Israël en guerre - Jour 527

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Gaza : le plan égyptien est « un premier pas de bonne foi », selon Witkoff

Tsahal confirme avoir mené une frappe par drone au nord de Gaza ; Les forces aériennes israéliennes et américaines effectuent un exercice conjoint avec un bombardier lourd ; "Il le fera" : Rubio conseille au Hamas de prendre les menaces de Trump très au sérieux

L'envoyé américain au Proche-Orient, Steve Witkoff, s'entretient avec la chaîne C-SPAN, le 12 février 2025. (Capture d'écran X / @HowardMortman)
L'envoyé américain au Proche-Orient, Steve Witkoff, s'entretient avec la chaîne C-SPAN, le 12 février 2025. (Capture d'écran X / @HowardMortman)

Pour son premier jour à la tête de Tsahal, Zamir va à la rencontre des soldats à Gaza

Le chef d’État-major de Tsahal, le Lt. Gén. Eyal Zamir, s’adresse aux soldats du bataillon Netzah Yehuda de la brigade Kfir, dans la bande de Gaza, le 6 mars 2025. (Armée israélienne)
Le chef d’État-major de Tsahal, le Lt. Gén. Eyal Zamir, s’adresse aux soldats du bataillon Netzah Yehuda de la brigade Kfir, dans la bande de Gaza, le 6 mars 2025. (Armée israélienne)

Aujourd’hui, pour sa première journée, le chef d’État-major de l’armée israélienne, le Lt. Gén. Eyal Zamir, est allé à la rencontre des soldats dans la bande de Gaza.

« Soyez toujours prêts, soyez toujours vigilants, méfiez-vous constamment, entrainez-vous constamment », a dit Zamir aux soldats du bataillon Netzah Yehuda de la brigade Kfir.

« En regardant derrière vous, vous verrez les maisons de Sderot. Vous protégez les civils de Sderot. Vous êtes notre ligne de défense », leur a-t-il dit.

Witkoff semble revenir sur l’opposition américaine au projet arabe de reconstruction de Gaza

Steve Witkoff, envoyé spécial de la Maison-Blanche pour le Moyen-Orient, s’entretient avec des journalistes aux côtés de la porte-parole de la Maison-Blanche, Karoline Leavitt, à Washington, le jeudi 6 mars 2025. (Crédit : Alex Brandon/AP)
Steve Witkoff, envoyé spécial de la Maison-Blanche pour le Moyen-Orient, s’entretient avec des journalistes aux côtés de la porte-parole de la Maison-Blanche, Karoline Leavitt, à Washington, le jeudi 6 mars 2025. (Crédit : Alex Brandon/AP)

L’envoyé spécial des États-Unis au Moyen-Orient, Steve Witkoff, a donné l’impression de revenir sur l’opposition de l’administration Trump au projet arabe pour la gestion de Gaza dans l’après-guerre.

Peu de temps après la présentation du projet par l’Égypte, mardi, le porte-parole du Conseil de sécurité de la Maison Blanche, Brian Hughes, avait publié une déclaration disant qu’il n’évoquait pas « le fait que Gaza soit pour l’heure inhabitable » et qu’en conséquence, le président américain Donald Trump maintenait son projet de prise de contrôle de Gaza.

Interrogé sur le projet arabe lors d’une conférence de presse devant la Maison Blanche, Witkoff a déclaré aux journalistes qu’il « y a beaucoup de points convaincants ».

« Nous avons besoin de davantage de pourparlers là-dessus, mais c’est un premier pas et un gage de bonne volonté de la part des Égyptiens », a-t-il ajouté.

« Le plus important, c’est que ce la prise de position du président Trump sur Gaza encourage d’autres personnes au Moyen-Orient à se montrer proactifs et proposer des projets », a ajouté Witkoff, laissant une nouvelle fois entendre que le projet de Trump de prise de contrôle de Gaza avait essentiellement vocation à pousser les alliés régionaux à proposer des alternatives.

