions d’habitants. En Ethiopie, qui compte plus de 100 millions de personnes, le nombre de tests plafonne actuellement à 5 000, a-t-il souligné.
Le millions de kits de tests que le CDC s’apprête à distribuer sur le continent est d’ailleurs bien loin des besoins du continent, a pointé le Dr Nkengasong.
« Dans les 3 à 6 mois, nous aurons probablement besoin de quelque chose comme 15 millions de tests. Mais un voyage de mille miles commence toujours par le premier mile », a-t-il déclaré.
Alors que l’Afrique du Sud dispose de 1.500 respirateurs artificiels mécaniques, auxquels les médecins ont recours pour les patients atteints des formes les plus aiguës de la maladie, 10 pays en Afrique n’en ont aucun.
Les pays du continent qui comptent le plus de cas déclarés de Covid-19 sont l’Afrique du Sud, l’Egypte, le Maroc et le Cameroun.
Préférant les ruines au coronavirus, des déplacés syriens rentrent chez eux
Aucun cas de la maladie Covid-19 n’a été officiellement recensé dans la province d’Idleb et ses environs, ultime grand bastion jihadiste et rebelle qui compte quelque trois millions d’habitants. Mais les ONG craignent une catastrophe humanitaire si le virus venait à se propager dans cette région, surtout dans les camps surpeuplés où les familles vivent dans un dénuement total, avec un accès limité aux soins et à l’eau potable.
Début mars, alors que l’épidémie de Covid-19 se propageait à travers le monde et que l’offensive du régime s’est calmée à la faveur d’une trêve négociée par Moscou et Ankara, des centaines de familles en ont profité pour revenir à Ariha (nord-ouest de la Syrie).
Damas semble pour l’instant focalisée sur la lutte contre l’épidémie, qui a officiellement affecté 29 personnes et entraîné deux décès dans les territoires sous son contrôle.
Coronavirus : l’Iran annonce 92 décès supplémentaires, bilan total de 4.869
L’Iran a annoncé jeudi avoir enregistré 92 décès supplémentaires dus au nouveau coronavirus, un bilan inférieur à 100 morts pour le troisième jour consécutif dans ce pays le plus touché du Moyen-Orient.
Cela porte le nombre total des personnes décédées de la maladie Covid-19 à 4.869, a précisé le porte-parole du ministère de la Santé Kianouche Jahanpour, lors de son point de presse quotidien.
Ces dernières 24 heures, 1.606 nouveaux cas ont été confirmés, portant le total des infections à 77.995, a-t-il dit, ajoutant que plus de 310.340 tests ont été menés.
Parmi les cas hospitalisés, 52.229 personnes sont guéries et 3.594 patients sont dans un état critique, selon M. Jahanpour.
A l’étranger, certains soupçonnent les chiffres officiels iraniens d’être sous-estimés.
Un centre de recherches au sein du Parlement iranien estime que le bilan réel de l’épidémie serait supérieur de 80 % aux chiffres annoncés par le gouvernement, dans un rapport publié mardi.
Le nombre d’infections serait « huit à dix fois » plus important, d’après ce rapport.
Dans le monde arabe, 74 M de personnes sans possibilité de se laver les mains
Quelque 74 millions de personnes dans le monde arabe sont davantage exposées au nouveau coronavirus faute d’accès à des lavabos et du savon, a déploré mercredi un organisme de l’ONU.
« Alors qu’il est établi dans le monde entier que le lavage des mains (…) est le meilleur outil de prévention contre la contamination au Covid-19, ce simple acte s’avère difficile dans une région où 74 millions de personnes n’ont pas accès à un dispositif de base pour se laver les mains », souligne la Commission économique et sociale des Nations unies pour l’Asie occidentale (CESAO).
Quelque 31 millions de personnes au Soudan sont privées de lavabos et de savon, contre 14,3 millions au Yémen et 9,9 millions en Égypte, a révélé dans son rapport l’agence onusienne basée à Beyrouth.
La CESAO a dit s’attendre, par ailleurs, à une « hausse de la demande d’eau dans la région de l’ordre de 4 à 5 millions m3 par jour », alors que l’approvisionnement en eau courante est déjà « insuffisant dans dix des 22 pays arabes ».
Par ailleurs, environ 87 millions de personnes dans la région n’ont pas accès à l’eau potable à domicile, ce qui les contraint à recourir à des sources d’eau publiques et les expose ainsi à un risque accru de contracter la maladie, souligne la CESAO.
