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La majorité des forces liées à l’Iran ont fui la Syrie après la chute d’Assad, dit le WSJ

Des milliers de combattants iraniens et de membres de groupes soutenus par l'Iran étaient présents dans toute la Syrie lorsqu'une offensive rebelle avait renversé le régime d'Assad

Un drapeau iranien posé sur le sol devant l'ambassade de la République islamique à Damas le 9 décembre 2024. (Crédit : LOUAI BESHARA / AFP)
Un drapeau iranien posé sur le sol devant l'ambassade de la République islamique à Damas le 9 décembre 2024. (Crédit : LOUAI BESHARA / AFP)

La majorité des forces iraniennes se sont retirées de Syrie au cours du mois dernier et divers groupes armés soutenus par Téhéran se sont dissous à la suite de la chute du régime d’Assad, selon le Wall Street Journal.

Pendant des années, l’Iran avait soutenu le président déchu Bachar el-Assad – tout en utilisant la Syrie comme un itinéraire terrestre déterminant lui permettant de faire passer des armes au groupe terroriste Hezbollah au Liban. Ainsi, des milliers de combattants iraniens et de membres de groupes soutenus par l’Iran étaient présents dans toute la Syrie lorsqu’une offensive rebelle avait renversé le régime d’Assad, qui tenait la Syrie d’une main de fer depuis plusieurs décennies, au mois de décembre.

Au moment de la victoire remportée par les rebelles sur Assad, les combattants du Corps des gardiens de la révolution islamique d’Iran étaient principalement stationnés dans l’est de la Syrie, a signalé le WSJ qui a cité des responsables occidentaux et arabes. Des milices irakiennes, libanaises, afghanes et syriennes étaient déployées à leurs côtés.

La majorité de ceux qui étaient stationnés dans l’est de la Syrie ont depuis traversé la frontière pour se réfugier à Al-Qaïm en Irak, a noté le journal, tandis que les forces du Corps des gardiens de la révolution islamique qui étaient stationnées à Alep sont rentrées à Téhéran. Il a ajouté que les troupes du Hezbollah qui étaient stationnées dans l’ouest de la Syrie sont retournées au Liban, par la route.

Le WSJ a indiqué que l’ambassade d’Irak à Washington et le ministère irakien des Affaires étrangères n’avaient pas répondu à une demande de réaction au moment de la rédaction de l’article et que la mission iranienne auprès de l’ONU n’a pas souhaité commenter le retrait de ses forces.

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