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Les filiales Bezeq durciront le ton à l’égard des employés non-vaccinés – média

Selon un reportage télévisé, après Pessah, les travailleurs seront renvoyés chez eux, sans paie ; les bureaux ne seront accessibles qu'aux vaccinés ou porteurs de test négatif

Des ouvriers de Bezeq installant des câbles de fibre optique. (Crédit : Autorisation)
Des ouvriers de Bezeq installant des câbles de fibre optique. (Crédit : Autorisation)

Plusieurs filiales du géant des télécommunications Bezeq ont informé les employés qu’ils seraient renvoyés chez eux sans être payés s’ils ne se font pas vacciner ou s’ils ne présentent pas, le cas échéant, des tests négatifs au coronavirus à l’entrée des bureaux, a indiqué lundi le bulletin d’information de la Treizième chaîne de télévision israélienne.

Les firmes ont récemment fait savoir aux employés qu’ils ne seraient plus autorisés à entrer dans les bureaux au lendemain de Pessah s’ils ne sont pas en possession d’un « Badge vert » qui atteste que son détenteur a été vacciné ou a guéri de la COVID-19, selon la Treizième chaîne.

Les entreprises auraient également fait savoir qu’elles limiteraient bientôt les options de télétravail.

Parmi les filiales qui ont dit qu’elles se soumettraient aux exigences du « Badge vert » ou de la présentation obligatoire d’un test négatif pour accéder dans les locaux, le fournisseur internet Bezeq International, le fournisseur de télévision par satellite Yes et l’opérateur de téléphonie mobile Pelephone.

« Un employé engagé pour travailler dans l’une des structures de l’entreprise et qui ne présente pas un ‘Badge vert’ ou un résultat de test négatif n’aura pas de proposition alternative de télétravail. Dans ce cas de figure, l’employé prendra un jour de congé et à ses propres frais », dit un courrier qui aurait été envoyé par Pelephone aux membres du personnel, selon la chaîne.

Un satellite de télévision Yes. (Moshe Shai/Flash90)

Cette mise en garde présumée aurait été émise le lendemain d’un jugement rendu par un tribunal des prud’hommes qui a estimé qu’une école pouvait empêcher l’entrée d’employés non-vaccinés refusant de passer des tests de dépistage réguliers à la COVID-19, déterminant que la sécurité des enfants prenait le pas sur les droits du personnel.

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