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Pompeo rejette la critique « stupide » des 106 démocrates sur les implantations

Les législateurs ont affirmé que la nouvelle politique concernant les implantations violait le droit international

Le secrétaire d'État américain Michael Pompeo lors d'une conférence de presse avec le Premier ministre Benjamin Netanyahu à Jérusalem, le 20 mars 2019. (Noam Revkin Fenton/Flash90)
Le secrétaire d'État américain Michael Pompeo lors d'une conférence de presse avec le Premier ministre Benjamin Netanyahu à Jérusalem, le 20 mars 2019. (Noam Revkin Fenton/Flash90)

Le secrétaire d’Etat américain Mike Pompeo a fustigé 106 élus démocrates qui lui ont écrit pour critiquer la récente déclaration de l’administration Trump concernant le statut juridique des implantations de Cisjordanie.

Dans une lettre adressée aux membres du Congrès publiée dans le Jerusalem Post, Pompeo a qualifié leurs craintes de « stupides » et accusé l’ancien président Barack Obama d’avoir trahi l’Etat hébreu.

Le mois dernier, des élus ont écrit à Pompeo pour faire valoir que l’annonce, qui faisait suite à la décision de la Maison Blanche de déplacer l’ambassade des États-Unis à Jérusalem, de reconnaître la souveraineté israélienne sur le plateau du Golan et de fermer la mission palestinienne à Washington, avait « gravement compromis les perspectives de paix et compromis la sécurité des États-Unis, d’Israël et du peuple palestinien ».

Les législateurs ont également affirmé que la nouvelle politique concernant les implantations violait le droit international.

Dans sa réponse, Pompeo a déclaré que le département d’État « n’avait pas renversé une politique, mais plutôt une décision juridique du secrétaire d’Etat [John] Kerry, qui, selon lui, avait été prise « dans une tentative ratée de justifier la trahison d’Israël par l’administration Obama » en permettant l’adoption d’une résolution du Conseil de sécurité de l’ONU condamnant les implantations israéliennes.

« Bien que vous soyez libre de considérer les implantations comme un obstacle à la paix, vous avez tout simplement tort de dire qu’elles sont soumises à un accord bipartite », a-t-il écrit.

Selon Pompeo, la résolution et les remarques auto-justifiantes du secrétaire Kerry ont imposé à l’administration Trump un handicap, en injectant à tort dans le conflit un élément juridique incorrect et largement non pertinent qui avait amené les Palestiniens à renforcer leurs positions.

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