« Il est urgent de garantir l’accès à l’eau potable et aux services d’assainissement à tous et partout, sans frais pour ceux qui ne peuvent pas se le procurer, afin d’éviter une propagation du nouveau coronavirus », a plaidé la secrétaire exécutive de la CESAO, Rola Dashti.
Elle a également mis en garde contre « l’utilisation de l’eau comme arme de guerre » dans les pays en proie à des conflits, où les ONG craignent une catastrophe, notamment dans les camps de déplacés surpeuplés.
Selon la CESAO, « 26 millions de réfugiés et de personnes déplacées dans la région sont plus exposées au risque de contracter le coronavirus en raison du manque d’eau, d’assainissement et de services d’hygiène ».
Cent soldats se réunissent et dansent pour la fête de Mimouna
La Douzième chaîne a diffusé jeudi des images d’une centaine de soldats de l’armée israélienne célébrant la fête de la Mimouna mercredi soir, en violation des règles de distanciation sociale.
La vidéo montre des dizaines de personnes rassemblées en cercle en train de danser.
Maire adjoint de Bnei Brak : le confinement a complètement échoué
Le maire adjoint de Bnei Brak, Gedalyahu Ben Shimon, dénonce la décision apparente du cabinet d’assouplir certaines restrictions sur la ville, mais pas toutes, déclarant que le confinement avait « totalement échoué » et que la réinstallation des points de contrôle n’était « que pour apaiser les éléments anti-haredim ».
« Nous appelons les ministres à ne pas céder au populisme de bas étage, mais à prendre de véritables mesures pour évacuer les malades de la ville », demande-t-il dans sa déclaration. « C’est la seule solution efficace à l’heure actuelle ».
Assouplissement confirmé du confinement à Bnei Brak et prolongation à Jérusalem
Le gouvernement confirme qu’il a approuvé la décision de désigner Bnei Brak et certaines parties de Jérusalem comme « zone restreinte », une mesure qui assouplit certaines règles en vigueur dans la banlieue de Tel-Aviv.
Pour Bnei Brak, la décision – valable jusqu’au 20 avril – signifie que toutes les règles de confinement sont assouplies, à l’exception des transports publics, qui restent interdits dans la ville.
Bnei Brak s’engage à envoyer 700 résidents malades du virus dans des hôtels de quarantaine.
Pour Jérusalem, les quartiers qui ont été placés à l’isolement avant les derniers jours de Pessah resteront fermés au reste de la ville jusqu’au 19 avril, avec des exceptions pour ceux qui vont travailler.
La décision entrera en vigueur à 18 heures.
Ministère de la Santé : 9 269 tests de dépistage de virus effectués mercredi
Le ministère de la Santé a fait savoir jeudi que 9 269 tests de dépistage du coronavirus avaient été effectués mercredi, les responsables cherchant à porter le nombre à 10 000 par jour.
Le bilan des victimes du COVID-19 grimpe à 142 avec le décès d’un homme de 85 ans
Un homme de 85 ans est décédé du coronavirus à l’hôpital Meir de Kfar Saba, portant le bilan national des victimes de la pandémie à 142.
L’homme, qui n’a pas encore été identifié, est un résident de Raanana.
Tsahal va mener une enquête sur une importante fête de Mimouna dans une base militaire
Tsahal a déclaré mener une enquête sur une fête importante qui aurait eu lieu la nuit dernière dans la brigade d’infanterie Nahal, en infraction avec les restrictions militaires de distanciation sociale.
Des images de l’événement – une célébration de la fête juive marocaine de Mimouna – ont été partagées sur les réseaux sociaux. Elles montrent des dizaines de soldats en train de danser et chanter très proches les uns des autres.
Le rassemblement a eu lieu alors que la compagnie administrative de la brigade entrait dans une tente qui avait été mise en place sur la base, a indiqué l’armée. Tsahal a précisé que la compagnie était sur la base depuis plus de 30 jours.
« Le comportement des soldats dans l’incident en question a dérogé aux règles instaurées par Tsahal pour limiter la propagation du coronavirus sur les bases militaires », a déclaré l’armée israélienne.
« Le rassemblement a eu lieu après que la compagnie est entrée [dans la tente]. La fête a été interrompue par le commandant de l’unité, et ensuite les règles ont été précisées [aux soldats]. Il y aura une enquête sur l’incident », a fait savoir Tsahal.