Interrogé sur le projet arabe et le point de savoir si la reconstruction de Gaza pourrait se faire en présence des Palestiniens, Witkoff a répondu : « Nous sommes en train d’examiner la situation là-bas. Il est un peu tôt pour se prononcer. » Un peu plus tôt, lors de cette prise de parole, Witkoff avait redit que la reconstruction de Gaza prendrait 10 à 15 ans et que la bande de Gaza serait inhabitable durant tout ce temps.

Le projet arabe envisage la mise en place d’un comité indépendant de technocrates à la tête de Gaza pendant une période de six mois avant de céder le contrôle de l’enclave à l’Autorité palestinienne. Il prévoit par ailleurs que les Palestiniens restent dans la bande de Gaza lors de sa reconstruction, contrairement à la proposition de Trump d’expulser la population dans son ensemble. Il propose enfin l’envoi de soldats du maintien de la paix à Gaza par le biais d’une résolution du Conseil de sécurité de l’ONU.

Le projet ne fait pas nommément mention du Hamas et dit que la question des groupes armés de Gaza sera examinée par le biais d’un processus politique ayant vocation à établir un État palestinien.

Pour autant, la Ligue arabe, dans sa déclaration d’approbation du projet égyptien, affirme que la sécurité de Gaza « reste une responsabilité exclusive des institutions palestiniennes légitimes, conformément au principe d’une loi et d’une arme légitime ».

Gaza : le plan égyptien est « un premier pas de bonne foi », selon Witkoff

L’émissaire américain pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff, a déclaré jeudi que le plan égyptien de reconstruction de la bande de Gaza était « un premier pas de bonne foi ».

« Il présente de nombreuses caractéristiques convaincantes. Nous devons en discuter davantage, mais c’est un premier pas de bonne foi de la part des Egyptiens », a déclaré M. Witkoff aux journalistes.

M. Witkoff s’est félicité du fait que Donald Trump avait réussi à « encourager d’autres personnes du Moyen-Orient à présenter des propositions proactives sur ce que nous pourrions envisager ».

L’émissaire américain a laissé entendre que les récentes menaces du président américain contre le Hamas pourraient se traduire par une action commune contre le groupe terroriste palestinien.

« Je pense qu’il y aura une action. Elle pourrait être menée conjointement avec les Israéliens », a-t-il affirmé.

« Ce n’est pas clair pour l’instant, mais je pense que le Hamas a la possibilité d’agir raisonnablement, de faire ce qu’il faut, puis de s’en aller. Il ne fera pas partie d’un gouvernement là-bas », a-t-il ajouté.

Witkoff rencontrera les Ukrainiens en Arabie saoudite pour discuter d’un « cadre » de paix

L’émissaire américain pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff, a déclaré jeudi qu’il rencontrerait une délégation ukrainienne la semaine prochaine en Arabie saoudite afin de discuter d’un cessez-le-feu avec la Russie.

« Nous sommes en train de discuter pour coordonner une réunion avec les Ukrainiens à Ryad, ou même éventuellement à Djeddah », a déclaré M. Witkoff aux journalistes, en ajoutant : « L’idée est de définir un cadre pour un accord de paix et un cessez-le-feu initial ».

Plus de 133 000 Syriens réfugiés en Turquie sont rentrés chez eux depuis la chute d’Assad

Plus de 133.000 Syriens réfugiés en Turquie sont rentrés dans leur pays en trois mois depuis la chute du régime de Bachar al-Assad, a annoncé jeudi le président turc Recep Tayyip Erdogan.

« Depuis le 8 décembre, plus de 133.000 Syriens sont rentrés volontairement dans leur pays. Comme la stabilité s’installe en Syrie, ce chiffre va augmenter. Nous ne forcerons personne, mais si nos frères et soeurs souhaitent rentrer, nous faciliterons ce voyage », a-t-il déclaré.

Près de 3 millions de Syriens ont cherché refuge en Turquie pendant la guerre civile syrienne.

Syrie : 16 membres des forces de sécurité tués par des partisans d’Assad

Seize membres des forces de sécurité ont été tués jeudi par des partisans de l’ex-dictateur Bachar al-Assad dans la région côtière de Lattaquié, dans le nord-ouest de la Syrie, selon un nouveau bilan de l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH).

