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Des élections pourraient prendre jusqu’à 4 ans, selon le nouveau dirigeant syrien

Ahmed al-Sharaa a par ailleurs annoncé que son groupe islamiste radical , Hayat Tahrir al-Sham, sera dissous lors d'une conférence consacrée au dialogue national

Le dirigeant de facto de la Syrie, Ahmad al-Sharaa, anciennement connu sous le nom d'Abu Mohammed al-Jolani, dans le palais présidentiel de Damas, le 28 décembre 2024. (Crédit : Mosaab Elshamy/AP)
Le dirigeant de facto de la Syrie, Ahmad al-Sharaa, anciennement connu sous le nom d'Abu Mohammed al-Jolani, dans le palais présidentiel de Damas, le 28 décembre 2024. (Crédit : Mosaab Elshamy/AP)

La tenue d’élections en Syrie pourrait prendre jusqu’à quatre ans, a fait savoir le nouveau dirigeant de facto de la Syrie, Ahmed al-Sharaa, au cours d’un entretien accordé Al Arabiya. C’était la première fois qu’il s’exprimait sur un éventuel calendrier électoral depuis la chute du dictateur syrien Bashar el-Assad, qui a eu lieu au mois de décembre.

Ainsi, la rédaction d’une nouvelle constitution pourrait prendre jusqu’à trois ans, a expliqué Sharaa dans des extraits de l’interview accordée à la chaîne publique saoudienne. Il a ajouté qu’il faudra environ un an pour que les Syriens constatent des changements radicaux.

Sharaa est le chef du groupe islamiste radical Hayat Tahrir al-Sham (HTS), l’ex-branche d’Al-Qaïda en Syrie, le Front Al-Nosra, qui avait chassé Assad le 8 décembre, mettant fin à des décennies de règne de la dynastie Assad et à une guerre civile de treize ans.

Il a par ailleurs indiqué que HTS sera dissous lors d’une conférence consacrée au dialogue national.

Concernant les liens avec l’étranger, Sharaa a affirmé que la Syrie avait des intérêts stratégiques avec la Russie. La Russie possède des bases militaires en Syrie. Elle a été un proche allié d’Assad pendant la longue guerre civile et elle lui a accordé l’asile.

Sharaa avait déclaré, au début du mois, que les relations de la Syrie avec la Russie devraient servir des intérêts communs.

Le dirigeant a aussi dit espérer que l’administration du président américain élu Donald Trump lèvera les sanctions imposées à la Syrie. Des diplomates américains de premier plan qui se sont rendus à Damas, ce mois-ci, ont estimé que Sharaa semblait être pragmatique et que Washington avait décidé de supprimer une prime de 10 millions de dollars qui était placée sur sa tête.

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