Adieu retrait, bonjour souveraineté: triomphe des Israéliens des implantations
Les gouvernements de droite les considéraient comme temporaires, affirment les dirigeants des implantations. A présent, disent-ils, tout a changé. Prochaine étape: Annexion totale
David est le fondateur et le rédacteur en chef du Times of Israel. Il était auparavant rédacteur en chef du Jerusalem Post et du Jerusalem Report. Il est l’auteur de « Un peu trop près de Dieu : les frissons et la panique d’une vie en Israël » (2000) et « Nature morte avec les poseurs de bombes : Israël à l’ère du terrorisme » (2004).
SHILOH, Cisjordanie – Sur la route menant à Shiloh se dresse une grande sculpture, Dovecote, [Pigeonnier], érigée à l’époque de la fondation du village en 1978. Le travail d’Igael Tumarkin a été implanté par les activistes de La Paix Maintenant pour symboliser leur affirmation que l’entreprise de colonisation en général, et Shiloh en particulier, étaient des obstacles à tout espoir de paix israélo-palestinienne. Structure inhospitalière en béton et en métal, la sculpture ressemble à tout sauf à une maison pour les colombes qui symbolisent la réconciliation et l’harmonie.
Alors que nous passions devant la sculpture « Dovecote » (Pigeonnier) la semaine dernière en compagnie d’Yigal Dilmoni, le président du Conseil de Yesha (implantations), il a eu un rire indulgent en nous le montrant. Plutôt que l’imposante réprimande qu’elle devait constituer, elle est considérée par les Juifs du Shiloh moderne, a-t-il indiqué, comme un symbole de leur endurance et peut-être même de leur triomphe. Le pigeonnier est toujours là. Mais Shiloh aussi. Créé par une poignée de familles et quelques centaines d’étudiants de yeshiva il y a 41 ans, l’implantation compte aujourd’hui une population d’environ 4 000 personnes.
Au cours des décennies qui ont suivi, une succession de fouilles archéologiques a mis au jour des jarres de stockage, des poteries et des preuves de sacrifices, parmi d’autres découvertes attribuées aux Israélites d’avant le Temple, et les travaux se poursuivent dans et autour d’une zone dont certains archéologues sont convaincus qu’elle a abrité le Tabernacle, où l’Arche d’Alliance est restée 369 années, lorsque les anciens Israélites sont arrivés en Terre Sainte.
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Le parc archéologique de Shiloh attire aujourd’hui quelque 12 000 visiteurs par an en provenance du monde entier, nous a confié avec fierté l’une de nos hôtes lors de la visite mercredi d’un petit groupe de journalistes du Times of Israel.
Elle-même a grandi ici, fille d’une de ces premières familles pionnières, a-t-elle dit, en nous montrant les principales trouvailles et en nous montrant deux présentations multimédias soulignant le caractère central du site pour l’histoire juive.
Avec le peuple juif rétabli tardivement dans son ancienne patrie dans l’Israël d’aujourd’hui, le désir de faire revivre une présence juive forte dans un lieu comme Shiloh, avec sa résonance biblique centrale, est aisément apprécié. Sauf, bien sûr, que Shiloh se trouve en Cisjordanie, en Judée et Samarie bibliques, en dehors de l’Israël moderne, et abrite entre deux et trois millions de Palestiniens, selon qui les dénombre.
Pendant les quatre décennies où Shiloh s’est progressivement développée, elle l’a donc fait – comme le reste des implantations en Cisjordanie – dans une zone crépusculaire de légitimité douteuse, encouragée de moins en moins ouvertement par différents gouvernements israéliens, qui se battaient pour se rapprocher du consensus politique dominant en Israël.
Pas d’annexion. Une Souveraineté
Au cours des dernières années, cependant, cette quête de légitimité israélienne semble avoir fait des progrès sans précédent. Traumatisé par l’attaque stratégique des attentats-suicides à la bombe éclos en Cisjordanie connus sous le nom de Seconde Intifada, par la prise de contrôle de Gaza évacuée par Israël par le Hamas et la domination du Hezbollah sur l’ancienne zone de sécurité israélienne au sud du Liban, la plupart des Israéliens sont de moins en moins enclins à céder les territoires adjacents au nom d’une cause peu fiable, – la paix.
Et dans les dernières semaines précédant les dernières élections, en avril, le Premier ministre Benjamin Netanyahu a commencé à parler de plans visant à annexer progressivement toutes les implantations en Cisjordanie – où se trouvent quelque 450 000 Juifs israéliens – en considérant de toute évidence cette politique déclarée comme gagnante du scrutin.