Le nombre de morts « à la suite d’attaques et d’embuscades menées par des hommes armés fidèles à Assad dans la ville de Jableh et ses environs est passé à 16 », a déclaré l’OSDH qui avait précédemment fait état de sept morts.

Il s’agit « des attaques les plus violentes contre les nouvelles autorités depuis la chute d’Assad », a ajouté l’ONG.

Le service d’urgence « Bikur Rofeh » dit avoir été ciblé par une cyber-attaque

Le service médical d’urgence israélien « Bikur Rofeh » a été la cible d’une cyber-attaque dans la soirée, rapportent les médias israéliens.

Les rapports indiquent qu’il est trop tôt pour savoir si des informations sensibles ont été divulguées au cours de la cyber-attaque, mais les équipes de cyber-sécurité de Bikur Rofeh étudient cette possibilité.

Syrie : Londres lève ses sanctions contre 24 entités, dont la Banque centrale

Le Royaume-Uni a annoncé jeudi avoir levé des sanctions à l’encontre de 24 entités syriennes ou liées à la Syrie, dont la Banque centrale de ce pays, qui avaient été imposées sous le régime de Bachar al-Assad.

« Vingt-quatre entités ont été retirées de la liste et ne sont plus soumises à un gel des avoirs », indique le communiqué du département du Trésor.

Il s’agit principalement de sociétés des secteurs bancaire et pétrolier.

Le nouveau chef d’état-major, le général Zamir, rencontre les maires et les chefs des conseils locaux de la zone frontalière de Gaza

Le chef d'état-major de l'armée israélienne, le lieutenant-général Eyal Zamir, rencontrant les chefs des conseils régionaux de Shaar HaNegev, Sdot Negev, Eshkol et Hof Ashkelon ainsi que le maire de Sderot, à la mairie de Sderot, le 6 mars 2025. (Crédit : Armée israélienne)
Le chef d'état-major de l'armée israélienne, le lieutenant-général Eyal Zamir, rencontrant les chefs des conseils régionaux de Shaar HaNegev, Sdot Negev, Eshkol et Hof Ashkelon ainsi que le maire de Sderot, à la mairie de Sderot, le 6 mars 2025. (Crédit : Armée israélienne)

Le jour de sa prise de fonction, le chef d’état-major de l’armée israélienne, le lieutenant-général Eyal Zamir, a rencontré les maires et les dirigeants des conseils locaux de la zone frontalière de Gaza.

Zamir, aux côtés du chef sortant du Commandement du Sud, le général de division Yaron Finkelman, du nouveau chef, le général de division Yaniv Asor, et du chef du Commandement du Front intérieur, le général de division Rafi Milo, a rencontré les chefs des conseils régionaux de Shaar Haegev, Sdot Negev, Eshkol et Hof Ashkelon, ainsi que le maire de Sderot.

« Au cours de la réunion, le chef d’état-major s’est entretenu avec les chefs des autorités locales, les a remerciés pour leur importante coopération et a souligné l’engagement de Tsahal en faveur de la sécurité de la région, du rétablissement de la confiance, de l’élimination du [groupe terroriste palestinien du] Hamas et du retour des otages », rapporte l’armée.

Tsahal dit avoir détruit un atelier de fabrication de bombes et de drones à Tulkarem

Grenades et autres explosifs retrouvés par les troupes de Tsahal dans la ville de Tulkarem, en Cisjordanie, sur une image publiée le 6 mars 2025. (Armée israélienne)
Grenades et autres explosifs retrouvés par les troupes de Tsahal dans la ville de Tulkarem, en Cisjordanie, sur une image publiée le 6 mars 2025. (Armée israélienne)

Les troupes de Tsahal opérant dans la ville de Tulkarem, en Cisjordanie, ont localisé et détruit un laboratoire de fabrication de bombes et un autre site utilisé par des terroristes palestiniens pour construire des drones, selon l’armée.

