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Sanctions américaines contre un réseau de blanchiment d’argent libanais

Ce "réseau international" est accusé de blanchir l'argent de la drogue à travers le monde et "facilite les mouvements d'argent au profit du Hezbollah", selon le Trésor américain

Des femmes brandissent des drapeaux
libanais et du Hezbollah devant les portraits du dirigeant suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei et du dirigeant du Hezbollah Hassan Nasrallah, dans la ville de Bint Jbeil, au sud du Liban, le 13 août 2016. (AFP Photo / Mahmoud Zayyat)
Des femmes brandissent des drapeaux libanais et du Hezbollah devant les portraits du dirigeant suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei et du dirigeant du Hezbollah Hassan Nasrallah, dans la ville de Bint Jbeil, au sud du Liban, le 13 août 2016. (AFP Photo / Mahmoud Zayyat)

Les Etats-Unis ont annoncé jeudi des sanctions ciblées contre un réseau libanais accusé de blanchir l’argent de « barons de la drogue » et de contribuer au financement du groupe terroriste chiite Hezbollah, soutenu par l’Iran et considéré comme une organisation « terroriste » par Washington.

Le Trésor américain a ajouté à ses listes noires Kassem Chams, un Libanais, ainsi que deux entités: l' »organisation de blanchiment d’argent » de ce dernier, et Chams Exchange, une société de services financiers dont le siège est à Chtaura, au Liban.

Ce « réseau international » est accusé de blanchir l’argent de la drogue à travers le monde, soit « des dizaines de millions de dollars chaque mois », et de « faciliter les mouvements d’argent au profit du Hezbollah », selon un communiqué du Trésor. Il est également actif en Australie, au Brésil, en Colombie, en Espagne, aux Etats-Unis, en France, en Italie, aux Pays-Bas et au Venezuela.

Ces sanctions font partie de « la campagne sans précédent de l’administration pour empêcher le Hezbollah et ses affiliés terroristes mondiaux de tirer profit de la violence, de la corruption et du trafic de drogue », a expliqué la sous-secrétaire au Trésor Sigal Mandelker.

Ses services soulignent que Chams Exchange bénéficie d’une licence de la Banque centrale du Liban « malgré les soupçons anciens des autorités américaines ». Le Trésor se dit « déterminé à travailler avec la Banque du Liban pour barrer l’accès au système financier libanais aux trafiquants de drogue, blanchisseurs d’argent et groupes terroristes comme le Hezbollah ».

L’administration de Donald Trump a fait de l’Iran chiite, accusé de déstabiliser le Moyen-Orient, sa principale bête noire, et a multiplié les sanctions pour lui couper ses revenus, ainsi qu’à ses alliés régionaux comme le Hezbollah libanais.

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