Israël en guerre - Jour 643

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Le preneur d’otages de la synagogue du Texas était britannique

Les quatre otages sont sains et saufs. Leur ravisseur, qui demandait la libération d’une Pakistanaise condamnée pour terrorisme, est mort pendant l’assaut donné par la police

Un agent des forces de l'ordre traverse une intersection près de la synagogue Congregation Beth Israel, le 15 janvier 2022 à Colleyville, Texas. (Crédit : Brandon Bell/Getty Images/AFP)
Un agent des forces de l'ordre traverse une intersection près de la synagogue Congregation Beth Israel, le 15 janvier 2022 à Colleyville, Texas. (Crédit : Brandon Bell/Getty Images/AFP)

Un porte-parole du ministère britannique des Affaires étrangères, du Commonwealth et du Développement a confirmé dimanche que le preneur d’otages de la synagogue du Texas était un citoyen britannique.

Réagissant aux informations de certains médias selon lequel il était britannique, le ministère britannique des Affaires étrangères a répondu: « Nous avons connaissance de la mort d’un homme britannique au Texas et nous sommes en contact avec les autorités locales ».

Le ravisseur, qui n’a pas été nommé, est mort lors de l’assaut donné par la police.

On ne sait toujours pas s’il a été tué par les forces de l’ordre ou s’il s’est suicidé.

Charlie Cytron-Walker (Crédit : Beth Israel)

Un agent spécial du FBI, la police fédérale américaine, à Dallas, Matt DeSarno, a déclaré que les otages – parmi lesquels un rabbin local respecté, Charlie Cytron-Walker – n’avaient pas eu besoin de soins médicaux. « Il ne leur a pas fait de mal », a-t-il dit.

La voix d’un homme par moments agité pouvait être entendue sur la retransmission de l’office religieux en direct sur Facebook, consultée par l’AFP avant son interruption.

« Il y a quelque chose qui ne va pas avec l’Amérique », avait notamment lancé cet homme.

« Je vais mourir », avait-il aussi dit, demandant à plusieurs reprises à un interlocuteur non identifié que « sa soeur » lui soit passée au téléphone.

Le suspect, selon ABC News, réclamait la libération d’Aafia Siddiqui, une scientifique pakistanaise condamnée en 2010 par un tribunal fédéral de New York à 86 ans de prison pour avoir tenté de tirer sur des militaires américains alors qu’elle était détenue en Afghanistan.

DOSSIER – Dans cette photo d’archive du 17 juillet 2008, Aafia Siddiqui, Lady Al-Qaida, est vue sous la garde du département de lutte contre le terrorisme de la province de Ghazni dans la ville de Ghazni, en Afghanistan. (Crédit : AP Photo/Fichier)

La prise d’otages est survenue dans la synagogue de la congrégation Beth Israël à Colleyville, ville d’environ 23 000 habitants à une quarantaine de km de Dallas.

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