Les troupes du bataillon Shimshon de la brigade Kfir ont trouvé le laboratoire d’explosifs et un dépôt adjacent, qui comprenait une centaine de bombes artisanales, huit mines de fortune et des systèmes de détonateurs, selon Tsahal.

Tsahal ajoute que les soldats ont également trouvé et démoli un laboratoire utilisé par des agents terroristes pour construire des drones, et plusieurs autres bâtiments « qui ont été utilisés comme infrastructure terroriste à Tulkarem. »

Tsahal confirme avoir mené une frappe par drone au nord de Gaza

L’armée israélienne confirme avoir mené une frappe par drone dans le nord de la bande de Gaza plus tôt dans la journée, affirmant qu’elle visait plusieurs suspects ayant été repérés en train de poser une bombe près des troupes.

Selon les médias palestiniens, cette frappe aurait fait un mort et plusieurs blessés.

La frappe a été signalée dans le quartier de Shejaiya, à l’est de la ville de Gaza.

Les forces aériennes israéliennes et américaines effectuent un exercice conjoint avec un bombardier lourd

Des avions de chasse F-15I et F-35I de l'armée de l'air israélienne volent aux côtés d'un bombardier américain B-52 lors d'un exercice le 5 mars 2025. (Armée israélienne)
Des avions de chasse F-15I et F-35I de l'armée de l'air israélienne volent aux côtés d'un bombardier américain B-52 lors d'un exercice le 5 mars 2025. (Armée israélienne)

L’armée de l’air israélienne a organisé un exercice conjoint avec l’armée de l’air américaine cette semaine, au cours duquel les pilotes « ont testé la coordination opérationnelle entre les deux armées pour améliorer leur capacité à faire face à diverses menaces régionales ».

L’exercice a impliqué des avions de chasse israéliens F-15I et F-35I volant aux côtés d’un bombardier américain B-52.

« L’exercice visait à maintenir et même renforcer la coopération déjà ancienne entre nos forces tout en améliorant la connectivité et en construisant des capacités intégrées pour une gamme étendue de scénarios », a déclaré l’armée israélienne.

Cet exercice pourrait être une préparation de l’armée israélienne à une éventuelle frappe conjointe avec les États-Unis contre l’Iran.

L’armée de l’air israélienne a déjà mené deux frappes contre l’Iran sans le soutien des États-Unis, mais elle aurait sans doute besoin des capacités lourdes des B-52 pour frapper efficacement les sites nucléaires souterrains lourdement fortifiés de l’Iran.

La police en état d’alerte maximale à Jérusalem avant les premières prières du vendredi de Ramadan

Des fidèles palestiniens font leur prière du soir, connue sous le nom de « Tarawih », dans l'enceinte de la mosquée Al-Aqsa, sur le mont du Temple à Jérusalem, le 28 février 2025, à la veille du mois de jeûne musulman du Ramadan. (Photo de AHMAD GHARABLI / AFP)
Des fidèles palestiniens font leur prière du soir, connue sous le nom de « Tarawih », dans l'enceinte de la mosquée Al-Aqsa, sur le mont du Temple à Jérusalem, le 28 février 2025, à la veille du mois de jeûne musulman du Ramadan. (Photo de AHMAD GHARABLI / AFP)

La police a annoncé le prochain déploiement de près de 3 000 policiers et agents de la police des frontières dans Jérusalem, demain, pour les premières prières du vendredi du Ramadan, à la mosquée Al-Aqsa, sur le mont du Temple.

Le porte-parole a indiqué que la police déploierait par ailleurs des renforts supplémentaires aux points de contrôle dans les environs de Jérusalem, à Jérusalem-Est et dans la Vieille Ville, officiellement pour empêcher « des éléments hostiles d’exploiter le ramadan à des fins d’incitation, de troubles, de terrorisme ou de toute autre forme de violence ».

Plusieurs voie de circulation proches de la Vieille Ville, comme les rues Naplouse, Sultan Suleiman et Salah a-Din, dans le centre-ville de Jérusalem-Est, seront fermées à la circulation de 6 h à 15 h 30. La police conseille aux conducteurs de se reporter sur la route Begin.

