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Début de la vaccination contre les Israéliens âgés de 40 ans et plus

Le ministre de la Santé demande aux caisses médicales d'administrer 250 000 injections par jour ; le ministère recommande la vaccination aux femmes enceintes et allaitantes

Une femme se fait vacciner contre le coronavirus dans un centre de vaccination de la ville côtière de Herzliya, le 16 janvier 2021. (Crédit :  Gili Yaari /Flash90)
Une femme se fait vacciner contre le coronavirus dans un centre de vaccination de la ville côtière de Herzliya, le 16 janvier 2021. (Crédit : Gili Yaari /Flash90)

Tous les Israéliens de 40 ans et plus peuvent dorénavant se faire vacciner, a fait savoir le ministère de la Santé dans la journée de mardi, alors que la campagne massive d’immunisation s’accélère encore dans l’espoir de venir à bout d’un nombre sans précédent d’infections au coronavirus dans le pays.

Après la révélation d’informations affirmant que les caisses d’assurance-maladie de la Clalit et Maccabi élargissaient leurs procédures de vaccination en y incluant les Israéliens âgés de 40 ans et plus, le ministère a expliqué avoir donné son approbation en ce sens aux quatre caisses de santé.

Plus de 80 % des Israéliens âgés de plus de 70 ans ont reçu au moins la première dose du vaccin. C’est le cas aussi de 68 % des citoyens âgés de 60 à 69 ans, de 50 % des citoyens âgés de 50 à 59 ans et de 28 % des Israéliens de 40 à 49 ans.

Au total, 2 185 289 personnes se sont fait injecter la première dose et
423 123 ont reçu les deux, selon le ministère de la Santé.

Yuli Edelstein, ministre de la Santé, a ordonné aux caisses d’assurance-maladie d’administrer jusqu’à 250 000 doses quotidiennes de vaccin au cours des prochains jours, a annoncé le ministère.

Il a aussi publié un communiqué émis par la Société israélienne d’obstétrique et de gynécologie, qui recommande que les femmes enceintes et allaitantes souhaitant se faire vacciner puissent l’être – en particulier si elles présentent des facteurs de risque face à la COVID-19 et après consultation avec leurs médecins. Le communiqué a noté que la « seule raison » pour laquelle le vaccin n’avait pas été explicitement recommandé aux femmes enceintes était que ces dernières avaient été exclues des essais cliniques menés par les firmes.

Ce communiqué a été rendu public alors que plusieurs femmes enceintes ont développé une forme grave de la COVID-19 au sein de l’Etat juif.

Des employés du centre médical Ziv, dans la ville de Safed, au nord du pays, transportent un nouveau patient dans le service coronavirus, le 7 janvier 2020. (David Cohen/Flash90)

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