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Le nouveau dirigeant syrien estime que Trump « apportera la paix au Moyen-Orient »

Ahmed al-Sharaa demande aux États-Unis de faire pression sur Israël pour qu'il se retire de la zone tampon du Golan

Le chef de Hayat Tahrir al-Sham (HTS), Ahmed al-Sharaa (également connu sous le nom d'Abu Mohammad al-Jolani), arrivant pour une réunion avec des responsables druzes du Parti socialiste progressiste (PSP) du Liban en visite, à Damas, le 22 décembre 2024. (Crédit : AFP)
Le chef de Hayat Tahrir al-Sham (HTS), Ahmed al-Sharaa (également connu sous le nom d'Abu Mohammad al-Jolani), arrivant pour une réunion avec des responsables druzes du Parti socialiste progressiste (PSP) du Liban en visite, à Damas, le 22 décembre 2024. (Crédit : AFP)

Le nouveau pouvoir en Syrie a félicité le président américain Donald Trump après son investiture lundi, voyant en lui « le dirigeant qui apportera la paix au Moyen-Orient ».

« Je félicite M. Donald J. Trump », a écrit dans un communiqué le dirigeant syrien Ahmad al-Sharaa, estimant que son élection « témoigne de la confiance accordée par le peuple américain à son leadership ».

« Nous sommes convaincus qu’il sera le dirigeant qui amènera la paix au Moyen-Orient et rétablira la stabilité dans la région », a-t-il ajouté.

« Nous sommes impatients d’améliorer les relations entre nos deux pays basées sur le dialogue et la compréhension », a poursuivi Al-Sharaa, en appelant de ses vœux « un partenariat qui reflète les aspirations des deux nations ».

Depuis son arrivée au pouvoir, le nouveau gouvernement syrien fait pression pour que les sanctions imposées par les pays occidentaux au régime d’Assad soient levées. Mais certains pays hésitent, et souhaitent attendre de voir comment les nouvelles autorités se comporteront en matière de droits humains.

Une coalition de rebelles menée par le groupe islamiste radical sunnite Hayat Tahrir al-Sham (HTS), dont Ahmed al-Sharaa est le chef, a renversé en décembre le président syrien Bashar el-Assad lors d’une offensive éclair après 13 ans de guerre civile.

Environ 2 000 militaires américains, selon le Pentagone, sont déployés dans le nord de la Syrie au sein d’une coalition internationale contre les jihadistes.

Les États-Unis soutiennent par ailleurs les Forces démocratiques syriennes (FDS), un groupe dirigé par les Kurdes. La Turquie, qui considère les FDS comme une organisation terroriste, espère que la nouvelle administration Trump mettra fin à ce soutien et retirera les troupes américaines de Syrie.

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