Israël en guerre - Jour 532

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Selon les services du procureur de la CPI, l’enquête palestinienne se poursuit dans l’urgence

Le procureur général de la Cour pénale internationale, Karim Khan, assiste à une réunion du Conseil de sécurité des Nations Unies au siège des Nations Unies, à New York, le 27 janvier 2025. (Crédit : Michael M. Santiago / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / Getty Images via AFP)
Le procureur général de la Cour pénale internationale, Karim Khan, assiste à une réunion du Conseil de sécurité des Nations Unies au siège des Nations Unies, à New York, le 27 janvier 2025. (Crédit : Michael M. Santiago / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / Getty Images via AFP)

La Cour pénale internationale (CPI) poursuit en urgence son enquête sur les crimes commis dans les territoires palestiniens ou par des Palestiniens, ont fait savoir les services du procureur, malgré le retrait d’un mandat d’arrêt contre un dirigeant du Hamas.

La Cour pénale internationale a déclaré hier que les juges avaient retiré leur mandat d’arrêt à l’encontre d’Ibrahim al-Masri, également connu sous le nom de Mohammed Deif, à la suite d’informations crédibles faisant état de sa mort. Deif était recherché pour des atrocités commises lors de l’attaque du Hamas, en octobre 2023, contre les communautés du sud d’Israël qui a déclenché la guerre à Gaza. Il était accusé par les procureurs de massacres, viols et prises d’otages.

Il a été éliminé dans une frappe aérienne israélienne l’année dernière, mais le Hamas n’a confirmé sa mort qu’à la fin du mois de janvier.

Les services du procureur ont affirmé que l’enquête se poursuivait et qu’il n’hésiterait pas à demander l’émission de mandats d’arrêt à l’encontre d’autres suspects « si et quand il estimait atteint le seuil d’une perspective réaliste de condamnation ».

« Face à cette priorité urgente, le service mène une enquête active et fait avancer l’enquête grâces à des pistes diverses et interconnectées », a-t-on appris.

En novembre dernier, les juges de la CPI avaient émis des mandats d’arrêt à l’encontre du Premier ministre Benjamin Netanyahu et de son ex-chef de la Défense, Yoav Gallant, pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité lors de la guerre à Gaza. Israël et les États-Unis se sont érigés contre ces accusations et ont reproché à la Cour d’avoir pris cette décision.

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