Face aux critiques, Maoz dénonce « une campagne sauvage de la gauche »
"Ce n'est rien de moins qu'une rébellion, une tentative visant à empêcher un Premier ministre de rassembler le seul gouvernement élu légitime au lendemain du scrutin", a-t-il dit
Carrie Keller-Lynn est la correspondante politique et juridique du Times of Israël.
Répondant à un torrent de critiques contre sa nomination promise à la tête d’un bureau en charge de l’identité juive, Avi Maoz, le chef du parti anti-LGBT et misogyne Noam, a indiqué que les attaques lancées à son encontre étaient issues d’une campagne politique menée par une minorité amère.
Prenant la parole lors d’une réunion de faction – dont il est le seul représentant à la Knesset – Maoz a évoqué « une campagne sauvage menée par la gauche, dirigée par Yair Lapid et par les médias, contre le Premier ministre élu et contre sa tentative visant à former un gouvernement ».
« C’est une campagne menée par la minorité perdante aux élections – contre la majorité du peuple qui a fait savoir de manière décisive ce qu’il voulait dans les urnes », a-t-il continué.
« Ce n’est rien de moins qu’une rébellion, une tentative d’empêcher un Premier ministre de rassembler le seul gouvernement élu légitime au lendemain du scrutin », a continué Maoz.