Israël en guerre - Jour 431

Rechercher

Marine Le Pen juge le « prix lourd à payer » pour la libération des otages du Hamas

La présidente du groupe RN craint que les 4 jours de trêve ne permette au groupe terroriste de "se réorganiser pour pouvoir potentiellement demain commettre à nouveau des exactions"

Marine Le Pen, candidate du Rassemblement national (RN) à l'élection présidentielle française de 2022, lors d'une conférence de presse sur la présidence française de l'Union européenne, à Paris, le 18 janvier 2022. (Crédit : STEPHANE DE SAKUTIN / AFP
Marine Le Pen, candidate du Rassemblement national (RN) à l'élection présidentielle française de 2022, lors d'une conférence de presse sur la présidence française de l'Union européenne, à Paris, le 18 janvier 2022. (Crédit : STEPHANE DE SAKUTIN / AFP

Marine Le Pen a jugé jeudi que la libération des otages se faisait à un « prix lourd » pour Israël, du point de vue « militaire », et a regretté que la trêve humanitaire négociée en échange avec le groupe terroriste du Hamas permette à se dernier de « se réorganiser ».

« La libération des otages est évidemment un souhait de chacun. Mais le prix qui doit être payé pour la libération de ces otages est un prix qui est lourd », a déclaré la présidente du groupe RN à l’Assemblée nationale au micro de France inter, à propos de l’accord négocié sous l’égide du Qatar entre Israël et l’organisation islamiste qui prévoit notamment une trêve de quatre jours.

« Derrière cet aspect humanitaire qui est toujours mis en avant, il y a un aspect militaire », a analysé Mme Le Pen, pour qui « c’est aussi quatre jours pour le Hamas pour pouvoir se réorganiser et pour pouvoir potentiellement demain commettre à nouveau des exactions ».

Interrogée sur la position d’Emmanuel Macron qui a interpellé le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu sur les trop nombreuses pertes civiles palestiniennes à Gaza et en Cisjordanie, Marine Le Pen a critiqué « cette leçon de morale en même temps facile et un peu déplacée ».

« Le Hamas se sert de la population civile comme boucliers humains », a-t-elle argumenté. « Ils mettent leurs QG dans des hôpitaux, dans des écoles, précisément pour que les attaques qui sont faites contre eux fassent des pertes civiles », a-t-elle ajouté.

La responsable d’extrême-droite s’est également « étonnée » de l’absence d’hommage national « depuis 45 jours » pour les Français morts le 7 octobre dans les massacres du Hamas. Le président Macron a assuré le 13 novembre qu’un tel hommage serait rendu dès que « leur nombre et leur identité seront établis avec certitude ».

En savoir plus sur :
S'inscrire ou se connecter
Veuillez utiliser le format suivant : example@domain.com
Se connecter avec
En vous inscrivant, vous acceptez les conditions d'utilisation
S'inscrire pour continuer
Se connecter avec
Se connecter pour continuer
S'inscrire ou se connecter
Se connecter avec
check your email
Consultez vos mails
Nous vous avons envoyé un email à gal@rgbmedia.org.
Il contient un lien qui vous permettra de vous connecter.
image
Inscrivez-vous gratuitement
et continuez votre lecture
L'inscription vous permet également de commenter les articles et nous aide à améliorer votre expérience. Cela ne prend que quelques secondes.
Déjà inscrit ? Entrez votre email pour vous connecter.
Veuillez utiliser le format suivant : example@domain.com
SE CONNECTER AVEC
En vous inscrivant, vous acceptez les conditions d'utilisation. Une fois inscrit, vous recevrez gratuitement notre Une du Jour.
Register to continue
SE CONNECTER AVEC
Log in to continue
Connectez-vous ou inscrivez-vous
SE CONNECTER AVEC
check your email
Consultez vos mails
Nous vous avons envoyé un e-mail à .
Il contient un lien qui vous permettra de vous connecter.