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Succès de l’initiative #StolenMemory en France

Grâce aux résultats de 2024, l'initiative se poursuivra en 2025

Martine van Dam (à gauche) et Jeanita van Dam devant l'affiche consacrée à leur grand-père Nathan van Dam à l'exposition de l'ITS,  #StolenMemory, à Paris, au mois de janvier 2018 (Crédit : ITS)
Martine van Dam (à gauche) et Jeanita van Dam devant l'affiche consacrée à leur grand-père Nathan van Dam à l'exposition de l'ITS, #StolenMemory, à Paris, au mois de janvier 2018 (Crédit : ITS)

Quatre-vingts ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, le travail de mémoire et de réparation se poursuit. Les Archives Arolsen, basées en Allemagne, sont un centre international dédié à la collecte, à la préservation et à la diffusion des documents relatifs aux victimes des persécutions nazies. En 2016, elles ont lancé l’initiative #StolenMemory, dont l’objectif vise à « retrouver les descendants des anciens détenus des camps en possession desquels elles détiennent des objets. »

Cette initiative prend la forme d’une exposition itinérante qui « présente des photos des souvenirs volés et retrace le destin de dix victimes des persécutions nazies issues de toute l’Europe. » L’exposition se divise en deux volets principaux.

D’une part, la section recherche se concentre sur les objets qui attendent toujours de retrouver leurs propriétaires ou leurs descendants. Grâce à son itinérance dans les villes de France, la tournée a permis la restitution de 48 biens en 2024, portant à 150 le nombre total d’objets restitués dans l’Hexagone. Un succès qui garantit la poursuite de l’exposition en 2025.

D’autre part, la section dédiée aux objets trouvés et restitués met en lumière les conditions dans lesquelles ces biens ont été rendus à leurs ayants droit. Les visiteurs peuvent également découvrir des témoignages poignants des familles bénéficiaires. Ces expositions permettent aux visiteurs de se sentir directement impliqués dans ce travail de mémoire, en contribuant à retrouver les traces des victimes et de leurs proches.

« Beaucoup de victimes des nationaux-socialistes n’ont laissé aucun objet matériel à leurs familles, car les nazis leur ont tout pris », souligne Floriane Azoulay, directrice des Archives Arolsen. « Les familles sont donc souvent très surprises de recevoir ces objets, ne connaissant rien ou très peu de cet aspect de la vie de leurs grands-parents, parents, oncles ou tantes. »

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