Israël en guerre - Jour 370

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Washington : « une influence », « pas un contrôle total » sur la guerre

Le président américain Joe Biden écoute la question d'un journaliste avant un briefing sur l'Ukraine, dans le bureau ovale de la Maison Blanche, le 5 octobre 2023, à Washington. Dans le sens des aiguilles d'une montre à partir de la gauche se trouvent le Secrétaire à la Défense Lloyd Austin, le chef d'état-major interarmées, le général CQ Brown Jr., Biden, le directeur de la CIA, William Burns, et Jon Finer, assistant du président et principal conseiller adjoint à la sécurité nationale. (Crédit : AP Photo/Evan Vucci)
Le président américain Joe Biden écoute la question d'un journaliste avant un briefing sur l'Ukraine, dans le bureau ovale de la Maison Blanche, le 5 octobre 2023, à Washington. Dans le sens des aiguilles d'une montre à partir de la gauche se trouvent le Secrétaire à la Défense Lloyd Austin, le chef d'état-major interarmées, le général CQ Brown Jr., Biden, le directeur de la CIA, William Burns, et Jon Finer, assistant du président et principal conseiller adjoint à la sécurité nationale. (Crédit : AP Photo/Evan Vucci)

Le conseiller adjoint américain à la sécurité nationale, Jon Finer, a déclaré qu’« il reste de nombreuses cibles militaires légitimes » dans le sud de Gaza, y compris une grande partie des dirigeants du Hamas.

« Il y a eu des aspects de la manière dont le conflit a été mené dans le nord qui, selon nous, n’ont pas montré suffisamment d’attention à la vie civile et ces aspects devraient être améliorés dans le sud », a déclaré Finer au Aspen Security Forum, ajoutant qu’Israël a une responsabilité particulière pour protéger les civils dans la moitié inférieure de Gaza puisqu’il a ordonné à environ un million de Gazaouis d’y migrer afin que Tsahal puisse opérer plus facilement dans le nord.

Lorsqu’on lui demande si Israël a tenu compte de ces avertissements, Finer commence par affirmer que la puissance américaine est limitée.

« Il est important de comprendre quel est le rôle des États-Unis. Nous avons sans aucun doute une influence sur la manière dont cette guerre est menée. Nous n’avons pas un contrôle total », dit-il.

Il note cependant des progrès dans l’acheminement de l’aide humanitaire, la sortie de milliers d’étrangers de Gaza ainsi qu’une trêve de sept jours au cours de laquelle plus de 100 otages ont été libérés.

« Je ne pense pas qu’aucun de ces développements n’aurait eu lieu sans l’intervention directe des États-Unis », déclare Finer.

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