Netanyahu a maintenu sa position à l’approche des nouvelles élections de septembre, déclarant lors d’une visite à Efrat mercredi dernier qu’aucune implantation ni aucun Israélien ne sera déplacé sous sa direction et que les résidents des implantations israéliennes y resteront « à jamais ».
Bien que cette position soit un anathème pour une grande partie de la communauté internationale et pour beaucoup de ceux qui, en Israël, considèrent qu’une certaine forme de séparation d’avec les Palestiniens est essentielle si Israël veut maintenir sa nature juive et démocratique, Netanyahu a surement un allié dans le gouvernement Trump, et son équipe diplomatique a indiqué que son entente sur une solution prévoyant deux États ne lui semblait pas très opportune.
Plutôt que de continuer à se considérer eux-mêmes comme les gouvernements successifs les considéraient comme une présence potentiellement temporaire qui pourrait être déracinée à tout moment, les dirigeants des implantations ont décidé de prendre leur destin en main. Au lieu de se contenter de parler de leur entreprise comme d’une entreprise permanente, ils ont commencé à travailler pour en assurer la permanence.
Comme Dilmoni l’a clairement indiqué dans sa conversation avec nous, cependant, le discours de Netanyahu sur l’annexion progressive de toutes les implantations juives de Cisjordanie – blocs, implantations isolées, avants-postes illégaux et autres – qui pouvait jusqu’alors avoir été considéré comme une victoire sensationnelle – est maintenant jugé insuffisant. La vision défendue par le Conseil de Yesha, dit-il fermement, « c’est la souveraineté ». Il a répété pour mettre l’accent : « Pas l’annexion, la souveraineté. »
Comme l’a dit Dilmoni, alors que nous étions assis autour de la table au centre d’accueil et à la boutique de souvenirs de Shiloh, les dirigeants des implantations ont pris une décision stratégique il y a environ cinq ans : Plutôt que de continuer à se considérer comme les gouvernements successifs les considéraient comme une présence potentiellement temporaire qui pourrait être déracinée à tout moment, ils ont décidé de prendre leur destin en main. Au lieu de simplement parler de leur entreprise comme étant permanente, ils ont commencé à travailler pour en assurer la permanence.
En plus de la contestation diplomatique de leur légitimité, a-t-il dit, les résidents ont dû faire face à « un défi de perception. Même si nous marquions les 50 ans des implantations, explique-t-il, dans l’inconscient, ce domaine était considéré par les ministères comme étant temporaire… Il n’y avait pas de planification stratégique. Aucun ministère n’avait de plans pour cette région. »
La présence potentiellement transitoire des implantations s’est reflétée, par exemple, dans le « trou noir » où la Judée et la Samarie auraient dû figurer sur le plan directeur du gouvernement pour le transport, a déclaré Dilmoni.
A un moment donné, a-t-il rappelé, le Conseil de Yesha s’est vu allouer 300 millions de shekels pour l’amélioration des routes, « mais nous ne pouvions pas les dépenser », car il n’y avait aucun plan officiel. « Nous aurions pu ajouter une voie supplémentaire à une route existante, installer un feu de circulation, mais c’était à peu près tout… des pansements. »
Le développement était continuellement planifié pour la périphérie – la Galilée au nord et le Néguev au sud – « mais personne ne regardait vers l’est… même si, évidemment, si vous voulez réduire le prix des logements dans la région de Tel Aviv, l’endroit où il faut construire est à l’est, en Judée et Samarie. »
Aujourd’hui, tout cela est en train de changer, a-t-il dit. Dans le cadre de leurs efforts pour affirmer leur permanence, ils ont engagé leurs propres experts pour élaborer un plan directeur de transport à travers la Judée et la Samarie, avec des routes et autoroutes principales intégrant le transport de Cisjordanie dans le système de transport israélien. Aujourd’hui, le gouvernement a assumé et prépare actuellement un plan qui inclut la Cisjordanie dans la vision nationale, a-t-il dit, qui résoudra les graves problèmes de circulation sur les routes de Cisjordanie, la réduction du nombre de victimes, et facilitera les voies d’accès depuis les implantations jusqu’au cœur de l’emploi dans le centre d’Israël. Deux milliards et demi de shekels ont déjà été alloués au transport en Cisjordanie au cours des dernières années, a-t-il dit. Le Gush Etzion, au sud de Jérusalem, par exemple, verra la construction d’un deuxième tunnel/pont d’accès en trois ou quatre ans, a-t-il annoncé.
La même planification stratégique intégrée est en train de prendre forme pour les questions d’électricité, d’eau et d’environnement, a dit M. Dilmoni, en intégrant à nouveau pratiquement les implantations et leurs infrastructures en Israël.