— Judah Ari Gross
Une femme de 82 ans décède du coronavirus dans le nord d’Israël
Une femme de 82 ans décède du coronavirus dans le nord d’Israël, relevant le bilan à 143 morts dans le pays.
Le centre médical de Poriya annonce le décès en précisant que la femme avait été hospitalisée dans un état grave depuis le 10 avril.
Elle résidait dans une maison de soins infirmiers à Yavne’el, dit l’hôpital.
Des centaines d’Israéliens manifestent contre Netanyahu à Tel Aviv
Des centaines de manifestants se rassemblent sur la place Habima à Tel Aviv pour protester contre ce qu’ils décrivent être l’érosion de la démocratie israélienne sous la direction du Premier ministre Benjamin Netanyahu.
Les manifestants, qui disent garder une distance de 2 mètres entre eux conformément aux règles de distanciation sociale, agitent des drapeaux noirs.
Un texte de loi pour permettre à la police d’utiliser la géolocalisation avance
La Knesset présente un texte de loi qui permettrait à la police d’utiliser le suivi par téléphone pour appliquer les ordonnances de quarantaine.
La proposition approuve sa première lecture avec 49 votes pour, 26 contre.
Si elle est promulguée dans deux lectures supplémentaires, l’ordonnance d’urgence sera en vigueur pendant trois mois.
Le projet de loi intervient après que la Haute Cour de justice a déclaré que de tels pouvoirs devaient être ancrés dans la loi.
2 000 personnes seraient à la manifestation pro-démocratie anti-Netanyahu
Les organisateurs de la manifestation dite du drapeau noir à Tel Aviv ont mis à jour leur décompte des participants, affirmant que 2 000 personnes étaient présentes.
« Les citoyens israéliens prouvent aujourd’hui que la démocratie israélienne refuse de subir un coup d’État sous le couvert du coronavirus », explique un organisateur.
« Nous ne soutiendrons pas un gouvernement dont le Premier ministre est accusé de corruption, de fraude et d’abus de confiance. Nous ne pouvons tolérer une situation dans laquelle ce même accusé a un rôle à jouer dans la nomination d’enquêteurs, de procureurs et de juges dans l’État d’Israël. »
Coronavirus : Les renseignements US auraient averti Israël et l’OTAN à la mi-novembre
Les agences du renseignement américain ont alerté Israël sur les dangers de l’épidémie du coronavirus en Chine dès la mi-novembre, rapporte la Douzième chaîne.
Selon le reportage, la communauté du renseignement américain a pris conscience de l’émergence de la maladie à Wuhan et en a décidé d’informer certains de ses alliés dans un document classifié.
Ces informations ne relevaient pas du domaine public – et n’étaient connues qu’en apparence du gouvernement chinois. Le renseignement américain a informé l’administration Trump « qui ne l’a pas jugé pertinent », souligne la chaîne.
Mais les Américains ont décidé d’informer deux alliés avec ce document classifié : l’OTAN et Israël.
Le réseau indique que des responsables militaires israéliens ont discuté de la possibilité de propagation du virus dès la mi-novembre.
« Toujours en novembre, Tsahal a tenu une première discussion sur l’impact de cette maladie inconnue si elle atteignait le Moyen-Orient. Comment serions-nous affectés ? Comment cela affecterait-il nos voisins ? Comme vous pouvez l’imaginer, les informations [sur l’épidémie de virus en Chine] ne sont pas restées uniquement aux mains de l’armée israélienne. Il a atteint les décideurs israéliens et le ministère de la Santé. »
Au ministère de la Santé, « rien n’a été fait », indique le reportage.
12 758 cas de coronavirus en Israël, dont 181 graves
Selon un décompte actualisé du ministère de la Santé, il y a 12 758 cas de coronavirus en Israël, dont 181 graves.
Le ministère indique que 137 personnes sont actuellement sous respirateurs.
158 autres sont dans un état modéré.
Il indique que le nombre de morts s’élève à 142.
La grande majorité des personnes infectées par le virus, 9 464, présentent des symptômes bénins.
La mosquée al-Aqsa restera fermée pendant le Ramadan
La mosquée al-Aqsa restera fermée pendant le mois sacré du Ramadan, qui commence le 23 avril et se termine le 23 mai, en raison du coronavirus, selon les gardiens jordaniens du lieu saint de Jérusalem.
La décision du Waqf a été rapportée par l’agence de presse Reuters.
La mosquée est fermée depuis fin mars en raison de la pandémie.
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