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Une place à Paris en hommage à Ady et Gilberte Steg, résistants et militants de la mémoire

Résistants durant la Seconde Guerre mondiale, ils ont consacré leur vie à la médecine, à la transmission de la mémoire et à la défense des valeurs républicaines

le professeur de médecine et chirurgien Ady Steg (G) prononce un discours après avoir été décoré des insignes de grand officier de la Légion d'honneur par le Président de la République le 26 février 2001 au Palais de l'Elysée à Paris. AFP PHOTO GEORGES GOBET (crédit : Georges GOBET / AFP)
le professeur de médecine et chirurgien Ady Steg (G) prononce un discours après avoir été décoré des insignes de grand officier de la Légion d'honneur par le Président de la République le 26 février 2001 au Palais de l'Elysée à Paris. AFP PHOTO GEORGES GOBET (crédit : Georges GOBET / AFP)

Le 17 mars dernier, une place en l’honneur d’Ady et Gilberte Steg a été inaugurée dans le 12ᵉ arrondissement de Paris. Résistants pendant la guerre au sein des Forces françaises libres et des Éclaireurs et Éclaireuses israélites de France, ils ont terminé leurs études de médecine à la Libération pour se mettre au service des autres.

Ady Steg a également occupé de nombreuses fonctions dans la communauté juive, notamment celle de président du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) de 1970 à 1974.

Après la guerre, Ady et Gilberte Steg sont devenus des militants infatigables de la mémoire : « Nous toutes et tous devons prendre le relais », écrit la mairie du 12ᵉ arrondissement de Paris, qui souhaite leur rendre hommage.

« Ces femmes et ces hommes, parfois nés étrangers, se sont battus pour la liberté, pour la France et pour leur peuple. Nous rappelons encore et toujours que nous ne cesserons jamais de nous battre contre l’antisémitisme et tous les racismes, comme l’ont fait Ady et Gilberte
Steg. »

Invité à prendre la parole, Philippe-Gabriel Steg, fils d’Ady et Gilberte Steg, explique l’attachement de ses parents à la France, dans la tradition du judaïsme français, en citant son père : « Fidèle à son judaïsme, il se sentait profondément français et disait : ‘La France est ma demeure culturelle, le judaïsme ma demeure spirituelle’. »

La place est située à l’intersection du boulevard Diderot et des rues de Charenton et Beccari à 200 mètres de la maison d’enfance d’Ady Steg.

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