Israël en guerre - Jour 594

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Huckabee : La lutte d’Israël contre ses ennemis est une « bataille entre le Bien et le Mal »

Pour l'envoyé américain, Israël est "une terre élue pour un peuple élu" ; il a salué Donald Trump pour avoir renversé les "politiques ridicules" de Joe Biden et affirme que sa priorité est la libération des otages

L'ambassadeur américain en Israël, Mike Huckabee, s'exprimant lors de la conférence du Jewish News Syndicate, à Jérusalem, le 28 avril 2025. (Crédit : Chaïm Goldberg/Flash90)
L'ambassadeur américain en Israël, Mike Huckabee, s'exprimant lors de la conférence du Jewish News Syndicate, à Jérusalem, le 28 avril 2025. (Crédit : Chaïm Goldberg/Flash90)

Dans un discours au ton explicitement eschatologique, l’ambassadeur américain en Israël, Mike Huckabee, a déclaré lundi qu’Israël est « une terre élue pour un peuple élu » et que la lutte de l’État hébreu contre ses ennemis est une « bataille entre le ciel et l’enfer, entre le bien et le mal, entre la lumière et les ténèbres ».

Lors d’une conférence organisée par le Jewish News Syndicate à Jérusalem, l’ancien gouverneur de l’Arkansas a salué le président américain Donald Trump pour avoir « renversé bon nombre des politiques ridicules de l’administration précédente ».

L’une de ces politiques, selon Huckabee, consistait à « ne pas donner à Israël les outils nécessaires pour mener une guerre contre les pires sauvages que nous ayons jamais connus, non seulement au cours de notre siècle, mais peut-être même dans toute l’Histoire de l’humanité », faisant vraisemblablement référence au groupe terroriste palestinien du Hamas.

« Je suis convaincu aujourd’hui que le monde a besoin d’une véritable dose de compréhension de ce à quoi sont confrontés ceux qui vivent dans cette région, la plus disputée de toute la planète », a déclaré Huckabee, ajoutant qu’Israël est engagé dans un conflit contre « des gens maléfiques ».

« Il ne s’agit pas d’une lutte géopolitique. La gauche contre la droite, les libéraux contre les conservateurs. Il s’agit d’une bataille verticale entre le ciel et l’enfer, entre le bien et le mal, entre la lumière et les ténèbres », a-t-il poursuivi.

« Et l’une des raisons pour lesquelles je suis si reconnaissant envers Dieu d’être ici, c’est pour m’assurer que les gens comprennent non seulement ici, en Israël, mais partout dans le monde, que les États-Unis d’Amérique et le président Trump défendent le bien et non le mal. »

Interrogé sur ses principaux objectifs, Huckabee a répondu : « La première chose à faire est de ramener les otages chez eux. »

Les groupes terroristes palestiniens de la bande de Gaza détiennent 24 otages présumés vivants ainsi que les corps de 35 autres personnes, dont l’armée israélienne a confirmé le décès. Parmi eux se trouve le corps d’un soldat tué en 2014 ; les autres ont été enlevés en Israël lors du pogrom perpétré par le groupe terroriste palestinien du Hamas le 7 octobre 2023, qui a déclenché la guerre actuelle.

« Rendons-leur leur liberté dès maintenant, jusqu’au dernier », a déclaré l’envoyé américain, ajoutant que les Américains devaient comprendre que « les États-Unis tiraient un grand bénéfice de leurs relations avec Israël », un État qui est « une terre élue pour un peuple élu, dans un dessein précis ».

« Et je ne dis pas cela parce que je suis Juif, je le dis parce que c’est vrai », a affirmé Huckabee, qui est un chrétien évangélique.

« Je me rends compte que beaucoup de gens ne veulent pas s’intéresser à l’aspect spirituel des choses et préfèrent simplement l’écarter. Mais, mes amis, il n’y a pas d’autre explication à l’existence des États-Unis d’Amérique que l’intervention d’un Dieu qui a pris le parti de ces incroyables colons qui pensaient sincèrement qu’il valait mieux mourir que de vivre en esclaves sous le joug d’une tyrannie. »

Abordant la question de Jérusalem, Huckabee a déclaré que cette terre avait été donnée aux ancêtres bibliques il y a des milliers d’années et que « s’il y a jamais eu un moment où la ville de Jérusalem devait être absolument reconnue comme la capitale incontestable et indivisible du peuple juif, c’est bien maintenant ».

« Et je suis heureux que Donald Trump, le président, l’ait admis et reconnu », a-t-il ajouté, faisant référence à la décision de Trump en 2017 de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël, qui a mis fin à des décennies de politique internationale, et au transfert subséquent de l’ambassade américaine de Tel Aviv à Jérusalem.

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