‘Si j’avais dit il y a quelques années que j’étais convaincu qu’Israël étendrait effectivement sa souveraineté ici, j’aurais eu l’air de délirer. C’est l’ambassadeur américain qui le dit. Dans une seconde, le Président Trump le dira. C’est Netanyahu qui le dit. Cette idée est en train de se concrétiser’ – Yigal Dilmoni, chef du Conseil de Yesha.
Tout cela mènera, dit Dilmoni, une personnalité sympathique, empressée et dynamique, à une « planification stratégique pour une présence permanente ».
« Nous restons ici, nous ne bougerons pas », a-t-il dit. « Et les Arabes sont ici ; peut-être que certains déménageront, ou pas ; mais ils n’iront nulle part. »
Mais l’intégration pratique n’est pas tout. Ce qui « complète la vision », a-t-il dit, c’est ce statut formel recherché, cet objectif de souveraineté israélienne, dont il a insisté pour qu’il soit de plus en plus réalisable. « Si j’avais dit il y a quelques années que j’étais convaincu qu’Israël étendrait effectivement sa souveraineté ici, j’aurais eu l’air de délirer », a-t-il dit, souriant.
« Désormais, l’ambassadeur américain [David Friedman] le dit. [Friedman a déclaré en juin qu’Israël, dans certaines circonstances, a « le droit de conserver une partie, mais pas la totalité de la Cisjordanie »]. [L’envoyé spécial de la Maison Blanche] Jason Greenblatt le dit. (Greenblatt a rejeté la désignation de la Cisjordanie comme occupée illégalement.) Dans une seconde, le Président Trump le dira. C’est Netanyahu qui le dit. Il ne le dit pas pour faire de la propagande électorale ; il le dit parce que c’est ce qui va se passer. Cette idée est en train de se concrétiser. »
Lorsqu’on lui demande « la souveraineté sur quoi exactement », Dilmoni répond que c’est à discuter, mais il est catégorique sur le fait que le Conseil de Yesha est « opposé à la souveraineté sur les implantations spécifiques seulement, et à la [souveraineté] juste sur les blocs majeurs » – comme le Gush Etzion, Ariel, Maaleh Adumim. « On ne sera pas d’accord. »
Au cours d’une série d’arrêts au cours de notre tournée de mercredi, divers fonctionnaires et de simples habitants à qui nous avons parlé ont préconisé différentes variantes de cette même vision optimiste. Certains ont plaidé en faveur de la souveraineté israélienne sur les quelque 10 % de la Cisjordanie qui englobent les implantations et leurs empreintes potentielles plus larges ; d’autres veulent la souveraineté dans la zone C, les 60 % de la Cisjordanie qui englobe toutes les implantations et peut-être 150 000-300 000 Palestiniens, d’autres encore se sont prononcés pour la souveraineté de la Cisjordanie dans son ensemble.
Fenêtre d’opportunité
Mais que se passerait-il alors, dans une réalité où Israël est en permanence imbriqué avec la population palestinienne – dans une entité unique formelle ou de facto entre la Méditerranée et le Jourdain – d’Israël en tant que pays à majorité juive ? Ou cet Israël élargi, nouvellement souverain en partie ou en totalité en Cisjordanie, subvertirait-il sa démocratie en refusant l’égalité des droits aux Palestiniens aujourd’hui plutôt « israéliens » ? « Les questions de politique, de citoyenneté, de vote, nous pouvons en discuter séparément », dit Dilmoni.
« À mon grand plaisir, quand Trump parle de développement économique avant le développement politique, il a raison. Cette vision du monde – le développement économique avant d’essayer de résoudre les problèmes politiques – je pense que c’est la bonne approche. »
À l’heure actuelle, nous ont dit plusieurs responsables, il y a une ‘fenêtre d’opportunité’ – une chance de désigner comme autorisé et légitime sous Trump ce qui était si mal vu par l’administration Obama ; de faire pour au moins une partie de la Judée et Samarie ce que le président américain a déjà fait pour Jérusalem et le plateau du Golan
Lorsque nous avons fait remarquer que ce n’est pas exactement ce que dit l’administration, et qu’elle a en fait clairement indiqué que son paquet d’idées économiques de plusieurs milliards de dollars, tel que dévoilé au colloque du Bahrain, nécessite un cadre politique, Dilmoni a légèrement rééquilibré : « Je les entends dire que l’économie est un élément très important, avant de passer à l’élément politique. »
De toute évidence, l’arrivée d’une administration américaine si empathique à l’égard des implantations a renforcé la confiance des dirigeants des implantations dans leur pérennité. Mais ils reconnaissent aussi que dans la politique américaine, si ce n’est pas récemment dans celle d’Israël, le pendule oscille. À l’heure actuelle, nous ont dit plusieurs responsables, il y a une « fenêtre d’opportunité » – une chance de désigner comme autorisé et légitime sous Trump ce qui était si mal vu par l’administration Obama ; de faire pour au moins une partie de la Judée et de la Samarie ce que le président américain a déjà fait pour Jérusalem et le plateau du Golan.