Il n’est pas rare que le lieu saint se transforme en haut-lieu de violences, surtout lorsque de grands rassemblements se forment au moment du ramadan, et soit le théâtre d’affrontements entre Palestiniens et forces de l’ordre israéliennes qui parfois débordent de ce strict cadre.

Le mois dernier, les médias israéliens ont fait savoir que les forces de l’ordre israéliennes pensaient n’autoriser que 10 000 Palestiniens de Cisjordanie à entrer dans l’enceinte d’al-Aqsa pour la prière du vendredi, sous réserve de demande expresse préalable. Les anciens prisonniers libérés en vertu de l’accord de cessez-le-feu actuel ne seront, eux, pas autorisés à pénétrer dans le complexe.

Le Hamas appelle les musulmans palestiniens de Cisjordanie et de Jérusalem-Est, ainsi que les Arabes israéliens, à s’opposer aux restrictions et à se rendre en grand nombre sur le mont du Temple, pour faire échec aux tentatives d’Israël de « profaner et contrôler » le site, « par tous les moyens ».

Le nouveau chef d’état-major de Tsahal va rencontrer les dirigeants des zones frontalières de Gaza

Le nouveau chef d'état-major de l'armée israélienne, le lieutenant-général Eyal Zamir (à droite), avec le chef sortant, le lieutenant-général Herzl Halevi, au mur Occidental, dans la Vieille Ville de Jérusalem, le 5 mars 2025. (Crédit : Yonatan Sindel/Flash90)
Le nouveau chef d'état-major de l'armée israélienne, le lieutenant-général Eyal Zamir (à droite), avec le chef sortant, le lieutenant-général Herzl Halevi, au mur Occidental, dans la Vieille Ville de Jérusalem, le 5 mars 2025. (Crédit : Yonatan Sindel/Flash90)

Le chef d’état-major de l’armée israélienne, le lieutenant-général Eyal Zamir, rencontrera aujourd’hui les maires et les dirigeants des conseils locaux de la zone frontalière de Gaza, indique Tsahal.

Zamir tiendra ensuite une réunion avec le Conseil d’état-major pour discuter et approuver les plans opérationnels pour la bande de Gaza dans le contexte du fragile cessez-le-feu conclu avec le groupe terroriste palestinien du Hamas.

« Il le fera » : Rubio dit au Hamas de prendre les menaces de Trump au sérieux

L'otage libéré Eli Sharabi rencontrant le président américain Donald Trump, dans le Bureau ovale, le 5 mars 2025. (Crédit : Maison Blanche/X)
L'otage libéré Eli Sharabi rencontrant le président américain Donald Trump, dans le Bureau ovale, le 5 mars 2025. (Crédit : Maison Blanche/X)

Dans une interview, le secrétaire d’État américain Marco Rubio exhorte le groupe terroriste palestinien du Hamas à prendre au sérieux les menaces du président Donald Trump.

« Les gens ne se rendent pas compte que le président rencontre ces gens, qu’il entend leurs histoires ; il est indigné, à juste titre. Il en a assez de regarder ces vidéos chaque week-end où des otages décharnés sont libérés et des corps sont retournés, et parfois ce sont les mauvais corps et il y en a cinq ici et trois là-bas et il y a des jeux qui se jouent. Et il a perdu patience », déclare Rubio à Fox News.

« Il ne dit pas ces choses sans les penser, comme les gens le découvrent dans le monde entier. S’il dit qu’il va faire quelque chose, il le fera », dit Rubio.

« Et ils feraient donc mieux de prendre cela au sérieux. »

Trump avait précédemment lancé un ultimatum aux dirigeants du Hamas pour qu’ils libèrent les otages et quittent la bande de Gaza.

« Libérez tous les otages maintenant – pas plus tard – et rendez immédiatement tous les corps des personnes que vous avez assassinées, ou vous êtes FINIS », a-t-il écrit sur sa plateforme de réseau social Truth Social après avoir rencontré huit anciens otages.

« Ceci est votre dernier avertissement ! Il est temps pour les dirigeants de quitter Gaza pendant qu’ils en ont encore la possibilité. »

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