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La « cour suprême » de Meta doit décider si les utilisateurs peuvent écrire que « tous les Israéliens sont des criminels »

L'organisme indépendant pour Facebook, Instagram et Threads demande l'avis du public alors qu'il examine des messages récents accusés d'utiliser un discours de haine contre des nationalités entières

Des étudiants rassemblés près d'une décoration d'Halloween représentant le monstre de Frankenstein lors d'un "Walkout pour lutter contre le génocide et libérer la Palestine" sur la Bruin Plaza de l'Université de Californie, à Los Angeles, le 25 octobre 2023. (Crédit : Frederic J. Brown/AFP)
Des étudiants rassemblés près d'une décoration d'Halloween représentant le monstre de Frankenstein lors d'un "Walkout pour lutter contre le génocide et libérer la Palestine" sur la Bruin Plaza de l'Université de Californie, à Los Angeles, le 25 octobre 2023. (Crédit : Frederic J. Brown/AFP)

Les publications accusant de crimes des communautés nationales entières s’apparentent-elles à des violations des règles de Meta sur les propos haineux? C’est la question à laquelle le conseil de surveillance du groupe (Facebook, Instagram, WhatsApp) a annoncé s’intéresser mardi.

Cet organisme de Meta, surnommé « cour suprême », a déclaré se pencher sur le sujet à travers trois cas différents mais au thème commun venant de ses plateformes Facebook, Instagram, et Threads.

« Le conseil a choisi ces affaires pour examiner si Meta devait effectuer de la modération au sujet de ces allégations en matière de criminalité fondées sur la nationalité, en particulier en temps de crise ou de conflit », a déclaré l’instance dans un email à l’AFP.

Dans chacune des affaires, Meta avait supprimé la publication pour violation de son interdiction des propos haineux.

L’une des publications en question concerne un commentaire sur Threads dans lequel les Israéliens étaient accusés de prendre part à un génocide dans le cadre du conflit entre Israël et le Hamas, selon le conseil.

Les deux autres publications concernent les Américains, les Indiens de l’Est et les Russes, tous accusés de comportement criminel, a indiqué l’instance dans un communiqué.

Le groupe Meta avait fait remonter ces publications pour examen par le conseil en raison du dilemme posé, entre le fait d’interdire les accusations envers des groupes de personnes et le fait d’autoriser les attaques contre des idées ou des institutions – ce que Meta permet -, d’après la « cour suprême » de l’entreprise.

Si Meta a accepté le caractère contraignant de certaines décisions de ce conseil de surveillance indépendant, le géant de la tech considère les recommandations ayant trait à ses règles comme non contraignantes.

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