Israël en guerre - Jour 348

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Un pilote réserviste évoque la destruction des drones iraniens : « Top Gun » et « Star Wars » à la fois

Dans les colonnes du Telegraph, le pilote parle des conditions difficiles de la neutralisation des drones et missiles tirés de nuit et à très faible altitude

Un avion de chasse de l'armée de l'air israélienne sur un aérodrome non identifié, semble-t-il au retour d'une mission d'interception, publiée le 14 avril 2024. (Crédit : Armée israélienne/AFP)
Un avion de chasse de l'armée de l'air israélienne sur un aérodrome non identifié, semble-t-il au retour d'une mission d'interception, publiée le 14 avril 2024. (Crédit : Armée israélienne/AFP)

Un pilote de réserve de l’armée de l’air israélienne qui a pris part aux missions d’interception et neutralisation des centaines de drones et missiles tirés sur Israël par l’Iran parle de cette mission comme de la plus complexe à laquelle il lui ait été donné de prendre part, disant que c’était comme si « Top Gun rencontrait Star Wars ».

L’officier, présenté comme le major G, a déclaré au journal britannique Telegraph qu’en tant qu’officier de réserve, il avait été appelé samedi, avait pris part à la mission et était à son bureau, dans un cabinet d’avocats, dimanche à 16 heures pour « envoyer des e-mails ».

« C’était vraiment unique, avec ces centaines de drones et de missiles qui étaient interceptés tout autour, un peu comme si ‘Top Gun’ rencontrait ‘Star Wars’. Il y avait des explosions et des interceptions à n’en plus finir », a-t-il déclaré au journal.

« C’est clairement la mission la plus complexe en 20 ans de carrière et de réserve dans l’armée de l’air. Si on loupe une cible, il y a le risque qu’elle explose en Israël », a-t-il ajouté.

L’Iran a tiré plus de 500 drones et missiles, dont 99 % ont été interceptés par les forces israéliennes et alliées.

« Nous avons volé au sein d’une coalition incroyable avec les États-Unis, le Royaume-Uni et d’autres pays encore. Cette attaque coordonnée par l’Iran a été très agressive, une attaque peut-être unique dans le cadre d’une guerre moderne. Mais la défense a été parfaite », a-t-il expliqué.

« Il est plus difficile d’identifier et abattre ces cibles de nuit. Comme elles volent très bas, on doit en faire autant, sans voir le sol ».

Un drone iranien juste avant d’être abattu par un avion de chasse de l’armée de l’air israélienne, le 14 avril 2024. (Crédit : armée israélienne)

« On s’aide de capteurs, mais parfois, on est très proche du sol. On peut voir les lampadaires ou d’autres éléments du sol, très près. C’est une sensation très désagréable. Mais nous sommes entraînés à cela et nous l’avons prouvé », a conclu le major G.

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