Ce qui explique, note Dilmoni, la « colère » parmi beaucoup contre Avigdor Liberman, le dirigeant d’Yisrael Beytenu qui a condamné Israël aux nouvelles élections de septembre en refusant de donner à Netanyahu une coalition majoritaire. « Il aurait pu y avoir un gouvernement de droite maintenant, avec une administration américaine qui l’appuie », qui aurait pu prendre des décisions stratégiques clés sur le statut des implantations que le gouvernement transitoire actuel n’est pas autorisé à prendre. La moitié d’une année des deux à six précieuses années supplémentaires de Trump a été perdue, a-t-il déploré.
Retrait ? Quel retrait ?
Néanmoins, le fait qu’une telle colère soit réservée à Liberman, lui-même un résident d’implantation, souligne à quel point l’opposition puissante et véritablement idéologique aux implantations et à leurs objectifs est devenue marginalisée. Alors que le Parti travailliste sous Yitzhak Rabin et Ehud Barak était tour à tour partisan, ambivalent et hostile, et gouvernait parfois le pays, les travaillistes d’aujourd’hui existent à peine. Pendant ce temps, la principale opposition politique à Netanyahu, l’alliance Kakhol lavan de Benny Gantz, comprend des partisans des implantations et des membres plus pacifistes dont la seule cause commune est la destitution du Premier ministre et les maux qui lui sont imputés.
En effet, la principale opposition idéologique à la politique pro-implantations de Netanyahu, lors des élections de septembre, ne vient pas de la gauche ou du centre-gauche, mais du parti Droite Unie, présidée par Ayelet Shaked, encore plus favorable aux implantations.
Le changement politique n’est rien de moins qu’extraordinaire. Il y a à peine un quart de siècle, après tout, Rabin serrait prudemment la main de Yasser Arafat sur un accord de principe pour se retirer progressivement d’une grande partie de la Cisjordanie. En 2000, Barak proposait de céder environ 90 % du territoire, ce qui impliquait le déracinement de la plupart des implantations. Il y a seulement dix ans, Ehud Olmert était prêt à se retirer de la quasi-totalité de la Cisjordanie, avec un échange de terres contre terres.
Aujourd’hui, les dirigeants des implantations, plutôt que de se battre contre les gouvernements qui préconisent le retrait, sont divisés sur la question de savoir s’ils doivent exiger la souveraineté d’Israël sur 10, 60 ou 100 % du territoire.
Dilmoni et ses collègues sont manifestement optimistes, convaincus que leur stratégie de « planification de la permanence » porte ses fruits, et à juste titre : Les sondages montrent que l’opinion publique israélienne est divisée et incertaine quant au sort de la Cisjordanie, mais certains vont clairement dans leur direction, non seulement avec empathie, mais littéralement : « Nous avons connu une croissance de 3 % dans les implantations l’an dernier, avec une moyenne de 4,2 % au cours de la dernière décennie – et c’est plus du double de la moyenne nationale », a-t-il dit, après avoir relevé une liste de statistiques clés. Les 450 000-470 000 résidents d’implantations sont variés – un tiers ultra-orthodoxe, un tiers orthodoxe moderne et un tiers laïc, dit-il. Il s’agit d’une population très jeune – 48 % ont moins de 18 ans ; 53 % ont le droit de vote, comparativement à 72 % à l’échelle nationale. « Les salles de classe débordent. Les taux de natalité sont élevés. La demande pour venir s’installer ici est énorme », et pas seulement pour les implantations proches des lignes datant d’avant 1967.
« Pourquoi pas ? » demanda-t-il rhétoriquement. « C’est abordable, il y a de l’air pur, de bonnes écoles, nous sommes près de Jérusalem et de Tel Aviv. C’est bien si les gens viennent par idéologie, mais c’est bien aussi s’ils viennent pour des raisons économiques. »
***
En dehors de Shiloh, la sculpture « Pigeonnier » d’Igael Tumarkin a été récemment rafraîchie et peinte – un acte de renouvellement quelque peu ironique qui reflète le sentiment de confiance et de permanence des habitants locaux. Loin d’une présence intrusive et réprobatrice, c’est quelque chose que les résidents aiment regarder lorsqu’ils passent.
C’est la preuve de votre victoire, ai-je suggéré à Dilmoni. Il a souri et a partiellement opiné. « Je ne veux pas me vanter d’avoir gagné », a-t-il dit à voix basse. « D’autres diraient qu’il semble que nous sommes en train de gagner. »
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